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Violence, grève, misère ouvrière et Dixie et sa famille en fuite au milieu de tout ça.
Que de souvenirs en relisant cette série qui révéla le talent graphique de Labiano.
Niveau dessin, rien à dire, c'est vraiment tout ce que j'aime. Les personnages sont bien typés (Ernest Pike le tueur à gages, le père Jones solitaire qui ne sait pas tenir en place, Duchamp patron cruel et sans scrupules, l'énigmatique Keena,..), reconnaissables, les visages graves et expressifs sans oublier les remarquables couleurs de Marie-Paule Alluard qui les accompagnent (point de couleurs informatique sans âmes ici)
Niveau histoire, ça reste assez classique mais bien écrit avec une ambiance générale remplie de mélancolie et qui me fait penser à certains bons films américains (les raisins de la colère, Bonnie and Clyde et d'autres dont j'oublie le nom...)
A découvrir, ça vaut le coup.
ah ? Donc Labiano serait à mettre au bûcher avec Steinbeck ? Pas vraiment d'accord !!! Son dessin a un cachet énorme et l'intrigue est bien menée (même si, c'est bien connu, les travailleurs américains de l'entre-deux guerres étaient des nantis qui profitaient du système). Quant aux couleurs j'ai vu bien pire (Les Humanos à une certaine période pas si lointaine). Et les auteurs résistent à la tentation horripilante de prolonger artificiellement la série en faisant redémarrer des sous-intrigues ou en publiant des séries parallèles. Ce dont on ne peut que les féliciter....
Une très bonne bd.
Le dessin est formidable meme si certains lui reprocherons de faire des tetes plus grosses que les corps.
Dixie est une jeune fille de 14 ans, et l'histoire se passe en fait tout autour d'elle.
En fait Dufaux en a fait sa narratrice pour l'histoire, car c'est elle qui nous raconte son histoire et se qui l'entoure.
Désolé, mais je vais détonner, oh combien, avec les avis précédents.
Je n'appelle pas ce que fait LABIANO du bon dessin, loin de là.
Je déteste les couleurs, à la (malfaisante) mode depuis une vingtaine d'années.
Quant à l'histoire, c'est la sempiternelle rengaine, usée jusqu'à la corde, de l'horrible possédant qui, soutenu par le pouvoir, bien entendu, opprime et pressure le pauvre démuni. C'est connu, c'est d'un faux qui confine à l'indécence mais ça permet, depuis plus d'un siècle, au moins, à une longue lignée de talents médiocres de subvenir à leurs prolétariens besoins. Qu'ils continuent de profiter de l'aubaine, ça fonctionne.
Il est bien dommage que Dixie Road soit méconnue du grand public; quelle excellente bd pourtant. Les dessins sont nickel (j'adore Labiano!), le scénario original, et bien mené. Bref, le must-have des must-have. Le seul petit bémol, c'est que cette histoire se soit arrêtée.
Il faut que cette série reprenne à tout prix!!!
Un monument qui aurait mérité d'être mieux connu et reconnu.
Une fabuleuse épopée à un moment de l'histoire américaine pas très gaie.
Définitivement un must.
Magnifique histoire d'une jeune femme en devenir. Rien à redire sur les dessins de Labiano (certains auteurs actuels devraient s'en inspirer !...). Bravo aux deux auteurs, dommage que cela s'arrete...
Violence, grève, misère ouvrière et Dixie et sa famille en fuite au milieu de tout ça.
Que de souvenirs en relisant cette série qui révéla le talent graphique de Labiano.
Niveau dessin, rien à dire, c'est vraiment tout ce que j'aime. Les personnages sont bien typés (Ernest Pike le tueur à gages, le père Jones solitaire qui ne sait pas tenir en place, Duchamp patron cruel et sans scrupules, l'énigmatique Keena,..), reconnaissables, les visages graves et expressifs sans oublier les remarquables couleurs de Marie-Paule Alluard qui les accompagnent (point de couleurs informatique sans âmes ici)
Niveau histoire, ça reste assez classique mais bien écrit avec une ambiance générale remplie de mélancolie et qui me fait penser à certains bons films américains (les raisins de la colère, Bonnie and Clyde et d'autres dont j'oublie le nom...)
A découvrir, ça vaut le coup.
ah ? Donc Labiano serait à mettre au bûcher avec Steinbeck ? Pas vraiment d'accord !!! Son dessin a un cachet énorme et l'intrigue est bien menée (même si, c'est bien connu, les travailleurs américains de l'entre-deux guerres étaient des nantis qui profitaient du système). Quant aux couleurs j'ai vu bien pire (Les Humanos à une certaine période pas si lointaine). Et les auteurs résistent à la tentation horripilante de prolonger artificiellement la série en faisant redémarrer des sous-intrigues ou en publiant des séries parallèles. Ce dont on ne peut que les féliciter....
Une très bonne bd.
Le dessin est formidable meme si certains lui reprocherons de faire des tetes plus grosses que les corps.
Dixie est une jeune fille de 14 ans, et l'histoire se passe en fait tout autour d'elle.
En fait Dufaux en a fait sa narratrice pour l'histoire, car c'est elle qui nous raconte son histoire et se qui l'entoure.
Vraiment super.
Désolé, mais je vais détonner, oh combien, avec les avis précédents.
Je n'appelle pas ce que fait LABIANO du bon dessin, loin de là.
Je déteste les couleurs, à la (malfaisante) mode depuis une vingtaine d'années.
Quant à l'histoire, c'est la sempiternelle rengaine, usée jusqu'à la corde, de l'horrible possédant qui, soutenu par le pouvoir, bien entendu, opprime et pressure le pauvre démuni. C'est connu, c'est d'un faux qui confine à l'indécence mais ça permet, depuis plus d'un siècle, au moins, à une longue lignée de talents médiocres de subvenir à leurs prolétariens besoins. Qu'ils continuent de profiter de l'aubaine, ça fonctionne.
Il est bien dommage que Dixie Road soit méconnue du grand public; quelle excellente bd pourtant. Les dessins sont nickel (j'adore Labiano!), le scénario original, et bien mené. Bref, le must-have des must-have. Le seul petit bémol, c'est que cette histoire se soit arrêtée.
Il faut que cette série reprenne à tout prix!!!
Un monument qui aurait mérité d'être mieux connu et reconnu.
Une fabuleuse épopée à un moment de l'histoire américaine pas très gaie.
Définitivement un must.
Magnifique histoire d'une jeune femme en devenir. Rien à redire sur les dessins de Labiano (certains auteurs actuels devraient s'en inspirer !...). Bravo aux deux auteurs, dommage que cela s'arrete...