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Généralement, je n'aime pas les récits où le sens de l'absurde prend le pas. Mais je dois reconnaître que l'univers ainsi crée m'a bien plu.
Cette digue qui s'étend à travers l'océan et où nul ne sait où elle va. C'est inventif et c'est également comme une parabole de la vie. Il faut découvrir le chemin en bougeant et en prenant des risques. On peut faire des découvertes, trouver son autre moitié et vivre heureux sur une île déserte...
Le trait particulier d'Alfred me plaît bien depuis que je l'ai découvert dans le fameux Désespoir du Singe que j'ai littéralement adoré.
Par ailleurs, ce récit dénonce par petites touches les travers de la bureaucratie, de l'Eglise, de la pensée unique.
C'est une réussite de la collection "Encrages" chez Delcourt. A découvrir !
Un album plein de fraicheur qui vogue entre l'absurde et le poétique, un dessin assez grand-guignol mais plein de douceur, un monde délirant mais en meme temps ancré dans la réalité. Un vrai bonheur, et une vraie bouffée d'air pur.
Généralement, je n'aime pas les récits où le sens de l'absurde prend le pas. Mais je dois reconnaître que l'univers ainsi crée m'a bien plu.
Cette digue qui s'étend à travers l'océan et où nul ne sait où elle va. C'est inventif et c'est également comme une parabole de la vie. Il faut découvrir le chemin en bougeant et en prenant des risques. On peut faire des découvertes, trouver son autre moitié et vivre heureux sur une île déserte...
Le trait particulier d'Alfred me plaît bien depuis que je l'ai découvert dans le fameux Désespoir du Singe que j'ai littéralement adoré.
Par ailleurs, ce récit dénonce par petites touches les travers de la bureaucratie, de l'Eglise, de la pensée unique.
C'est une réussite de la collection "Encrages" chez Delcourt. A découvrir !
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