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Allumer BFM à la place de "Des chiffes et des lettres" et tomber sur la météo bipolaire m’ont donné une irrépressible envie de reprendre deux fois de la soupe alphabétique chaude (surtout des voyelles) et de relire "En pleine guerre froide" de qui vous savez.
Fromental y révise ses cours sur la schizophrénie et le dédoublement de la personnalité sous la plume de Floc’h, double de son frère et homme de lettres (comment peut-on écrire aussi bien ?). Les deux font la paire pour "L’homme qui ressemble à tout le monde", une des deux meilleures histoires courtes des années 80 avec Nid d’espion à Alphaplage et Gégène joue et gagne et Stanley Steel de Cornillon et Imago Moderna de Swarte et celle de Bingo Bongo et de la mort d’Elvis. Ou plutôt celle où il voit la mort d’Elvis dans le journal de son poisson (à lui, pas à son poisson), parce que ça doit être son poissonnier qui l’a emballé (son poisson, pas lui quand même). Bingo Bongo, je savais qu’il avait un combo congolais, mais pas un poissonnier, ni un disque d’Elvis (Presley, pas Costello). Du coup, il le flingue, (son disque, pas son poissonnier) ou plutôt la pochette qui l’emballe, avec ses doigts dessus qui ont touché le journal qui a touché son poisson. J'ouvre une parenthèse pour ajouter que c'est le genre de chose qui ne pardonne pas. En plus, si je me rappelle bien, mais oui, c'est ça ! Bongo ! Euh Bingo ! C’était celui de son chien à la fin (le poisson, pas le disque, ni le journal) parce qu'il y en avait une (de fin) et que nous y sommes enfin (à la fin). Ah, il s’en passait des choses le vendredi !
"L’homme qui ressemble à tout le monde" une des deux meilleures histoires courtes des années 80 avec Nid d’espion à Alphaplage et Gégène joue et gagne et Stanley Steel de Cornillon et Imago Moderna de Swarte et n’importe quelle autre de Bingo Bongo.
Info édition : Noté "2e édition" en page copyright. Les couleurs de la couverture sont de Laurence Quentin.
Les noms des auteurs sont inversés sur la couverture par rapport à l'EO.
Allumer BFM à la place de "Des chiffes et des lettres" et tomber sur la météo bipolaire m’ont donné une irrépressible envie de reprendre deux fois de la soupe alphabétique chaude (surtout des voyelles) et de relire "En pleine guerre froide" de qui vous savez.
Fromental y révise ses cours sur la schizophrénie et le dédoublement de la personnalité sous la plume de Floc’h, double de son frère et homme de lettres (comment peut-on écrire aussi bien ?). Les deux font la paire pour "L’homme qui ressemble à tout le monde", une des deux meilleures histoires courtes des années 80 avec Nid d’espion à Alphaplage et Gégène joue et gagne et Stanley Steel de Cornillon et Imago Moderna de Swarte et celle de Bingo Bongo et de la mort d’Elvis. Ou plutôt celle où il voit la mort d’Elvis dans le journal de son poisson (à lui, pas à son poisson), parce que ça doit être son poissonnier qui l’a emballé (son poisson, pas lui quand même). Bingo Bongo, je savais qu’il avait un combo congolais, mais pas un poissonnier, ni un disque d’Elvis (Presley, pas Costello). Du coup, il le flingue, (son disque, pas son poissonnier) ou plutôt la pochette qui l’emballe, avec ses doigts dessus qui ont touché le journal qui a touché son poisson. J'ouvre une parenthèse pour ajouter que c'est le genre de chose qui ne pardonne pas. En plus, si je me rappelle bien, mais oui, c'est ça ! Bongo ! Euh Bingo ! C’était celui de son chien à la fin (le poisson, pas le disque, ni le journal) parce qu'il y en avait une (de fin) et que nous y sommes enfin (à la fin). Ah, il s’en passait des choses le vendredi !
"L’homme qui ressemble à tout le monde" une des deux meilleures histoires courtes des années 80 avec Nid d’espion à Alphaplage et Gégène joue et gagne et Stanley Steel de Cornillon et Imago Moderna de Swarte et n’importe quelle autre de Bingo Bongo.