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Cet album ne peut être lu qu'avec "la carte majeure" et " le noir seigneur". En effet, ces trois tomes racontent la fin du monde ( l'Armageddon) au travers de trois personnages et tous sont interconnectés, construisant ainsi une narration complexe mais jubilatoire.
Ici donc on suit Marvin avec les dessins du chat du Rabbin car Sfar change une nouvelle fois son trait dans Donjon Crépuscule pour adopter celui qui fait son succès dans cet autre série. Alors, oui, Sfar est un génie du trait simple qui raconte le complexe et le beau. Mais je regrette tout de même qu'il ne fasse pas un choix propre et unique à Crépuscule. Ceci dit le plaisir de lire reste entier.
Dans cet opus, on rigole un peu dans tout un tas de scène à l'hémoglobine florissante. Les batailles se multiplient avec hystérie et violence. Et toutes les histoires narrées ont du sens psychologique et narratif lorsque l'on lit les autres parcours des autres personnages tel que Marvin le rouge ( la carte majeure) et Herbert ( le noir seigneur, l'album le plus réussi des trois ). Mais sans cet obligation à lire les autres tomes, on peut passer à côté d'une multitude d'évidence tel que les Olfs étaient civilisé mais ne le seront plus car un roi légendaire vient de réapparaitre.
Réjouissant, l'album reste le plus drôle des trois. Gilberto plane à 100000, le procès est d'une bêtise crasse mais il y a aussi les moments de vérité tel que celui de Pipistrelle la chauve souris concernant sa mère et qui rappelle que les destinées ne sont pas toujours heureuses.
Un bel album qui fonce de péripéties en péripéties mais qui s'attarde aussi à nous faire réfléchir.
" - Sire, depuis l'abolition de la peine capitale, la Machine Fatale est au musée.
- Allez la chercher."
La planète est détruite, des morceaux du monde flottent un peu partout. Marvin est désormais éternel... Cet album donne un nouveau souffle à l'époque Crépuscule, où tout a changé et où toutes les races de Terra Amata doivent s'adapter à leur nouvel environnement.
Nous avons droit ici à un album assez sombre, où le désespoir règne en maître. La quête de Marvin pour retrouver ses bras perdus et son adaptation à ce nouveau monde détruit est assez passionnante. Ici, le seul but est de survivre à l'hostilité. De plus, un regard rapide vers le passé de Marvin étoffe de nouveau son personnage.
Les dessins sont plus petits, et j'approuve. Ça permet de bourrer plus d'histoire dans un même nombre de pages. Le style représente bien le monde post-apocalyptique.
L'ambiance "fin du monde" propre à la série "Crépuscule" atteint dans ARMAGGEDDON son paroxysme avec la destruction complète de la planète Terra Amata ! L'exploitation de ses conséquences est super bien trouvée, c'est à coup sûr l'un des coups de maîtres du duo d'auteurs Sfar/Trondheim.
Les dessins manquent certes cruellement de charme mais la progression du Roi-Poussière et de son acolyte foireux Gilberto dans le Grand Poupoulou et leurs confrontations avec les Olfs rendent cet album captivant.
Ce numéros est extra car il nous présente la destruction de la planéte. cette dernière va en effet se retrouver totalement remodelés ce tome ouvre donc pour la suite de trés nombreuses possibilités scénaristiques.
Un tome qui ressemble encore a du très bon crépuscule cad très noir, ambiance fin du monde. C'est donc forcément original et impressionnant tout en restant très divertissant via les divers personnages extrêment attachants.
Un crépuscule majeur en terme scénario et qu'il faut rattacher aux deux monster que sont "La carte majeur" et le "noir seigneur". Donc [!!warning spoiling!!] ca y est, Herbert est revenu et il à tout fait péter par la même occasion. Marvin est trop trognon quand il avoue qu'il voudrait voir herbert à la fin du tome. On dirait un enfant boudeur qui veut voir son meilleur copain parce que sinon il s'ennuie trop. C'est vraiment chou :o)
Je trouve le tome dans sa globalité un peu moins bon que Le Volcan des Vaucanson. J'ai trouvé le dessin un peu limite par instant !? C'est peut-être juste une impression...Reste quelques scènes au sujet de la défonce, de la toxico et des paradis artificiels qui me font vraiment bien marrer, et à jeun en plus ;o)
encore un excellent donjon bien sûr. Il se lit en conjonction avec "la carte majeure", d'Andréas, et "le noir seigneur", de Blanquet, qui apportent un complément d'information bienvenu.
Cet album ne peut être lu qu'avec "la carte majeure" et " le noir seigneur". En effet, ces trois tomes racontent la fin du monde ( l'Armageddon) au travers de trois personnages et tous sont interconnectés, construisant ainsi une narration complexe mais jubilatoire.
Ici donc on suit Marvin avec les dessins du chat du Rabbin car Sfar change une nouvelle fois son trait dans Donjon Crépuscule pour adopter celui qui fait son succès dans cet autre série. Alors, oui, Sfar est un génie du trait simple qui raconte le complexe et le beau. Mais je regrette tout de même qu'il ne fasse pas un choix propre et unique à Crépuscule. Ceci dit le plaisir de lire reste entier.
Dans cet opus, on rigole un peu dans tout un tas de scène à l'hémoglobine florissante. Les batailles se multiplient avec hystérie et violence. Et toutes les histoires narrées ont du sens psychologique et narratif lorsque l'on lit les autres parcours des autres personnages tel que Marvin le rouge ( la carte majeure) et Herbert ( le noir seigneur, l'album le plus réussi des trois ). Mais sans cet obligation à lire les autres tomes, on peut passer à côté d'une multitude d'évidence tel que les Olfs étaient civilisé mais ne le seront plus car un roi légendaire vient de réapparaitre.
Réjouissant, l'album reste le plus drôle des trois. Gilberto plane à 100000, le procès est d'une bêtise crasse mais il y a aussi les moments de vérité tel que celui de Pipistrelle la chauve souris concernant sa mère et qui rappelle que les destinées ne sont pas toujours heureuses.
Un bel album qui fonce de péripéties en péripéties mais qui s'attarde aussi à nous faire réfléchir.
" - Sire, depuis l'abolition de la peine capitale, la Machine Fatale est au musée.
- Allez la chercher."
La planète est détruite, des morceaux du monde flottent un peu partout. Marvin est désormais éternel... Cet album donne un nouveau souffle à l'époque Crépuscule, où tout a changé et où toutes les races de Terra Amata doivent s'adapter à leur nouvel environnement.
Nous avons droit ici à un album assez sombre, où le désespoir règne en maître. La quête de Marvin pour retrouver ses bras perdus et son adaptation à ce nouveau monde détruit est assez passionnante. Ici, le seul but est de survivre à l'hostilité. De plus, un regard rapide vers le passé de Marvin étoffe de nouveau son personnage.
Les dessins sont plus petits, et j'approuve. Ça permet de bourrer plus d'histoire dans un même nombre de pages. Le style représente bien le monde post-apocalyptique.
Un excellent album.
L'ambiance "fin du monde" propre à la série "Crépuscule" atteint dans ARMAGGEDDON son paroxysme avec la destruction complète de la planète Terra Amata ! L'exploitation de ses conséquences est super bien trouvée, c'est à coup sûr l'un des coups de maîtres du duo d'auteurs Sfar/Trondheim.
Les dessins manquent certes cruellement de charme mais la progression du Roi-Poussière et de son acolyte foireux Gilberto dans le Grand Poupoulou et leurs confrontations avec les Olfs rendent cet album captivant.
Ce numéros est extra car il nous présente la destruction de la planéte. cette dernière va en effet se retrouver totalement remodelés ce tome ouvre donc pour la suite de trés nombreuses possibilités scénaristiques.
Un tome qui ressemble encore a du très bon crépuscule cad très noir, ambiance fin du monde. C'est donc forcément original et impressionnant tout en restant très divertissant via les divers personnages extrêment attachants.
Un crépuscule majeur en terme scénario et qu'il faut rattacher aux deux monster que sont "La carte majeur" et le "noir seigneur". Donc [!!warning spoiling!!] ca y est, Herbert est revenu et il à tout fait péter par la même occasion. Marvin est trop trognon quand il avoue qu'il voudrait voir herbert à la fin du tome. On dirait un enfant boudeur qui veut voir son meilleur copain parce que sinon il s'ennuie trop. C'est vraiment chou :o)
Je trouve le tome dans sa globalité un peu moins bon que Le Volcan des Vaucanson. J'ai trouvé le dessin un peu limite par instant !? C'est peut-être juste une impression...Reste quelques scènes au sujet de la défonce, de la toxico et des paradis artificiels qui me font vraiment bien marrer, et à jeun en plus ;o)
encore un excellent donjon bien sûr. Il se lit en conjonction avec "la carte majeure", d'Andréas, et "le noir seigneur", de Blanquet, qui apportent un complément d'information bienvenu.