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Imaginons que vous soyez le tout-puissant empereur du Saint-Empire Romain Germanique, Conrad II. Rien ne limite votre désir d’expansion, et cette Hongrie voisine vous semble mûre pour tomber dans votre escarcelle. Après tout, vous disposez d’une impressionnante armée de chevaliers lourdement armés pour imposer votre volonté à ces petits Hongrois. Vous partez donc en voyage chez votre voisin avec l’intention très claire de vous emparer de son palais royal d’Esztergom (pas facile à prononcer), et par la même occasion de lui emprunter définitivement ses terres.
Cependant, un petit détail semble vous avoir échappé… Entre votre empire et le royaume de Hongrie s’étend une plaine marécageuse… Hmmm… Vous ne voyez pas le problème ? Vraiment ? Des chevaliers lourdement armés dans des marais… Qui plus est, Etienne, roi des Hongrois, ordonne de pratiquer la politique de la terre brûlée… Petit problème de ravitaillement à une époque qui manque cruellement de grandes surfaces, voire de supérettes…
A cela vient s’ajouter un nouveau problème pour Monsieur l’Empereur : profitant qu’il soit parti en villégiature, une nouvelle révolte éclate en Souabe. Courageusement, vous vous dites qu’il vous faut aller mâter cela. Vous quittez donc votre armée avec une petite escorte, non sans en avoir confié le commandement à votre fils, adolescent, le prince Henri.
Ah, il faut que je vous dise que les Hongrois ne sont pas gentils avec votre armée de Germains enlisés dans les marécages du Danube. Non seulement, vos troupes ne progressent pas, ont le ventre creux, mais en plus, elles se font copieusement arroser de flèches, une arme dont raffolent les Hongrois…
Je ne voudrais pas en rajouter à votre peine, mais les Hongrois ne se battent pas seuls ! Des chevaliers vénitiens se battent à leurs côtés… Alors, Monsieur l’Empereur, votre gamin va-t-il pouvoir se tirer des flûtes ? C’est mal parti, non ?
Critique :
Ce scénario nous plonge dans l’histoire moyenâgeuse de la Hongrie. En soi, elle n’est pas tellement différente de ce que l’on a connu en Europe occidentale : appétit du pouvoir, envie d’agrandir toujours plus son territoire, trahisons, manque total de scrupules, mais aussi courage et loyauté… parfois…
Le dessin de Levi tape fort dans les scènes de batailles. On peut y ressentir la frousse du pauvre type à pied qui voit déferler sur lui des cavaliers lourdement armés ou bien encore subir l’oppression d’une pluie de flèches qui s’abat sur vous et vos compagnons. C’est dans ces scènes qu’éclate tout le talent de Lévi qui ne convainc pas toujours dans les portraits plus statiques.
L’histoire du Moyen Âge vous passionne ? Le passé de la Hongrie vous titille ? Dépêchez-vous d’acquérir ces deux tomes (ils sont vendus par deux) car il n’y en aura pas pour tout le monde vu le faible tirage (il semblerait qu’il n’y en ait que 1000 exemplaires).
Royaume de Hongrie. Septembre 1030.
Imaginons que vous soyez le tout-puissant empereur du Saint-Empire Romain Germanique, Conrad II. Rien ne limite votre désir d’expansion, et cette Hongrie voisine vous semble mûre pour tomber dans votre escarcelle. Après tout, vous disposez d’une impressionnante armée de chevaliers lourdement armés pour imposer votre volonté à ces petits Hongrois. Vous partez donc en voyage chez votre voisin avec l’intention très claire de vous emparer de son palais royal d’Esztergom (pas facile à prononcer), et par la même occasion de lui emprunter définitivement ses terres.
Cependant, un petit détail semble vous avoir échappé… Entre votre empire et le royaume de Hongrie s’étend une plaine marécageuse… Hmmm… Vous ne voyez pas le problème ? Vraiment ? Des chevaliers lourdement armés dans des marais… Qui plus est, Etienne, roi des Hongrois, ordonne de pratiquer la politique de la terre brûlée… Petit problème de ravitaillement à une époque qui manque cruellement de grandes surfaces, voire de supérettes…
A cela vient s’ajouter un nouveau problème pour Monsieur l’Empereur : profitant qu’il soit parti en villégiature, une nouvelle révolte éclate en Souabe. Courageusement, vous vous dites qu’il vous faut aller mâter cela. Vous quittez donc votre armée avec une petite escorte, non sans en avoir confié le commandement à votre fils, adolescent, le prince Henri.
Ah, il faut que je vous dise que les Hongrois ne sont pas gentils avec votre armée de Germains enlisés dans les marécages du Danube. Non seulement, vos troupes ne progressent pas, ont le ventre creux, mais en plus, elles se font copieusement arroser de flèches, une arme dont raffolent les Hongrois…
Je ne voudrais pas en rajouter à votre peine, mais les Hongrois ne se battent pas seuls ! Des chevaliers vénitiens se battent à leurs côtés… Alors, Monsieur l’Empereur, votre gamin va-t-il pouvoir se tirer des flûtes ? C’est mal parti, non ?
Critique :
Ce scénario nous plonge dans l’histoire moyenâgeuse de la Hongrie. En soi, elle n’est pas tellement différente de ce que l’on a connu en Europe occidentale : appétit du pouvoir, envie d’agrandir toujours plus son territoire, trahisons, manque total de scrupules, mais aussi courage et loyauté… parfois…
Le dessin de Levi tape fort dans les scènes de batailles. On peut y ressentir la frousse du pauvre type à pied qui voit déferler sur lui des cavaliers lourdement armés ou bien encore subir l’oppression d’une pluie de flèches qui s’abat sur vous et vos compagnons. C’est dans ces scènes qu’éclate tout le talent de Lévi qui ne convainc pas toujours dans les portraits plus statiques.
L’histoire du Moyen Âge vous passionne ? Le passé de la Hongrie vous titille ? Dépêchez-vous d’acquérir ces deux tomes (ils sont vendus par deux) car il n’y en aura pas pour tout le monde vu le faible tirage (il semblerait qu’il n’y en ait que 1000 exemplaires).