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Une histoire terrible, poignante, et qui rappelle qu'il faut malheureusement ne rien oublier, car le pire est toujours possible.
Un choix de dessin et de couleur déstabilisant, du moins au départ, mais qui sert finalement admirablement le récit. En temps normal, je n'aurai pas aimé le style retenu, mais la preuve est encore faite qu'il faut aller au-delà de son impression première.
Rien à dire pour le scénario, qui respecte fort bien le roman (j'ai toutefois noté une ou deux cases avec des erreurs...). A ce propos j'ai du mal à comprendre la hargne de gregb, dont le pseudo semble avoir été créé pour essayer de démolir les albums scénarisés par P Bresson.
Et Bresson recommence encore une énième fois ses adaptations intestinales ! Deux livres lus à la suite m’ont réellement facilité le transit ! Certains éditeurs n’hésitent pas à encourager l’adaptation en bd en évitant délibérément tout côté artistique. Bresson devrait connaître le sens du mot art et ce qu’est le 9e. Art
Cette BD est une adaptation du formidable roman de Tatiana de Rosnay Elle s'appelait Sarah. Elle s'inscrit dans deux temporalités. Dans un premier temps, le lecteur suit une famille juive qui va connaître le drame du vélodrome. Dans un second temps, on suit une journaliste qui enquête sur cette famille. Les deux temporalités s'enrichissent l'une l'autre. Le récit est prenant et terriblement poignant. Beaucoup de sentiments se mêlent. C'est rempli d'émotions fortes.Les personnages sont terriblement touchants. Tatiana de Rosnay a l'art de construire des vies et des histoires qui me prennent aux tripes. Sarah est une petite fille qui n'a rien demandé à personne et qui va vivre comme de nombreux gens ce terrible génocide.L'esthétique est en noir et blanc, seule Sarah irradie de couleurs. C'est pensé intelligemment et criant de vérité.
Une histoire terrible, poignante, et qui rappelle qu'il faut malheureusement ne rien oublier, car le pire est toujours possible.
Un choix de dessin et de couleur déstabilisant, du moins au départ, mais qui sert finalement admirablement le récit. En temps normal, je n'aurai pas aimé le style retenu, mais la preuve est encore faite qu'il faut aller au-delà de son impression première.
Rien à dire pour le scénario, qui respecte fort bien le roman (j'ai toutefois noté une ou deux cases avec des erreurs...). A ce propos j'ai du mal à comprendre la hargne de gregb, dont le pseudo semble avoir été créé pour essayer de démolir les albums scénarisés par P Bresson.
Et Bresson recommence encore une énième fois ses adaptations intestinales ! Deux livres lus à la suite m’ont réellement facilité le transit ! Certains éditeurs n’hésitent pas à encourager l’adaptation en bd en évitant délibérément tout côté artistique. Bresson devrait connaître le sens du mot art et ce qu’est le 9e. Art
Cette BD est une adaptation du formidable roman de Tatiana de Rosnay Elle s'appelait Sarah. Elle s'inscrit dans deux temporalités. Dans un premier temps, le lecteur suit une famille juive qui va connaître le drame du vélodrome. Dans un second temps, on suit une journaliste qui enquête sur cette famille. Les deux temporalités s'enrichissent l'une l'autre. Le récit est prenant et terriblement poignant. Beaucoup de sentiments se mêlent. C'est rempli d'émotions fortes.Les personnages sont terriblement touchants. Tatiana de Rosnay a l'art de construire des vies et des histoires qui me prennent aux tripes. Sarah est une petite fille qui n'a rien demandé à personne et qui va vivre comme de nombreux gens ce terrible génocide.L'esthétique est en noir et blanc, seule Sarah irradie de couleurs. C'est pensé intelligemment et criant de vérité.
http://aufildesplumesblog.wordpress.com