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Petit village de le Douelle, trois femmes ont été retrouvées mortes dans l'écluse. L'enquête est lancée.
Le scénario bien construit nous plonge dans une intrigue au suspens haletant. Jusqu'aux dernières pages, je ne me suis doutée d'absolument rien. Le dénouement est...surprenant!
La galerie de personnages élaborée par Philippe Pelaez est réaliste et digne d'un vrai polar (ou d'un de ces documentaires sur les serials killers).
Esthétiquement, j'ai totalement adhéré. J'ai apprécié la façon dont les personnages sont croqués entre courbes et lignes droites franches. Les décors sont remplis de détails.
L'ensemble dégage une atmosphère particulière qui m'a saisie. Je me suis prise au piège de L'écluse et c'était délicieux.
Une histoire se déroulant à Douelle dans le Lot, et ayant pour sujet une enquête policière en 1960. Nous y suivons donc un inspecteur de Cahors, qui cherche à démêler le meurtre par noyade de plusieurs filles, impliquant plusieurs suspects dont Octave, un handicapé souffre-douleur du village.
Le style de Gilles Aris est, disons-le, très singulier et ne laissera pas indifférent: on aime ou on n'aime pas. J'ai noté un jeu sur les couleurs et l'encrage sur pas mal de cases, démontrant la large palette de compétences des auteurs. La rupture par chapitrage créé une gradation au niveau de l'enchaînement des péripéties et autres révélations.
Le scénario explore différentes thématiques et brouille les pistes jusqu'à la révélation finale, me poussant à la relecture afin d'en saisir tous les éléments. Les spectres de la Seconde Guerre seront bien présents et accentuent les blessures non-cicatrisées et autres inégalités sociales de cette France profonde.
Un bon 'one-shot' socio-rural qui réussit l'exploit de synthétiser beaucoup de choses en une soixantaine de pages.
Un oneshot que je n'oublierai pas, tant la fin du scenario de Philippe PELAEZ est réussie.
L'histoire est cohérente, les personnages crédibles, que du bon.
On est emporté dans cette enquête jusqu'à l'ultime rebondissement qui donne tout son sens à l'ensemble.
Je l'ai relu direct pour en profiter différemment, une deuxième fois (un peu comme Shutter Island pour ceux qui connaissent).
On aimera ou pas le dessin de Gilles ARIS, qui peut au premier abord sembler plus adapté à une histoire moins dramatique, mais cet a priori disparait naturellement au bout de quelques pages. Au final il convient tout à fait, on s'y plonge, l'alchimie avec les textes prend vite, et on n'en ressort pas avant la fin. Et puis les trognes des personnages sont tellement réussies !
Indispensable peut-être pas, mais à lire absolument oui !
D'abord il y a un dessin! On aime ou pas le style, qui n'est au départ pas ce que je préfère, mais là j'ai adoré! J'en redemande!!!
Ensuite, il y a un scénario... Et là, c'est plus compliqué. L'auteur sait certainement où il nous emmène, mais il nous donne peu d'indices et parfois j'ai été perdu.
Au point qu'à la fin, je ne sais toujours pas qui est le serial killer, ni même s'il y en a un, d'ailleurs!
On ne va quand même pas bouder le plaisir d'un bon polar, bien dessiné. Et puis ça fait du bien un "One shot" pour sortir des séries interminables!
Ce n'est peut-être pas un "must", mais c'est à lire et on y passe un bon moment.
bon one shot
le scenario n'a rien d'exceptionnel mais on se lasse tout au long du déroulé de cette enquête "rurale"
je ne peux qu'en recommander la lecture au amateur du genre
Petit village de le Douelle, trois femmes ont été retrouvées mortes dans l'écluse. L'enquête est lancée.
Le scénario bien construit nous plonge dans une intrigue au suspens haletant. Jusqu'aux dernières pages, je ne me suis doutée d'absolument rien. Le dénouement est...surprenant!
La galerie de personnages élaborée par Philippe Pelaez est réaliste et digne d'un vrai polar (ou d'un de ces documentaires sur les serials killers).
Esthétiquement, j'ai totalement adhéré. J'ai apprécié la façon dont les personnages sont croqués entre courbes et lignes droites franches. Les décors sont remplis de détails.
L'ensemble dégage une atmosphère particulière qui m'a saisie. Je me suis prise au piège de L'écluse et c'était délicieux.
Une histoire se déroulant à Douelle dans le Lot, et ayant pour sujet une enquête policière en 1960. Nous y suivons donc un inspecteur de Cahors, qui cherche à démêler le meurtre par noyade de plusieurs filles, impliquant plusieurs suspects dont Octave, un handicapé souffre-douleur du village.
Le style de Gilles Aris est, disons-le, très singulier et ne laissera pas indifférent: on aime ou on n'aime pas. J'ai noté un jeu sur les couleurs et l'encrage sur pas mal de cases, démontrant la large palette de compétences des auteurs. La rupture par chapitrage créé une gradation au niveau de l'enchaînement des péripéties et autres révélations.
Le scénario explore différentes thématiques et brouille les pistes jusqu'à la révélation finale, me poussant à la relecture afin d'en saisir tous les éléments. Les spectres de la Seconde Guerre seront bien présents et accentuent les blessures non-cicatrisées et autres inégalités sociales de cette France profonde.
Un bon 'one-shot' socio-rural qui réussit l'exploit de synthétiser beaucoup de choses en une soixantaine de pages.
Un oneshot que je n'oublierai pas, tant la fin du scenario de Philippe PELAEZ est réussie.
L'histoire est cohérente, les personnages crédibles, que du bon.
On est emporté dans cette enquête jusqu'à l'ultime rebondissement qui donne tout son sens à l'ensemble.
Je l'ai relu direct pour en profiter différemment, une deuxième fois (un peu comme Shutter Island pour ceux qui connaissent).
On aimera ou pas le dessin de Gilles ARIS, qui peut au premier abord sembler plus adapté à une histoire moins dramatique, mais cet a priori disparait naturellement au bout de quelques pages. Au final il convient tout à fait, on s'y plonge, l'alchimie avec les textes prend vite, et on n'en ressort pas avant la fin. Et puis les trognes des personnages sont tellement réussies !
Indispensable peut-être pas, mais à lire absolument oui !
D'abord il y a un dessin! On aime ou pas le style, qui n'est au départ pas ce que je préfère, mais là j'ai adoré! J'en redemande!!!
Ensuite, il y a un scénario... Et là, c'est plus compliqué. L'auteur sait certainement où il nous emmène, mais il nous donne peu d'indices et parfois j'ai été perdu.
Au point qu'à la fin, je ne sais toujours pas qui est le serial killer, ni même s'il y en a un, d'ailleurs!
On ne va quand même pas bouder le plaisir d'un bon polar, bien dessiné. Et puis ça fait du bien un "One shot" pour sortir des séries interminables!
Ce n'est peut-être pas un "must", mais c'est à lire et on y passe un bon moment.
bon one shot
le scenario n'a rien d'exceptionnel mais on se lasse tout au long du déroulé de cette enquête "rurale"
je ne peux qu'en recommander la lecture au amateur du genre