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Tout d'abord, le travail de Blain. Magnifique. les premières pages de nuit noire dans une ville noire le prouve. La violence du meurtre et la transformation du personnage de hyacinthe le prouve aussi. les premières planches sont tout simplement superbes d'intensité émotionnelle et de maitrise graphique.
Puis vient le périple ou deux types de justices (l'ubuesques et racistes de Xaumatauxisne et la kafkaïennes de Nécropolis) se télescopent avec celle de la chemise de la nuit, (courtoise et chevaleresque). Et cette quête de sens ou Hyacinthe (meurtrier et perdu) découvre les croyances et les facettes nombreuses d'une justice multiple lui permette enfin de voir juste, selon le taureau avocat ( meurtriers et rentre dedans). Derrière ses pleurs d'enfant se cache le passage à la maturité. Il n'empêche la cause reste noble puisque c'est pour sauver une princesse en détresse que notre adulte-enfin utilisera tous les ressorts et manipulations. pour gagner. Ainsi, si le but en soi est chevaleresque, les moyens pour l'obtenir, désormais, ne l'est plus. Hyacinthe suit le chemin de vie, pragmatique et calculateur, de Horous ( dans le tome "la nuit du tombeur").
Enfin, il y a dans cet album l'un des plus beaux fusils de Tchekov qu'il m'est été donné de lire: La bourse. Car il est surprenant et détonnant dans son obtention et son utilisation. Car il est un symbole parfait de transformation de Hyacinthe. Car il est utilisé avec les brous qui, dès le premier album, furent les premiers à commencer de détruire les rêves chevaleresques de notre personnage principal. Avec cette bourse, c'est eux véritablement qui le transforme.
Excellente série parallèle à la série mère.
Les origines du Donjon sont dévoilées au long de ces 5 tomes, dans une ambiance plus sombre.
Cependant, il y a une césure entre les 3 premiers tomes et la suite.
En effet, le début raconte la jeunesse étudiante du gardien et sa rencontre du monde interlope dirigé par son oncle : c'est une vrai réussite.
A partir du tome 4, le temps a passé et l'histoire est moins intéressante. Cela donne également comme impression que les auteurs auraient pu réaliser d'autres histoires entre les tomes 3 et 4 (il manque au lecteur un tome de liaison).
Un autre excellent album dans la lignée des Potron-minet, même si on vient casser le style avec un Hyacinthe qui apprend à la dure que la réalité est encore plus sombre qu'il ne l'imaginait.
Infidélités, infections transmises sexuellement, justice malléable au gré de ceux qui l'appliquent -- le monde juste et impartial auquel Hyacinthe voulait croire se dérobe sous ses pieds.
Le romantisme naïf laisse place à la réalité cruelle. C'est le début d'une transformation. Un peu moins bon que les deux premiers selon moi, mais tout de même de haut niveau!
Changement de ton radical avec cet album-ci, l'intrigue et les thèmes abordés sont beaucoup plus sombres. L'album est dynamique, d'une part grâce à un scénario sans temps mort, et d'autre part grâce aux dessins de Blain, vifs et enjoués. Pour autant, malgré la noirceur de l'intrigue, l'humour - noir et décalé, forcément - n'en demeure pas moins bien présent (les personnages de Brous me font décidément bien rire !).
UNE JEUNESSE QUI S'ENFUIT est le "Potron-Minet" que je préfère.
Si "Un justicier dans l'ennui" est totalement indispensable en terme de trame générale (et notamment la génèse du trio le Gardien, Horous, Alcibade), "Une jeunesse qui s'enfuit" l'est tout autant dans son style puisque le tome nous narre les quelques évènements qui vont faire de Hyacinhte un adulte alors que le précédent tome était quant à lui plus centré sur "l'adolescence" de Hyacinthe.
Notre héros préféré va au fil de ce tome perdre ses dernières illusions sur le monde qui l'entoure et dont il se croyait un élément à part. Là, la réalité de ses actes lui montre qu'il est une pièce parmi tant d'autres de Terra Amata et que c'est peut-être comme ça qu'il arrivera à ses fins. C'est en effet en utilisant les armes de ses ennemies que Hyacinthe parvient à ses fins...fait qui va ébranler définitivement la foi de Hyacinthe en la justice. Les scènes chez les très énervants lapins de Zautamauxime en sont le point d'orgue.
La transformation de Hyacinthe se continue et on comprend évènements après évènements mieux le long chemin qui va faire de Hyacinthe de cavallère le gardien du donjon.
Les premières pages et la scène chez Alexandra sont vraiment bluffantes.
Encore un excellent Donjon sur une période (Potron Minet) que j'aime beaucoup. Peut-être moins drôle que Zenith mais avec une vrai identité avec le dessin de Blain et une profondeur de par les nombreux thèmes abordés.
Dans ce tome, Hyacinthe est de plus en plus mature et lucide. Ce tome pressent ce qu'il deviendrai par la suite. On retrouve donc un peu moins de naiveté des 2 premiers tomes mais cela reste tout de même une Bd amusante et touchante. A lire absolument. On attend la suite avec une grande impatience !!!
Il paraît qie la série va un peu ralentir, Joann Sfar un des deux co-scénariste étant en train de préparer son premier long-métrage "grand vampire"... Les lecteurs les plus accros y survivront-ils ? En tout cas la "jeunesse qui s'enfuit" est, comme tous les "potron-minet", un extraordinaire Donjon à lire avec plaisir à côté de "mon fils le tueur", le "donjon Monsters" signé Blutch.
Ici l'on verra que notre "chemise de la nuit" est un pragmatique et un meneur en puissance, il n'hésitera pas à s'allier aux plus sales engeances de Terra-amata pour faire capoter une conspiration de sorciers.
Tout d'abord, le travail de Blain. Magnifique. les premières pages de nuit noire dans une ville noire le prouve. La violence du meurtre et la transformation du personnage de hyacinthe le prouve aussi. les premières planches sont tout simplement superbes d'intensité émotionnelle et de maitrise graphique.
Puis vient le périple ou deux types de justices (l'ubuesques et racistes de Xaumatauxisne et la kafkaïennes de Nécropolis) se télescopent avec celle de la chemise de la nuit, (courtoise et chevaleresque). Et cette quête de sens ou Hyacinthe (meurtrier et perdu) découvre les croyances et les facettes nombreuses d'une justice multiple lui permette enfin de voir juste, selon le taureau avocat ( meurtriers et rentre dedans). Derrière ses pleurs d'enfant se cache le passage à la maturité. Il n'empêche la cause reste noble puisque c'est pour sauver une princesse en détresse que notre adulte-enfin utilisera tous les ressorts et manipulations. pour gagner. Ainsi, si le but en soi est chevaleresque, les moyens pour l'obtenir, désormais, ne l'est plus. Hyacinthe suit le chemin de vie, pragmatique et calculateur, de Horous ( dans le tome "la nuit du tombeur").
Enfin, il y a dans cet album l'un des plus beaux fusils de Tchekov qu'il m'est été donné de lire: La bourse. Car il est surprenant et détonnant dans son obtention et son utilisation. Car il est un symbole parfait de transformation de Hyacinthe. Car il est utilisé avec les brous qui, dès le premier album, furent les premiers à commencer de détruire les rêves chevaleresques de notre personnage principal. Avec cette bourse, c'est eux véritablement qui le transforme.
Un sans faute pour un opus parfaitement réussi.
Excellente série parallèle à la série mère.
Les origines du Donjon sont dévoilées au long de ces 5 tomes, dans une ambiance plus sombre.
Cependant, il y a une césure entre les 3 premiers tomes et la suite.
En effet, le début raconte la jeunesse étudiante du gardien et sa rencontre du monde interlope dirigé par son oncle : c'est une vrai réussite.
A partir du tome 4, le temps a passé et l'histoire est moins intéressante. Cela donne également comme impression que les auteurs auraient pu réaliser d'autres histoires entre les tomes 3 et 4 (il manque au lecteur un tome de liaison).
Un autre excellent album dans la lignée des Potron-minet, même si on vient casser le style avec un Hyacinthe qui apprend à la dure que la réalité est encore plus sombre qu'il ne l'imaginait.
Infidélités, infections transmises sexuellement, justice malléable au gré de ceux qui l'appliquent -- le monde juste et impartial auquel Hyacinthe voulait croire se dérobe sous ses pieds.
Le romantisme naïf laisse place à la réalité cruelle. C'est le début d'une transformation. Un peu moins bon que les deux premiers selon moi, mais tout de même de haut niveau!
Changement de ton radical avec cet album-ci, l'intrigue et les thèmes abordés sont beaucoup plus sombres. L'album est dynamique, d'une part grâce à un scénario sans temps mort, et d'autre part grâce aux dessins de Blain, vifs et enjoués. Pour autant, malgré la noirceur de l'intrigue, l'humour - noir et décalé, forcément - n'en demeure pas moins bien présent (les personnages de Brous me font décidément bien rire !).
UNE JEUNESSE QUI S'ENFUIT est le "Potron-Minet" que je préfère.
Si "Un justicier dans l'ennui" est totalement indispensable en terme de trame générale (et notamment la génèse du trio le Gardien, Horous, Alcibade), "Une jeunesse qui s'enfuit" l'est tout autant dans son style puisque le tome nous narre les quelques évènements qui vont faire de Hyacinhte un adulte alors que le précédent tome était quant à lui plus centré sur "l'adolescence" de Hyacinthe.
Notre héros préféré va au fil de ce tome perdre ses dernières illusions sur le monde qui l'entoure et dont il se croyait un élément à part. Là, la réalité de ses actes lui montre qu'il est une pièce parmi tant d'autres de Terra Amata et que c'est peut-être comme ça qu'il arrivera à ses fins. C'est en effet en utilisant les armes de ses ennemies que Hyacinthe parvient à ses fins...fait qui va ébranler définitivement la foi de Hyacinthe en la justice. Les scènes chez les très énervants lapins de Zautamauxime en sont le point d'orgue.
La transformation de Hyacinthe se continue et on comprend évènements après évènements mieux le long chemin qui va faire de Hyacinthe de cavallère le gardien du donjon.
Les premières pages et la scène chez Alexandra sont vraiment bluffantes.
Encore un excellent Donjon sur une période (Potron Minet) que j'aime beaucoup. Peut-être moins drôle que Zenith mais avec une vrai identité avec le dessin de Blain et une profondeur de par les nombreux thèmes abordés.
Dans ce tome, Hyacinthe est de plus en plus mature et lucide. Ce tome pressent ce qu'il deviendrai par la suite. On retrouve donc un peu moins de naiveté des 2 premiers tomes mais cela reste tout de même une Bd amusante et touchante. A lire absolument. On attend la suite avec une grande impatience !!!
Il paraît qie la série va un peu ralentir, Joann Sfar un des deux co-scénariste étant en train de préparer son premier long-métrage "grand vampire"... Les lecteurs les plus accros y survivront-ils ? En tout cas la "jeunesse qui s'enfuit" est, comme tous les "potron-minet", un extraordinaire Donjon à lire avec plaisir à côté de "mon fils le tueur", le "donjon Monsters" signé Blutch.
Ici l'on verra que notre "chemise de la nuit" est un pragmatique et un meneur en puissance, il n'hésitera pas à s'allier aux plus sales engeances de Terra-amata pour faire capoter une conspiration de sorciers.
Comme toujours du trés bon!
On voit évoluer les (dés)illussions de notre justicier de la nuit.
On veut la suite, SVP, et pas dans 2 ans !!!!