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Une œuvre rare d'âpreté et sublime de violence crue, nauséeuse à la lecture. Et il est rare d'avoir ce genre de ressenti dans une lecture d'héroïque fantasy, un ressenti méticuleusement scénarisé et dessiné par les auteurs. Et c'est en cela que c'est du grand art. Peut être l'un des plus réussis de la saga Donjon.
Killofer est incroyable dans le cadrage qui mélange le haut du bas, la gauche de la droite. Il illustre à la perfection une civilisation marine qui, dans l'eau, n'a plus de points cardinaux, ni lignes de fuite, avec des mouvements spatiaux qui utilisent toutes les dimensions. De plus, sa précision architecturale est incroyable de finesse, sa violence sanguine est répugnante. Ce monde aquatique est un violence ou l'on se nourrit avec ses œufs, ou le racisme est partout légitime et nourricier, et ou la résilience est totale. Chaque cadrage, chaque personnage, chaque mouvement illustrent à la perfection tous les thèmes de l'histoire.
Et le scénario est extraordinaire. haletant et violent, on suit une jeune poisson qui d'adolescence deviendra guerrière boursouflée de colère. La dernière case de l'album est d'un onirisme extraordinaire en la comparant à la première. Biensur il y des éléments de l'univers Donjon qui alimentent la saga lorsque l'on quitte l'eau. Herbert fait peur. Sa domination est totale.
Mais l'œuvre peut être lu seule tant son intensité se suffit à elle même. Ce monde aquatique est un monde à part, et les auteurs ont construit ici un densité sociologique qui leurs permettent de raconter l'histoire de jeune femme qui vivra l'horreur avec un brio rare.
Cet opus est assurément l'un des plus réussis de la série mais également de tous le 9ème art de France.
Les profondeurs est un album particulièrement troublant. Déjà que la série ne se gêne pas pour aborder des sujets assez sérieux, celui-ci met le paquet!
Sinon, l'histoire présentée ici est intéressante et montre à quel point le Grand Khan était craint de tous. Il est plaisant de revoir certains personnages seulement aperçus dans un album auparavant, comme Shiwomihz et Papsukal.
Ce neuvième "Monsters" est étonnant à plus d'un titre : déjà, il met en scène un personnage inconnu jusqu'alors, et spécialement créé pour l'occasion, puisqu'on ne reverra plus jamais Noyeuse (l'héroïne de cet épisode) dans aucun des albums suivants. Mais surtout, le scénario est très cru et certaines scènes sont vraiment atroces, pour ne pas dire choquantes. Toutefois, malgré la cruauté du scénario, la lecture est passionnante et c'est un vrai plaisir que de découvrir l'univers sous-marin de Terra Amata et d'assister à l'évolution de la planète, en train de tomber sous le joug du Grand Khan.
Le style "Arty" du dessin de Killofer, avec plein de formes déstructurées, géométriques voire décalées, et des couleurs acidulées et osées, en total contraste les unes avec les autres, est très plaisant et idéal pour illustrer cet univers dépourvu de pesanteur, où les monstres marins les plus variés et extravagants se meuvent dans tous les sens et positions possibles.
J'ai pour ma part beaucoup aimé LES PROFONDEURS, mais il faut avoir le coeur bien accroché. Un "Donjon" très particulier à déconseiller aux enfants.
Une œuvre rare d'âpreté et sublime de violence crue, nauséeuse à la lecture. Et il est rare d'avoir ce genre de ressenti dans une lecture d'héroïque fantasy, un ressenti méticuleusement scénarisé et dessiné par les auteurs. Et c'est en cela que c'est du grand art. Peut être l'un des plus réussis de la saga Donjon.
Killofer est incroyable dans le cadrage qui mélange le haut du bas, la gauche de la droite. Il illustre à la perfection une civilisation marine qui, dans l'eau, n'a plus de points cardinaux, ni lignes de fuite, avec des mouvements spatiaux qui utilisent toutes les dimensions. De plus, sa précision architecturale est incroyable de finesse, sa violence sanguine est répugnante. Ce monde aquatique est un violence ou l'on se nourrit avec ses œufs, ou le racisme est partout légitime et nourricier, et ou la résilience est totale. Chaque cadrage, chaque personnage, chaque mouvement illustrent à la perfection tous les thèmes de l'histoire.
Et le scénario est extraordinaire. haletant et violent, on suit une jeune poisson qui d'adolescence deviendra guerrière boursouflée de colère. La dernière case de l'album est d'un onirisme extraordinaire en la comparant à la première. Biensur il y des éléments de l'univers Donjon qui alimentent la saga lorsque l'on quitte l'eau. Herbert fait peur. Sa domination est totale.
Mais l'œuvre peut être lu seule tant son intensité se suffit à elle même. Ce monde aquatique est un monde à part, et les auteurs ont construit ici un densité sociologique qui leurs permettent de raconter l'histoire de jeune femme qui vivra l'horreur avec un brio rare.
Cet opus est assurément l'un des plus réussis de la série mais également de tous le 9ème art de France.
Ecoeurant et magnifique.
Une esthétique pointue et perverse, un scénar' qui ne l'est pas moins.
L'album qui a définitivement rangé Donjon au rayon adulte.
Les profondeurs est un album particulièrement troublant. Déjà que la série ne se gêne pas pour aborder des sujets assez sérieux, celui-ci met le paquet!
Sinon, l'histoire présentée ici est intéressante et montre à quel point le Grand Khan était craint de tous. Il est plaisant de revoir certains personnages seulement aperçus dans un album auparavant, comme Shiwomihz et Papsukal.
Unique dans son contenu.
Ce neuvième "Monsters" est étonnant à plus d'un titre : déjà, il met en scène un personnage inconnu jusqu'alors, et spécialement créé pour l'occasion, puisqu'on ne reverra plus jamais Noyeuse (l'héroïne de cet épisode) dans aucun des albums suivants. Mais surtout, le scénario est très cru et certaines scènes sont vraiment atroces, pour ne pas dire choquantes. Toutefois, malgré la cruauté du scénario, la lecture est passionnante et c'est un vrai plaisir que de découvrir l'univers sous-marin de Terra Amata et d'assister à l'évolution de la planète, en train de tomber sous le joug du Grand Khan.
Le style "Arty" du dessin de Killofer, avec plein de formes déstructurées, géométriques voire décalées, et des couleurs acidulées et osées, en total contraste les unes avec les autres, est très plaisant et idéal pour illustrer cet univers dépourvu de pesanteur, où les monstres marins les plus variés et extravagants se meuvent dans tous les sens et positions possibles.
J'ai pour ma part beaucoup aimé LES PROFONDEURS, mais il faut avoir le coeur bien accroché. Un "Donjon" très particulier à déconseiller aux enfants.