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J’ai bien aimé cette chronique sociale de Prado qui concerne notamment le marché de l’immobilier. En l’occurrence, nous avons une petite famille qui a fait le mauvais choix lors d’une affaire successorale et qui se retrouve avec un petit terrain de 2000m2 avec une petite bâtisse en pleine campagne. On se rend compte que ces petits gens ont les pires difficultés à faire quelque chose de leur terrain afin de le rentabiliser. Ils ne peuvent pas construire, par exemple, un petit abri de jardin de 2m2 sans voir la police du bâtiment débarquer et leur infliger une amende pour défaut de permis de construire.
Cela pourrait être marrant si de telles situations ne trouvaient pas une certaine résonance dans la réalité. Bref, on se rend compte que les règlements municipaux sont complexes et relèvent d’une logique presque stalinienne. On vous rétorquera qu’on ne peut pas construire n’importe quoi même chez soi. Pour autant, le maire laissera des constructions laides et hideuses de promoteurs véreux envahir le beau paysage. Et c’est exactement ce qui va se passer dans cette bd. On embête les petits gens avec des tracas administratifs en gardant bien les yeux fermés pour les gros.
L’auteur traitera également des objets archéologiques que l’on trouve parfois sur le terrain et qui appartiennent à l’Etat avec tous les ennuis que cela procure. Il y aura également une critique du tourisme de masse qui s’agglutine sur des plages bondées avec un littoral rempli de gros immeubles. C’est introduit par petite touche très subtilement dans l’histoire.
Au final, je pensais que la morale serait sauve et que les méchants seraient punis. Cependant, là encore, la réalité est beaucoup plus mesquine. C’est une bd à lire car peu évoquent le problème de l’immobilier. C’est toujours intéressant. En l’espèce, Prado a bien traité le sujet à mon sens. Dernier détail : je n'aurais jamais rangé cette oeuvre dans la catégorie "humour". La demeure des Gomez est plus une chronique sociale qu'autre chose. Et cela n'a rien de vraiment marrant.
Une famille ballotée dans une histoire d'héritage
Prado a plus de mal a s'exprimer sur une histoire longue que sur des tranches de 5 à 7 pages, mais les tronches sont excellentes et malgré une certaine déception pour les "personnages principaux", on peut dire que tout le monde y trouve son compte.
Il faut lire du Prado !!
J’ai bien aimé cette chronique sociale de Prado qui concerne notamment le marché de l’immobilier. En l’occurrence, nous avons une petite famille qui a fait le mauvais choix lors d’une affaire successorale et qui se retrouve avec un petit terrain de 2000m2 avec une petite bâtisse en pleine campagne. On se rend compte que ces petits gens ont les pires difficultés à faire quelque chose de leur terrain afin de le rentabiliser. Ils ne peuvent pas construire, par exemple, un petit abri de jardin de 2m2 sans voir la police du bâtiment débarquer et leur infliger une amende pour défaut de permis de construire.
Cela pourrait être marrant si de telles situations ne trouvaient pas une certaine résonance dans la réalité. Bref, on se rend compte que les règlements municipaux sont complexes et relèvent d’une logique presque stalinienne. On vous rétorquera qu’on ne peut pas construire n’importe quoi même chez soi. Pour autant, le maire laissera des constructions laides et hideuses de promoteurs véreux envahir le beau paysage. Et c’est exactement ce qui va se passer dans cette bd. On embête les petits gens avec des tracas administratifs en gardant bien les yeux fermés pour les gros.
L’auteur traitera également des objets archéologiques que l’on trouve parfois sur le terrain et qui appartiennent à l’Etat avec tous les ennuis que cela procure. Il y aura également une critique du tourisme de masse qui s’agglutine sur des plages bondées avec un littoral rempli de gros immeubles. C’est introduit par petite touche très subtilement dans l’histoire.
Au final, je pensais que la morale serait sauve et que les méchants seraient punis. Cependant, là encore, la réalité est beaucoup plus mesquine. C’est une bd à lire car peu évoquent le problème de l’immobilier. C’est toujours intéressant. En l’espèce, Prado a bien traité le sujet à mon sens. Dernier détail : je n'aurais jamais rangé cette oeuvre dans la catégorie "humour". La demeure des Gomez est plus une chronique sociale qu'autre chose. Et cela n'a rien de vraiment marrant.
Une famille ballotée dans une histoire d'héritage
Prado a plus de mal a s'exprimer sur une histoire longue que sur des tranches de 5 à 7 pages, mais les tronches sont excellentes et malgré une certaine déception pour les "personnages principaux", on peut dire que tout le monde y trouve son compte.
Il faut lire du Prado !!