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Alors que le cycle de Zenith à son apogée s'est clôturé par le précédent album, voici qu'un nouveau cycle se profile autour du monde de Vaucanson. Et si le précédent cycle était formidable de lecture, de décorticage des codes du genre et de suspens, celui-ci commence ici et augure un bien bel avenir.
D'abord parce que Boulet est au dessin. Et c'est un travail ou l'organique, la précision du décor et un travail de découpage plus cinématographique est d'une beauté sans pareille. Avec Blain, Boulet est l'un de mes illustrateurs favoris de la série. Et cela tombe bien car il est désormais récurrent sur la saga Zenith.
Ensuite parce que les scénaristes sont toujours autant inspirés. ce nouvel univers autour du duché de Vaucanson est d'un grand réalisme. Les domaines du sociologique, du politique et même de l'historique sont d'une grande immersion facilitant ainsi l'évolution des personnages dans une narration haletante. si l'humour est toujours présent, le dramatique grave, les failles psychologiques et les résonnances amères du passé apporte à l'histoire un intensité viscérale. Et comme toujours, le déroulé est toujours palpitant avec des rebondissements toujours faisant sens en même temps que détonnant.
Alors que Hyacinthe perd tout ces combats pour reprendre son donjon ( il est d'un égoïsme rare car les seules actions qu'il mène sont dans ce sens, n'épaulant jamais Herbert ou Marvin), Herbert retourne vers ses racines. Hélas, ce qu'il espérait n'est pas. Ses parents exigent des chose de lui qu'il ne souhaite pas. Prendre place dans l'histoire avec un grand H alors que lui ne veut que vivre sa petite histoire est toute la narration de cet album.
Bien sur Herbert revivra les colères de son enfance ( génial fin vu aux tomes 2). Ceux à quoi, il ne pourra la contenir jusqu'à devenir le mal lui même. Marvin , comme toujours, suivra avec précision les valeurs de sa religion, ce qui construira des drames autour de lui.
Cette notion de l'histoire est d'ailleurs tout à fait savoureuse. depuis Potron minet jusqu'à Zenith, les personnages qui ne louvoie pas autour des actions du monde violent de Terra Amata mais qui veulent exister au travers uniquement de leurs valeurs sont ceux qui détruisent toujours les espoirs d'une vie heureuse. Ici par exemple, Marvin met le feu à la forêt en détruisant les reliques du passé glorieux de Vaucanson et les archives qui auraient pu rendre le Donjon au gardien. Mais Marvin ne se pose aucunes questions existentialistes (ni d'ailleurs les autres personnages qui ne lui en font pas grief) puisqu'il agit au travers de ses valeurs religieuses.
Et puis il ya Isis, toujours la femme forte, toujours celle par qui la réussite, le courage et le combat héroïque vient. et puis il y a les autres personnages nouveaux. Multiples et si bien écrit, si bien construit.
Cet opus est d'une grande réussite même si il manque un semblant d'âme supplémentaire pour être absolument parfait. Mais c'est le lot des œuvres charnières entre deux cycles, entre deux histoires majeures qui veut cela. Et ce premier tome d'un nouveau cycle est tellement réussi que l'on ne doute pas une seconde du parfait du cycle entier.
Avec la reprise de la série, j'ai décidé de relire les 6 premiers tomes.
Après plus de 10 ans, j'ai pris un grand plaisir à redécouvrir ce classique de l’héroïque fantaisie. C'est drôle, intelligent et très créatif : un univers complet.
Ouf! Le niveau de l'ère Zénith ne baissera pas d'un poil! Un superbe album qui fait à la fois suite au dernier Zénith et à l'album "Le grand animateur" (côté 'lore' -- on est à Vaucanson et on parle des automates), il n'y a pas à dire, c'est de très haut niveau!
On est déjà habitué aux dessins de Boulet (qui sont beaucoup plus petits cette fois-ci; ce que j'aime parce que l'histoire est plus développée malgré le même nombre de pages), et si les scènes d'action sont moins remarquables que dans le dernier Zénith, qui faisait parfois penser à un manga, on a quand même droit à des scènes de toute beauté.
Côté narration, c'est bien ficelé, bien dosé, bien humoristique, bien sérieux, bien ancré dans l'univers, bien réfléchi pour lier les différentes époques Donjon ensemble. Mais les objets du destin ne cessent de surprendre -- finira-t-on un jour par découvrir l'ultime vérité?
Dire qu'il faudra attendre un peu plus de 12 ans pour lire le prochain...
Le dessin est toujours aussi bon ( malgré une petite baisse sûrement due à la petite taille des cases ou aux impératifs de publication ) ,mais cette fois ,en plus le scénario y est donc ,ce trio de bédéastes nous offre un chef d’oeuvre donjonnesque !
Il y a bien sûr les scènes purement épiques comme les Tong Deum de Marvin ou les transformations d’Herbert avec les bottes et l’épée du Destin et autres pichenettes ..... Mais ,en plus de ça les auteurs nous délivrent des scoops sur Vaucanson et la famille d’Herbert.
Les somptueux décors médiévaux et l’univers de Vaucanson avec les automates sont des merveilles d’inventivité et l’histoire traîne moins que les autres tomes (on parle du mariage depuis le tome 3.....) .Donc ce 6ème opus mérite bien 18,8/20
Cette fois, Sfar & Trondheim ont été sympa avec Boulet en lui proposant cette histoire avec un scénario en béton, à la fois épique (les nombreuses scènes de bastons -et notamment les Tong Deum de Marvin - sont à couper le souffle) et très drôle, avec un paquet de répliques et de gags hilarants ("Et mon cul, c'est du poulet ?").
C'est un régal de suivre les péripéties de Herbert, Marvin & cie dans cette cité médiévale de Vaucanson.
RETOUR EN FANFARE maintient la série "Zénith" au top niveau, après une très petite faiblesse entr'aperçue dans UN MARIAGE A PART.
J'ai quand même l'impression que Sfar et Trondheim soigne particulièrement la série Zenith. "Un mariage à part" était à mon goût un peu en dessous des autres Zenith. Là, avec "Un retour en fanfare" on revient à de l'excellentissime Donjon. Un vrai bonheur ! Ce tome est à lire avec les derniers Donjon sortis (Le Grand Animateur - Monster et Le Grimoire de l'Inventeur également dans la série Monster), centrés sur l'histoire de Vaucanson, ses automates, ses grandes figures, le tout forcément lié au destin de herbert !
L'histoire est la suite immédiate de "Un mariage à part" et c'est, comme cela à déjà été dit, très agréable.
Le dessin de Boulet est bien, en tous cas moi je m'y habitue très bien, mais surtout l'histoire est assez génial et très cohérente. Quleques passages sont rééllement génial et/ou hilarant ! Les deux Tong Deum de Marvin sont d'ores et déjà "mythique".
Dessiné de main de maître par Boulet, la branche Zénith - peut-être s'agit-il même du tronc ? - de l'arbre "Donjon" reprend, grâce à ce "Retour en Fanfare" assez décoiffant sa place centrale au sein de la saga, en réussissant à intégrer dans son scénario suffisamment d'éléments apportés par les séries "Monsters" ou "Parade" pour satisfaire les plus épris de logique parmi ses fans. Si l'on peut regretter que l'humour des premiers tomes n'ait pas vraiment survécu à ce recentrage sur l'épopée (on n'est pas si loin ici de l'heroic fantasy la plus traditionnelle...), mais aussi qu'il y ait moins d'éclairs de folie ou de flottements poétiques que dans certaines digressions récentes autour de l'univers en permanente expansion du Donjon, force est de constater que ce nouveau tome impressionne par son inventivité et sa cohérence : sans doute temporairement égarés au sein de leur projet démentiel (et détournés vers d'autres tâches en parallèle), Trondheim et Sfar ont clairement ici repris la main sur leur fiction prolifèrante et leurs personnages éclatés. Et si la fin "à suivre" est forcément frustrante, on sort de ce 6ème tome (et 31ème volume du "Donjon" en 10 ans !) rassurés et ravis.
Merci aux auteurs et merci à Boulet ! Bien que les dessins ne sont, à priori, pas le point fort de la série, je me suis surpris à apprécier + longuement certaines planches que j'ai trouvé vraiment magnifiques et inventives. Boulet a alterné son découpage avec des grandes cases, des petites, des allongées, bref, pas mal de diversité ! Certaines cases étaient tellement originales que j'ai même pensé à l'esprit "nef des fous" ! C'est dire... Sinon pour moi, ce tome est tout simplement l'un des tout meilleurs de la série Donjon (et pas seulement Zenith). C'est bon d'avoir une histoire qui suit la précédente, ce qui n'était pas le cas de pas mal de tomes récents de cette série. Sinon, les scènes d'action sont omniprésentes et parfois complétement loufdingue ! Les séquences sur les toits et dans la forêt sont désormais des scènes d'antologies avec la clé un tong deum de Marvin à découvrir de toute urgence ! La couverture est une des plus réussies. Une intrigue à la hauteur. Du bon humour bien placé et pas trop débordant. La cerise sur le gâteau étant la découverte de nouveaux personnages. Pour certains, il y a d'évidentes liaisons avec à la vie passé d'Herbet, ce qui donnera probablement lieu à pas mal de "sous niveaux" très interressants.
Alors que le cycle de Zenith à son apogée s'est clôturé par le précédent album, voici qu'un nouveau cycle se profile autour du monde de Vaucanson. Et si le précédent cycle était formidable de lecture, de décorticage des codes du genre et de suspens, celui-ci commence ici et augure un bien bel avenir.
D'abord parce que Boulet est au dessin. Et c'est un travail ou l'organique, la précision du décor et un travail de découpage plus cinématographique est d'une beauté sans pareille. Avec Blain, Boulet est l'un de mes illustrateurs favoris de la série. Et cela tombe bien car il est désormais récurrent sur la saga Zenith.
Ensuite parce que les scénaristes sont toujours autant inspirés. ce nouvel univers autour du duché de Vaucanson est d'un grand réalisme. Les domaines du sociologique, du politique et même de l'historique sont d'une grande immersion facilitant ainsi l'évolution des personnages dans une narration haletante. si l'humour est toujours présent, le dramatique grave, les failles psychologiques et les résonnances amères du passé apporte à l'histoire un intensité viscérale. Et comme toujours, le déroulé est toujours palpitant avec des rebondissements toujours faisant sens en même temps que détonnant.
Alors que Hyacinthe perd tout ces combats pour reprendre son donjon ( il est d'un égoïsme rare car les seules actions qu'il mène sont dans ce sens, n'épaulant jamais Herbert ou Marvin), Herbert retourne vers ses racines. Hélas, ce qu'il espérait n'est pas. Ses parents exigent des chose de lui qu'il ne souhaite pas. Prendre place dans l'histoire avec un grand H alors que lui ne veut que vivre sa petite histoire est toute la narration de cet album.
Bien sur Herbert revivra les colères de son enfance ( génial fin vu aux tomes 2). Ceux à quoi, il ne pourra la contenir jusqu'à devenir le mal lui même. Marvin , comme toujours, suivra avec précision les valeurs de sa religion, ce qui construira des drames autour de lui.
Cette notion de l'histoire est d'ailleurs tout à fait savoureuse. depuis Potron minet jusqu'à Zenith, les personnages qui ne louvoie pas autour des actions du monde violent de Terra Amata mais qui veulent exister au travers uniquement de leurs valeurs sont ceux qui détruisent toujours les espoirs d'une vie heureuse. Ici par exemple, Marvin met le feu à la forêt en détruisant les reliques du passé glorieux de Vaucanson et les archives qui auraient pu rendre le Donjon au gardien. Mais Marvin ne se pose aucunes questions existentialistes (ni d'ailleurs les autres personnages qui ne lui en font pas grief) puisqu'il agit au travers de ses valeurs religieuses.
Et puis il ya Isis, toujours la femme forte, toujours celle par qui la réussite, le courage et le combat héroïque vient. et puis il y a les autres personnages nouveaux. Multiples et si bien écrit, si bien construit.
Cet opus est d'une grande réussite même si il manque un semblant d'âme supplémentaire pour être absolument parfait. Mais c'est le lot des œuvres charnières entre deux cycles, entre deux histoires majeures qui veut cela. Et ce premier tome d'un nouveau cycle est tellement réussi que l'on ne doute pas une seconde du parfait du cycle entier.
Avec la reprise de la série, j'ai décidé de relire les 6 premiers tomes.
Après plus de 10 ans, j'ai pris un grand plaisir à redécouvrir ce classique de l’héroïque fantaisie. C'est drôle, intelligent et très créatif : un univers complet.
Ouf! Le niveau de l'ère Zénith ne baissera pas d'un poil! Un superbe album qui fait à la fois suite au dernier Zénith et à l'album "Le grand animateur" (côté 'lore' -- on est à Vaucanson et on parle des automates), il n'y a pas à dire, c'est de très haut niveau!
On est déjà habitué aux dessins de Boulet (qui sont beaucoup plus petits cette fois-ci; ce que j'aime parce que l'histoire est plus développée malgré le même nombre de pages), et si les scènes d'action sont moins remarquables que dans le dernier Zénith, qui faisait parfois penser à un manga, on a quand même droit à des scènes de toute beauté.
Côté narration, c'est bien ficelé, bien dosé, bien humoristique, bien sérieux, bien ancré dans l'univers, bien réfléchi pour lier les différentes époques Donjon ensemble. Mais les objets du destin ne cessent de surprendre -- finira-t-on un jour par découvrir l'ultime vérité?
Dire qu'il faudra attendre un peu plus de 12 ans pour lire le prochain...
Le dessin est toujours aussi bon ( malgré une petite baisse sûrement due à la petite taille des cases ou aux impératifs de publication ) ,mais cette fois ,en plus le scénario y est donc ,ce trio de bédéastes nous offre un chef d’oeuvre donjonnesque !
Il y a bien sûr les scènes purement épiques comme les Tong Deum de Marvin ou les transformations d’Herbert avec les bottes et l’épée du Destin et autres pichenettes ..... Mais ,en plus de ça les auteurs nous délivrent des scoops sur Vaucanson et la famille d’Herbert.
Les somptueux décors médiévaux et l’univers de Vaucanson avec les automates sont des merveilles d’inventivité et l’histoire traîne moins que les autres tomes (on parle du mariage depuis le tome 3.....) .Donc ce 6ème opus mérite bien 18,8/20
Cette fois, Sfar & Trondheim ont été sympa avec Boulet en lui proposant cette histoire avec un scénario en béton, à la fois épique (les nombreuses scènes de bastons -et notamment les Tong Deum de Marvin - sont à couper le souffle) et très drôle, avec un paquet de répliques et de gags hilarants ("Et mon cul, c'est du poulet ?").
C'est un régal de suivre les péripéties de Herbert, Marvin & cie dans cette cité médiévale de Vaucanson.
RETOUR EN FANFARE maintient la série "Zénith" au top niveau, après une très petite faiblesse entr'aperçue dans UN MARIAGE A PART.
J'ai quand même l'impression que Sfar et Trondheim soigne particulièrement la série Zenith. "Un mariage à part" était à mon goût un peu en dessous des autres Zenith. Là, avec "Un retour en fanfare" on revient à de l'excellentissime Donjon. Un vrai bonheur ! Ce tome est à lire avec les derniers Donjon sortis (Le Grand Animateur - Monster et Le Grimoire de l'Inventeur également dans la série Monster), centrés sur l'histoire de Vaucanson, ses automates, ses grandes figures, le tout forcément lié au destin de herbert !
L'histoire est la suite immédiate de "Un mariage à part" et c'est, comme cela à déjà été dit, très agréable.
Le dessin de Boulet est bien, en tous cas moi je m'y habitue très bien, mais surtout l'histoire est assez génial et très cohérente. Quleques passages sont rééllement génial et/ou hilarant ! Les deux Tong Deum de Marvin sont d'ores et déjà "mythique".
Dessiné de main de maître par Boulet, la branche Zénith - peut-être s'agit-il même du tronc ? - de l'arbre "Donjon" reprend, grâce à ce "Retour en Fanfare" assez décoiffant sa place centrale au sein de la saga, en réussissant à intégrer dans son scénario suffisamment d'éléments apportés par les séries "Monsters" ou "Parade" pour satisfaire les plus épris de logique parmi ses fans. Si l'on peut regretter que l'humour des premiers tomes n'ait pas vraiment survécu à ce recentrage sur l'épopée (on n'est pas si loin ici de l'heroic fantasy la plus traditionnelle...), mais aussi qu'il y ait moins d'éclairs de folie ou de flottements poétiques que dans certaines digressions récentes autour de l'univers en permanente expansion du Donjon, force est de constater que ce nouveau tome impressionne par son inventivité et sa cohérence : sans doute temporairement égarés au sein de leur projet démentiel (et détournés vers d'autres tâches en parallèle), Trondheim et Sfar ont clairement ici repris la main sur leur fiction prolifèrante et leurs personnages éclatés. Et si la fin "à suivre" est forcément frustrante, on sort de ce 6ème tome (et 31ème volume du "Donjon" en 10 ans !) rassurés et ravis.
Merci aux auteurs et merci à Boulet ! Bien que les dessins ne sont, à priori, pas le point fort de la série, je me suis surpris à apprécier + longuement certaines planches que j'ai trouvé vraiment magnifiques et inventives. Boulet a alterné son découpage avec des grandes cases, des petites, des allongées, bref, pas mal de diversité ! Certaines cases étaient tellement originales que j'ai même pensé à l'esprit "nef des fous" ! C'est dire... Sinon pour moi, ce tome est tout simplement l'un des tout meilleurs de la série Donjon (et pas seulement Zenith). C'est bon d'avoir une histoire qui suit la précédente, ce qui n'était pas le cas de pas mal de tomes récents de cette série. Sinon, les scènes d'action sont omniprésentes et parfois complétement loufdingue ! Les séquences sur les toits et dans la forêt sont désormais des scènes d'antologies avec la clé un tong deum de Marvin à découvrir de toute urgence ! La couverture est une des plus réussies. Une intrigue à la hauteur. Du bon humour bien placé et pas trop débordant. La cerise sur le gâteau étant la découverte de nouveaux personnages. Pour certains, il y a d'évidentes liaisons avec à la vie passé d'Herbet, ce qui donnera probablement lieu à pas mal de "sous niveaux" très interressants.
Bref, un tome 6 très très riche !
Du bonheur, que du bonheur ce tome !