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L’enfant inattendue ne veut pas dire qu’il n’est pas souhaité bien au contraire. Le titre pourra se révéler assez trompeur. La scénariste raconte son autobiographie et celle de sa mère.
Nous avons là une véritable bd d’ambiance avec une narration semi-poétique omniprésente c’est-à-dire qui va remplir toutes les cases sur plus de 150 pages. Cela sera forcément très bavard. Sur la forme, c’est assez bien dessinée avec beaucoup de couleur. Le format ne semble pas adapté pour ce type de récit. On s’attend à autre chose quand on tient cet ouvrage entre les mains.
Par rapport au fond, nous avons cinq tranches de vie qui s’étalent dans le temps et qui vont concerner deux personnages à savoir la mère et la fille. Cela commence par les bombardements nazis sur la ville de Plymouth au cœur de la Seconde Guerre mondiale durant le blitz où l’on vivra véritablement la terreur. Puis il y aura le combat de cette mère célibataire qui souhaite garder son enfant auprès d’une administration oppressante représenté par des corbeaux effrayants. On fera également un petit tour dans le cottage anglais au beau milieu d’un bocage. Il y aura également ces vacances linguistiques en France au beau milieu du mois de mai 1968. N’oublions pas également cette course-poursuite avec un violeur d’enfant. Bref, le programme sera chargé.
Je ressors de cette lecture avec un sentiment mitigé. Ce n’est pas mon style bien que cela soit mon genre. C’est une chronique sociale un peu décousu et trop bavarde à mon goût. Il n’y a pas de véritable lien entre les différents chapitres et cela manque de cohérence. Pour autant, certaines retranscription de sentiment sont parfaites mais dans un style purement littéraire. C’est difficile parfois d’adapter un roman sur le format de la bande dessinée.
L’enfant inattendue ne veut pas dire qu’il n’est pas souhaité bien au contraire. Le titre pourra se révéler assez trompeur. La scénariste raconte son autobiographie et celle de sa mère.
Nous avons là une véritable bd d’ambiance avec une narration semi-poétique omniprésente c’est-à-dire qui va remplir toutes les cases sur plus de 150 pages. Cela sera forcément très bavard. Sur la forme, c’est assez bien dessinée avec beaucoup de couleur. Le format ne semble pas adapté pour ce type de récit. On s’attend à autre chose quand on tient cet ouvrage entre les mains.
Par rapport au fond, nous avons cinq tranches de vie qui s’étalent dans le temps et qui vont concerner deux personnages à savoir la mère et la fille. Cela commence par les bombardements nazis sur la ville de Plymouth au cœur de la Seconde Guerre mondiale durant le blitz où l’on vivra véritablement la terreur. Puis il y aura le combat de cette mère célibataire qui souhaite garder son enfant auprès d’une administration oppressante représenté par des corbeaux effrayants. On fera également un petit tour dans le cottage anglais au beau milieu d’un bocage. Il y aura également ces vacances linguistiques en France au beau milieu du mois de mai 1968. N’oublions pas également cette course-poursuite avec un violeur d’enfant. Bref, le programme sera chargé.
Je ressors de cette lecture avec un sentiment mitigé. Ce n’est pas mon style bien que cela soit mon genre. C’est une chronique sociale un peu décousu et trop bavarde à mon goût. Il n’y a pas de véritable lien entre les différents chapitres et cela manque de cohérence. Pour autant, certaines retranscription de sentiment sont parfaites mais dans un style purement littéraire. C’est difficile parfois d’adapter un roman sur le format de la bande dessinée.