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Alors que le cycle Antipolis de potron Minet est une réussite totale grâce aux crayons de Blain, Blutch et Vermot-Desroches, alors que Joann Sfar et Trondheim ont été d'une inspiration géniale durant ce même cycle, voici l'album à oublier vite mais alors très très vite.
D'abord le dessin. Nine, d'habitude incroyable dans ses espaces, son architecture et ses couleurs livre ici le minimum syndical. Ses estampes sont ici proche du "j'en ai rien à f...". Les personnages sont figés dans une posture toujours identiques ( Comment alexandra peut-elle rester si propre, ses cheveux si fluides en étant rester des semaines dans un cloaque?), ses décors ne sont que des formes grises et ses couleurs, la force originelle de l'artiste, sont sans aucune motivation. Certes, cet auteur est très atypique et son travail d'illustration est toujours proche de l'œuvre. Ici, rien.
Pourtant, il me semble que les scénaristes ont tout fait pour lui rendre la tache plus aisée. Car, pour moi, lire une histoire si décousue de deux scénaristes- orfèvres à l'accoutumée implique une raison et cette raison est celle-ci: permettre à Nine de construire confortablement ses dessins.
Certes, j'ai aimé que l'histoire prenne le temps sur la détention d'Alexandra dans l'égout-cachot comme j'ai trouvé pertinent et accrocheur émotionnellement le traitement du personnage de la souris prisonnière. Mais le reste...bon dieu...le reste que c'est étrangement mauvais! L'interview prétexte à un guet apens fait tellement "deus ex machina". Les 3 tentatives d'empoisonnement font chuter le rythme de lecture qui prend déjà tellement son temps en interview et en prison. Mais c'est La réaction de Hyacinthe vis à vis d'Alexandra lors de leur rencontre finale qui est le pire. Ayant tout fait pour la sauver jusqu'à séquestrer des dizaines de personnes, il la rejette car elle est rentrée chez lui ( maisonnée gigantesque) et qu'il est en famille? Sérieux ? Alors oui cela tente d'expliquer le meurtre d'Elise dont on ne sait quasiment rien. On l'a quitté folle excitée par Horous pour la retrouver mariée à Hyacinthe et si cynique à son endroit. A peine est-elle mariée qu'elle est morte. C'est dire le peu d'intérêt que le lecteur peut avoir sur son décès tant il y à d'incompréhension sur son sujet. Et, même, le personnage d'Alexandra qui est une surhumaine puisque elle n'est jamais exténuée malgré l'enfer, part folle et retourne dans le sensé comme qui rigole.
Question univers Donjon, on comprend comment Hyacinthe est devenu maitre des assassins et ça c'est bien.
Quel récit! Une histoire de vengeance et de cruauté très sombre, narrée par l'unique Alexandra, à la fois attachante et répugnante, mais l'assassin préféré de tous.
On ne fait pas dans la dentelle, ici - meurtres à foison, torture, viol - c'est l'histoire écrasante d'une vie qui n'a connu que le crime et la douleur. C'est aussi le récit d'un personnage dont on souhaitait connaître les motivations depuis longtemps et qui répond à ces questions.
D'accord, le style 'brouillon' de Carlos Nine l'est peut-être un peu TROP, mais il réussit tout de même à donner le ton à cet exposé particulier. À lire absolument si vous désirez connaître Alexandra.
Un dessin désagréable, très (trop) flou, et un ton narratif assez monotone et ennuyeux : ce huitième "Monsters" déçoit énormément.
Le personnage d'Alexandra méritait beaucoup mieux.
Un album pour les fans uniquement.
Surement le Monsters le plus athypique ! C'est essentiellement du au dessin si particulier de Carlos Nine et au mode de récit choisi : une narration, très peu de dialogue et une histoire centrée sur la mysterieuse Alexandra. En terme de scénario on en apprend beaucoup sur notre assassin préféré et sur les relations qu'elle à noué avec la ville d'Antipolis (oui, le tome se situe à la période potron minet), avec Hyacinthe (chemise de la nuit) et plus brièvement avec l'épouse officiel de Hyacinthe ;o)
Le trait de Carlos Nine peut ne pas plaire (moi j'aime assez) et c'est à mon avis pas le meilleur monster, c'est donc un tome que les non fans de la série peuvent laisser de côté. Pour les fans il est tout de même indispensable.
Alors que le cycle Antipolis de potron Minet est une réussite totale grâce aux crayons de Blain, Blutch et Vermot-Desroches, alors que Joann Sfar et Trondheim ont été d'une inspiration géniale durant ce même cycle, voici l'album à oublier vite mais alors très très vite.
D'abord le dessin. Nine, d'habitude incroyable dans ses espaces, son architecture et ses couleurs livre ici le minimum syndical. Ses estampes sont ici proche du "j'en ai rien à f...". Les personnages sont figés dans une posture toujours identiques ( Comment alexandra peut-elle rester si propre, ses cheveux si fluides en étant rester des semaines dans un cloaque?), ses décors ne sont que des formes grises et ses couleurs, la force originelle de l'artiste, sont sans aucune motivation. Certes, cet auteur est très atypique et son travail d'illustration est toujours proche de l'œuvre. Ici, rien.
Pourtant, il me semble que les scénaristes ont tout fait pour lui rendre la tache plus aisée. Car, pour moi, lire une histoire si décousue de deux scénaristes- orfèvres à l'accoutumée implique une raison et cette raison est celle-ci: permettre à Nine de construire confortablement ses dessins.
Certes, j'ai aimé que l'histoire prenne le temps sur la détention d'Alexandra dans l'égout-cachot comme j'ai trouvé pertinent et accrocheur émotionnellement le traitement du personnage de la souris prisonnière. Mais le reste...bon dieu...le reste que c'est étrangement mauvais! L'interview prétexte à un guet apens fait tellement "deus ex machina". Les 3 tentatives d'empoisonnement font chuter le rythme de lecture qui prend déjà tellement son temps en interview et en prison. Mais c'est La réaction de Hyacinthe vis à vis d'Alexandra lors de leur rencontre finale qui est le pire. Ayant tout fait pour la sauver jusqu'à séquestrer des dizaines de personnes, il la rejette car elle est rentrée chez lui ( maisonnée gigantesque) et qu'il est en famille? Sérieux ? Alors oui cela tente d'expliquer le meurtre d'Elise dont on ne sait quasiment rien. On l'a quitté folle excitée par Horous pour la retrouver mariée à Hyacinthe et si cynique à son endroit. A peine est-elle mariée qu'elle est morte. C'est dire le peu d'intérêt que le lecteur peut avoir sur son décès tant il y à d'incompréhension sur son sujet. Et, même, le personnage d'Alexandra qui est une surhumaine puisque elle n'est jamais exténuée malgré l'enfer, part folle et retourne dans le sensé comme qui rigole.
Question univers Donjon, on comprend comment Hyacinthe est devenu maitre des assassins et ça c'est bien.
Mais à part ça.....on oublie vite
Quel récit! Une histoire de vengeance et de cruauté très sombre, narrée par l'unique Alexandra, à la fois attachante et répugnante, mais l'assassin préféré de tous.
On ne fait pas dans la dentelle, ici - meurtres à foison, torture, viol - c'est l'histoire écrasante d'une vie qui n'a connu que le crime et la douleur. C'est aussi le récit d'un personnage dont on souhaitait connaître les motivations depuis longtemps et qui répond à ces questions.
D'accord, le style 'brouillon' de Carlos Nine l'est peut-être un peu TROP, mais il réussit tout de même à donner le ton à cet exposé particulier. À lire absolument si vous désirez connaître Alexandra.
Un dessin désagréable, très (trop) flou, et un ton narratif assez monotone et ennuyeux : ce huitième "Monsters" déçoit énormément.
Le personnage d'Alexandra méritait beaucoup mieux.
Un album pour les fans uniquement.
Surement le Monsters le plus athypique ! C'est essentiellement du au dessin si particulier de Carlos Nine et au mode de récit choisi : une narration, très peu de dialogue et une histoire centrée sur la mysterieuse Alexandra. En terme de scénario on en apprend beaucoup sur notre assassin préféré et sur les relations qu'elle à noué avec la ville d'Antipolis (oui, le tome se situe à la période potron minet), avec Hyacinthe (chemise de la nuit) et plus brièvement avec l'épouse officiel de Hyacinthe ;o)
Le trait de Carlos Nine peut ne pas plaire (moi j'aime assez) et c'est à mon avis pas le meilleur monster, c'est donc un tome que les non fans de la série peuvent laisser de côté. Pour les fans il est tout de même indispensable.