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Premier tome d’Edika où il y a déjà tout, des histoires généralement déjantée et excessive, plus ou moins abouties selon que l’’auteur ait eu une idée ou se soit laissé porter sans réfléchir, avec des dessins délirants à tendance punk.
Drame - 1
Totale déception pour cette histoire qui promettait d’être drôle mais s’avère finalement gratuitement méchante et manquant cruellement d’une chute originale ou intéressant que j’espérais de plus en plus en avançant mais qui ne vint pas.
Dix-neuf heures quarante – 3
A l’inverse de la première, la chute est sympa dans celui-ci mais c’est un peu bavard pour y arriver.
Monsieur Rachid est très myope – 2,5
Edika a du mal à cumuler les bonnes idées et les bonnes chutes. Là, l’idée est marrante mais perd un peu en force par son côté répétitif avec un final surréaliste qui ne m’a pas convaincu…
Corruption – 4
C’est pas l’histoire du siècle mais au moins, elle se tient d’un bout à l’autre, elle a un joli délire et une chute qui marche, cool.
Mes vertes années – 3
Ouais, bon, c’est délirant. Genre exercice de style, « qu’est-ce que je peux bien faire avec cette idée » et tout y passe… Marrant mais pas très intéressant.
Je veux chier en paix – 3,5
Un côté surréaliste intéressant, un autre univers sympa si on se laisse aller. Une chute un peu faible mais qui clôt bien l’histoire.
C’est la vie, quoi – 4
L’histoire est assez étrange, comme toujours chez Edika, mais elle se boucle bien et dénonce un peu la société de consommation avec un texte certes banal mais bien écrit.
Un dimanche matin – 3
Humour potache, pas hyper intéressant mais qui se tient.
Les phantasmes d’Anselme – 2,5
Tout Edika est là. Pour moi, ça consiste en une facilité totale : on prend une idée qu’on répète 10 fois pour un comique de répétition et en guise de chute, on montre l’auteur qui réfléchit. Ça ne mène à rien, l’histoire n’a donc ni intérêt ni fin. J’accroche pas à cette astuce.
Premier tome d’Edika où il y a déjà tout, des histoires généralement déjantée et excessive, plus ou moins abouties selon que l’’auteur ait eu une idée ou se soit laissé porter sans réfléchir, avec des dessins délirants à tendance punk.
Drame - 1
Totale déception pour cette histoire qui promettait d’être drôle mais s’avère finalement gratuitement méchante et manquant cruellement d’une chute originale ou intéressant que j’espérais de plus en plus en avançant mais qui ne vint pas.
Dix-neuf heures quarante – 3
A l’inverse de la première, la chute est sympa dans celui-ci mais c’est un peu bavard pour y arriver.
Monsieur Rachid est très myope – 2,5
Edika a du mal à cumuler les bonnes idées et les bonnes chutes. Là, l’idée est marrante mais perd un peu en force par son côté répétitif avec un final surréaliste qui ne m’a pas convaincu…
Corruption – 4
C’est pas l’histoire du siècle mais au moins, elle se tient d’un bout à l’autre, elle a un joli délire et une chute qui marche, cool.
Mes vertes années – 3
Ouais, bon, c’est délirant. Genre exercice de style, « qu’est-ce que je peux bien faire avec cette idée » et tout y passe… Marrant mais pas très intéressant.
Je veux chier en paix – 3,5
Un côté surréaliste intéressant, un autre univers sympa si on se laisse aller. Une chute un peu faible mais qui clôt bien l’histoire.
C’est la vie, quoi – 4
L’histoire est assez étrange, comme toujours chez Edika, mais elle se boucle bien et dénonce un peu la société de consommation avec un texte certes banal mais bien écrit.
Un dimanche matin – 3
Humour potache, pas hyper intéressant mais qui se tient.
Les phantasmes d’Anselme – 2,5
Tout Edika est là. Pour moi, ça consiste en une facilité totale : on prend une idée qu’on répète 10 fois pour un comique de répétition et en guise de chute, on montre l’auteur qui réfléchit. Ça ne mène à rien, l’histoire n’a donc ni intérêt ni fin. J’accroche pas à cette astuce.