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Le parti pris des auteurs dans la série "Donjon Monsters" de faire venir des artistes au traits atypiques peuvent heurter les lecteurs. Moi même, j'ai décroché de l'album "Crève cœur" pour cela. Et ce parti pris casse gueule fera toujours des mécontents flagrants autant qu'il fera des aficionados sur le même tome. C'est tout ou rien.
Je suis de ceux qui sont exaltés pour "Le géant qui pleure" car j'ai adoré la violence des courbes, les aplats graves jusqu'au décors de JC Menu. Je trouve que cela va parfaitement avec l'univers Donjon et ce tome en particulier.
Car clairement celui-ci est déjanté, fou. Deux ingénieurs que l'on peut considérer comme sociopathes sont en quête hors des murs du Donjon. Et toutes leurs solutions, notamment pour se sortir de mauvaises situations, sont hilarantes de folie. Mais si nos héros antisociaux sont pétés du bulbe, les autres personnages le sont tout autant. ce qui rend savoureux tout l'album.
Evidemment, détourné les codes de la princesse enfermée dans une tour d'ivoire amène des situations hilarantes, des défis détonnant au machisme inversé, des moments de questionnement ubuesque. Et on rit pleinement.
Mais il y a aussi et comme toujours, de vrais moments dramatiques car un meurtre et un suicide se commettent tout de même dans cette histoire. Et ils n'ont rien de drôles. Comme si on ne pouvait se moquer impunément de la nature humaine sans retour morbide du bâton. et c'est pour cela que j'aime autant cet univers. Son cynisme tragi-comique.
Et même si je regrette la mort (trop) rapide d'un personnage Donjon qui aurait pu compter dans cet univers que j'aime tant et même si ce tome ne le construit guère, cet aparté est l'un de mes préférés tant ce n'importe nawak à l'extrême est rudement bien écrit....et si bien dessiné.
"Et alors j'ai léché ses pieds et je lui ai dit que vue d'en dessous, elle ressemblait à une déesse sexuelle..."
Unique et drôle! Le géant Biscara est en peine d'amour, alors l’œil que possède Alcibiade inonde le donjon! C'est donc à Alcibiade et à Horous d'aller le consoler! Mais ce ne sera pas si facile, puisque Sonia la grosse, dont il est amoureux, est difficile à charmer...
Le dessin de J-C Menu, que plusieurs semblent ne pas aimer, est très expressif, et je trouve qu'il colle très bien à l'histoire. Le visage du géant est exubérant; j'aime beaucoup! C'est un style qui se démarque beaucoup de tous les albums précédents jusqu'à maintenant.
Je trouve par ailleurs l'humour bien déjanté, et l'histoire pour le moins originale, même pour l'univers Donjon! Connaissez-vous une autre BD où un géant qui souhaite devenir l'amoureux d'une géante qui s'envoie en l'air avec un dragon doit devenir son esclave en exécutant des tâches ménagères telles que la vaisselle et l'épluchage de patates?
Le dessin de Menu est assez repoussant, mais l'histoire est bien drôle avec des passages totalement farfelus et bien tordus (Horous & Alcibiade se laissant mourir puis pourrir pour ressusciter grâce à un sort de nécromancie de résurrection par anticipation).
Un album bien déjanté.
Le Monster que j'aime le moins ! L'histoire est somme toute assez anécdotique mais surtout je suis pas très fan du dessin de Menu. Si on devait pouvoir se passer d'un seul tome de toute la série ça serait à mon avis celui-là.
Ce tome nous présente une aventure d'Alcibiade qui n'est pas mon personnage préféré. C'est pourquoi, et c'est strictement personnel, ce n'est pas un de mes Donjons Monsters préféré. Mais celui ci reste encore d'un très bon niveau ! On le doit surtout à une intrigue pour le moins farfelue et originale et à l'intervention froide mais toujours hilarante d'Horous.
Le parti pris des auteurs dans la série "Donjon Monsters" de faire venir des artistes au traits atypiques peuvent heurter les lecteurs. Moi même, j'ai décroché de l'album "Crève cœur" pour cela. Et ce parti pris casse gueule fera toujours des mécontents flagrants autant qu'il fera des aficionados sur le même tome. C'est tout ou rien.
Je suis de ceux qui sont exaltés pour "Le géant qui pleure" car j'ai adoré la violence des courbes, les aplats graves jusqu'au décors de JC Menu. Je trouve que cela va parfaitement avec l'univers Donjon et ce tome en particulier.
Car clairement celui-ci est déjanté, fou. Deux ingénieurs que l'on peut considérer comme sociopathes sont en quête hors des murs du Donjon. Et toutes leurs solutions, notamment pour se sortir de mauvaises situations, sont hilarantes de folie. Mais si nos héros antisociaux sont pétés du bulbe, les autres personnages le sont tout autant. ce qui rend savoureux tout l'album.
Evidemment, détourné les codes de la princesse enfermée dans une tour d'ivoire amène des situations hilarantes, des défis détonnant au machisme inversé, des moments de questionnement ubuesque. Et on rit pleinement.
Mais il y a aussi et comme toujours, de vrais moments dramatiques car un meurtre et un suicide se commettent tout de même dans cette histoire. Et ils n'ont rien de drôles. Comme si on ne pouvait se moquer impunément de la nature humaine sans retour morbide du bâton. et c'est pour cela que j'aime autant cet univers. Son cynisme tragi-comique.
Et même si je regrette la mort (trop) rapide d'un personnage Donjon qui aurait pu compter dans cet univers que j'aime tant et même si ce tome ne le construit guère, cet aparté est l'un de mes préférés tant ce n'importe nawak à l'extrême est rudement bien écrit....et si bien dessiné.
"Et alors j'ai léché ses pieds et je lui ai dit que vue d'en dessous, elle ressemblait à une déesse sexuelle..."
Unique et drôle! Le géant Biscara est en peine d'amour, alors l’œil que possède Alcibiade inonde le donjon! C'est donc à Alcibiade et à Horous d'aller le consoler! Mais ce ne sera pas si facile, puisque Sonia la grosse, dont il est amoureux, est difficile à charmer...
Le dessin de J-C Menu, que plusieurs semblent ne pas aimer, est très expressif, et je trouve qu'il colle très bien à l'histoire. Le visage du géant est exubérant; j'aime beaucoup! C'est un style qui se démarque beaucoup de tous les albums précédents jusqu'à maintenant.
Je trouve par ailleurs l'humour bien déjanté, et l'histoire pour le moins originale, même pour l'univers Donjon! Connaissez-vous une autre BD où un géant qui souhaite devenir l'amoureux d'une géante qui s'envoie en l'air avec un dragon doit devenir son esclave en exécutant des tâches ménagères telles que la vaisselle et l'épluchage de patates?
Je ne pensais pas, non.
Le dessin de Menu est assez repoussant, mais l'histoire est bien drôle avec des passages totalement farfelus et bien tordus (Horous & Alcibiade se laissant mourir puis pourrir pour ressusciter grâce à un sort de nécromancie de résurrection par anticipation).
Un album bien déjanté.
Le Monster que j'aime le moins ! L'histoire est somme toute assez anécdotique mais surtout je suis pas très fan du dessin de Menu. Si on devait pouvoir se passer d'un seul tome de toute la série ça serait à mon avis celui-là.
Ce tome nous présente une aventure d'Alcibiade qui n'est pas mon personnage préféré. C'est pourquoi, et c'est strictement personnel, ce n'est pas un de mes Donjons Monsters préféré. Mais celui ci reste encore d'un très bon niveau ! On le doit surtout à une intrigue pour le moins farfelue et originale et à l'intervention froide mais toujours hilarante d'Horous.