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J'aime quand la bd ne traite pas que de choses légères et futiles. Cependant, encore faut-il que cela soit réussi ! Or, cet exercice est rendu beaucoup plus difficile justement à cause de la gravité du sujet. En l'espèce, c'est époustouflant de réussite.
Là où Pourquoi j'ai tué Pierre a quelque peu échoué, "elle ne pleure pas , elle chante" réussit son pari. L'oeuvre est bien entendu bouleversante de sincérité et de justesse. Elle prend véritablement aux tripes. Ce récit est vécu comme un soulagement et non comme une rancune tenace.
Derrière un titre tout en douceur, se cache une réalité moins reluisante. L'amour peut être destructeur et criminel. On ressort quand même de cette lecture avec un sentiment d'espoir pour l'héroïne qui n'est autre que l'écrivain du roman qui signe la préface.
Une des meilleures bd intimistes que j'ai pu lire ces dernières années.
Un récit poignant sur un sujet difficile : l’inceste. La BD est l’adaptation du roman d’Amélie Sarn et c’est assez bien repris de la part de Corbeyran. Celui-ci décrit avec justesse et sans fioritures ce drame dont on ne peut être insensible, c’est évident. Le dessin assez neutre fait penser à de la sérigraphie et convient bien à l’esprit froid et peu joyeux de l’histoire. J’ai bien aimé la dernière case très astucieuse et intelligente de la part du dessinateur où l’on peut apercevoir un petit point blanc (une lueur d’espoir) dans l’œil de Laura (la victime) alors que d’habitude les yeux sont dessinés/représentés par de simples points noirs avec peu d’expressions. Respect.
J'aime quand la bd ne traite pas que de choses légères et futiles. Cependant, encore faut-il que cela soit réussi ! Or, cet exercice est rendu beaucoup plus difficile justement à cause de la gravité du sujet. En l'espèce, c'est époustouflant de réussite.
Là où Pourquoi j'ai tué Pierre a quelque peu échoué, "elle ne pleure pas , elle chante" réussit son pari. L'oeuvre est bien entendu bouleversante de sincérité et de justesse. Elle prend véritablement aux tripes. Ce récit est vécu comme un soulagement et non comme une rancune tenace.
Derrière un titre tout en douceur, se cache une réalité moins reluisante. L'amour peut être destructeur et criminel. On ressort quand même de cette lecture avec un sentiment d'espoir pour l'héroïne qui n'est autre que l'écrivain du roman qui signe la préface.
Une des meilleures bd intimistes que j'ai pu lire ces dernières années.
Un récit poignant sur un sujet difficile : l’inceste. La BD est l’adaptation du roman d’Amélie Sarn et c’est assez bien repris de la part de Corbeyran. Celui-ci décrit avec justesse et sans fioritures ce drame dont on ne peut être insensible, c’est évident. Le dessin assez neutre fait penser à de la sérigraphie et convient bien à l’esprit froid et peu joyeux de l’histoire. J’ai bien aimé la dernière case très astucieuse et intelligente de la part du dessinateur où l’on peut apercevoir un petit point blanc (une lueur d’espoir) dans l’œil de Laura (la victime) alors que d’habitude les yeux sont dessinés/représentés par de simples points noirs avec peu d’expressions. Respect.