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Voyageant entre le différentes époques (passé, présent et futur), San Goku, Végéta, Trunks et leurs alliés cherchent à contrecarrer tant bien que mal la menace Goku Black. Sans se douter qu'un danger plus grave encore les menace ...
Après deux premiers volumes cahin caha, le scénario de cette étonnante suite de DRAGON BALL décolle enfin ! On nage en pleine SF entre voyages dans le temps, dimensions parallèles et paradoxes temporels. Un scénario certes riche et fortement capillotracté mais d'une clarté remarquable qui fait que non seulement on ne s'ennuie pas, mais en plus la compréhension des différentes intrigues est assez simple, tout étant clairement expliqué, sans trop de longueurs ni de complications. Beaucoup de dialogues et de révélations inattendues viennent renforcer l'intrigue, pour une fois peu basée sur les combats (sauf à la fin, où les affrontements entre Végéta, Goku et les méchants envoient du lourd). En parallèle l'humour délirant et un peu débile s'intègre avec bonheur, ce qui fait de cet épisode une vraie réussite. Pourvu que cette nouvelle série continue dans cette voie là !
Édition très propre de Glénat reprenant exactement l’élégante maquette japonaise. En intro chaque volume comprend un mot du dessinateur et en fin quelques pages bonus.
Après la fin du tournoi entre les champions des univers (#1 et 2), l’on découvre qu’un double maléfique de Goku a ravagé le futur et pratiquement exterminé l’humanité. Commence une enquête autour de Beerus le dieu de la destruction, les Kaïo Shin des différents univers et la bande de Goku pour éliminer ce danger.
On continue avec toujours autant de plaisir cette improbable résurrection de Dragon ball qui avait tout de la prolongation de trop alors qu’elle gagne à chaque volume et est pour moi, alors que je lis ce troisième tome, meilleure que DBZ, à cheval entre les délires du premier Dragon ball et les élucubrations SF de DBZ. Il y a étonnamment peu de combats ici, pas mal de dialogues, tous très drôles, décalés voir totalement délirants. Énormément de second degré (les noms des différentes formes de super Sayan ou la semi-débilité de Goku). L’intro du second chapitre où le dieu de la destruction joue à Mario kart avec la bande de Sangoku vaut ainsi son pesant de cacahuètes! La mythologie que continue de développer Toriyama est cohérente même si ça part toujours dans tous les sens et que les lois et hiérarchies qu’il a édictées sont sans cesse transgressées. C’est drôle, familier, rythmé et l’auteur parvient même à instiller une vraie curiosité en mode polar. Les intrigues sont nombreuses (autant que les personnages!) et sont résolues assez rapidement, évitant une histoire qui s’étirerait trop. On est dans des questions de voyage temporel et leurs paradoxes, expliqués de façon très pédagogique.
Sur le plan graphique, si le maître Toriyama (toujours au scénario et ça se ressent!) a passé les crayons à un jeune mangaka qui apprend au contacte de son mentor, ça reste de très bon niveau et hormis quelques approximations (mais les premiers DB étaient-ils tous nickel?) La traduction semble menée -rapidement- avec grand soin et sans censure: de nombreuses explications sur les noms « alimentaires » des personnages ou le langage de charretier de Vegeta…
DBS est vraiment une de mes meilleures lectures manga en ce moment et j’attends avec grand impatience la suite des aventures galactiques des sayans.
A lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/02/19/dragon-ball-super-3/
Voyageant entre le différentes époques (passé, présent et futur), San Goku, Végéta, Trunks et leurs alliés cherchent à contrecarrer tant bien que mal la menace Goku Black. Sans se douter qu'un danger plus grave encore les menace ...
Après deux premiers volumes cahin caha, le scénario de cette étonnante suite de DRAGON BALL décolle enfin ! On nage en pleine SF entre voyages dans le temps, dimensions parallèles et paradoxes temporels. Un scénario certes riche et fortement capillotracté mais d'une clarté remarquable qui fait que non seulement on ne s'ennuie pas, mais en plus la compréhension des différentes intrigues est assez simple, tout étant clairement expliqué, sans trop de longueurs ni de complications. Beaucoup de dialogues et de révélations inattendues viennent renforcer l'intrigue, pour une fois peu basée sur les combats (sauf à la fin, où les affrontements entre Végéta, Goku et les méchants envoient du lourd). En parallèle l'humour délirant et un peu débile s'intègre avec bonheur, ce qui fait de cet épisode une vraie réussite. Pourvu que cette nouvelle série continue dans cette voie là !
Édition très propre de Glénat reprenant exactement l’élégante maquette japonaise. En intro chaque volume comprend un mot du dessinateur et en fin quelques pages bonus.
Après la fin du tournoi entre les champions des univers (#1 et 2), l’on découvre qu’un double maléfique de Goku a ravagé le futur et pratiquement exterminé l’humanité. Commence une enquête autour de Beerus le dieu de la destruction, les Kaïo Shin des différents univers et la bande de Goku pour éliminer ce danger.
On continue avec toujours autant de plaisir cette improbable résurrection de Dragon ball qui avait tout de la prolongation de trop alors qu’elle gagne à chaque volume et est pour moi, alors que je lis ce troisième tome, meilleure que DBZ, à cheval entre les délires du premier Dragon ball et les élucubrations SF de DBZ. Il y a étonnamment peu de combats ici, pas mal de dialogues, tous très drôles, décalés voir totalement délirants. Énormément de second degré (les noms des différentes formes de super Sayan ou la semi-débilité de Goku). L’intro du second chapitre où le dieu de la destruction joue à Mario kart avec la bande de Sangoku vaut ainsi son pesant de cacahuètes! La mythologie que continue de développer Toriyama est cohérente même si ça part toujours dans tous les sens et que les lois et hiérarchies qu’il a édictées sont sans cesse transgressées. C’est drôle, familier, rythmé et l’auteur parvient même à instiller une vraie curiosité en mode polar. Les intrigues sont nombreuses (autant que les personnages!) et sont résolues assez rapidement, évitant une histoire qui s’étirerait trop. On est dans des questions de voyage temporel et leurs paradoxes, expliqués de façon très pédagogique.
Sur le plan graphique, si le maître Toriyama (toujours au scénario et ça se ressent!) a passé les crayons à un jeune mangaka qui apprend au contacte de son mentor, ça reste de très bon niveau et hormis quelques approximations (mais les premiers DB étaient-ils tous nickel?) La traduction semble menée -rapidement- avec grand soin et sans censure: de nombreuses explications sur les noms « alimentaires » des personnages ou le langage de charretier de Vegeta…
DBS est vraiment une de mes meilleures lectures manga en ce moment et j’attends avec grand impatience la suite des aventures galactiques des sayans.
A lire sur le blog:
https://etagereimaginaire.wordpress.com/2018/02/19/dragon-ball-super-3/