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Si, au fond, cette histoire ne constitue qu’une itération de plus aux origines possibles de Deadpool (et de Cable sans rien spoiler…), elle présente un style si radicalement différent des aventures ordinaires du personnage que ses lecteurs réguliers ne l’y reconnaitraient pas. Finalement, le meilleur Deadpool que j’ai lu jusqu’à présent est peut-être celui qui s’en éloigne le plus (Deadpool: Pulp 2010, #1-4).
Cet album se rangerait aux côtés de Spider-Man Noir ou de Daredevil Noir et, si l’histoire ne se déroulait pas durant les années 50 au lieu des années 30, il aurait assurément pris pour titre "Deadpool Noir" (et pour collection Marvel Noir, au lieu de Max Comics). Dans la même collection, presque contemporaine, les scénaristes Adam Glass et Mike Benson auront d’ailleurs travaillé sur Luke Cage Noir. Car, ni le titre, ni cette vilaine couverture jaune de Jae Lee, ne rendent vraiment compte du contenu de l’album. Dans celui-ci, Wade Wilson n’est pas encore Deadpool mais un militaire traumatisé par sa détention et sa torture par les japonais durant la guerre et qui se voit confier une impossible mission : une fois de plus, sauver le monde.
Entre de multiples flash-backs, une dose de romance et évidemment quelques coups de sabre, le ton est sombre et plutôt sérieux même s’il y a encore de rares touches d’humour. Le dessin de Laurence Campbell est à l’avenant ; assez détaillé, brut, très encré, bref un choix judicieux au vu du ton de l’histoire. Mon seul regret ira à la résolution de l’intrigue, trop simple et trop rapide. Le méchant de l’histoire aurait mérité d’être moins caricatural, d’être amené plus en finesse et la fin plus développée. Mais c’est le format de la collection après tout, il fallait bien mériter l’appellation "pulp".
Mouais, l'idée partait d'une bonne attention, changer un peu la donne et donner un côté plus espionnage des années '70. Malheureusement, l'histoire n'est guère intéressante, c'est trop vite expédié, l'humour dont on a l'habitude de voir de notre cher et bon vieux Deadpool est inexistant et sans compter la piètre qualité de dessins (personnellement ça ne m'a pas plus du tout). Cependant, j'ai bien aimé la petite conclusion qui permet de comprendre que l'histoire n'était pas si fantaisiste que ça. Finalement, une oeuvre correcte, sans plus.
Si, au fond, cette histoire ne constitue qu’une itération de plus aux origines possibles de Deadpool (et de Cable sans rien spoiler…), elle présente un style si radicalement différent des aventures ordinaires du personnage que ses lecteurs réguliers ne l’y reconnaitraient pas. Finalement, le meilleur Deadpool que j’ai lu jusqu’à présent est peut-être celui qui s’en éloigne le plus (Deadpool: Pulp 2010, #1-4).
Cet album se rangerait aux côtés de Spider-Man Noir ou de Daredevil Noir et, si l’histoire ne se déroulait pas durant les années 50 au lieu des années 30, il aurait assurément pris pour titre "Deadpool Noir" (et pour collection Marvel Noir, au lieu de Max Comics). Dans la même collection, presque contemporaine, les scénaristes Adam Glass et Mike Benson auront d’ailleurs travaillé sur Luke Cage Noir. Car, ni le titre, ni cette vilaine couverture jaune de Jae Lee, ne rendent vraiment compte du contenu de l’album. Dans celui-ci, Wade Wilson n’est pas encore Deadpool mais un militaire traumatisé par sa détention et sa torture par les japonais durant la guerre et qui se voit confier une impossible mission : une fois de plus, sauver le monde.
Entre de multiples flash-backs, une dose de romance et évidemment quelques coups de sabre, le ton est sombre et plutôt sérieux même s’il y a encore de rares touches d’humour. Le dessin de Laurence Campbell est à l’avenant ; assez détaillé, brut, très encré, bref un choix judicieux au vu du ton de l’histoire. Mon seul regret ira à la résolution de l’intrigue, trop simple et trop rapide. Le méchant de l’histoire aurait mérité d’être moins caricatural, d’être amené plus en finesse et la fin plus développée. Mais c’est le format de la collection après tout, il fallait bien mériter l’appellation "pulp".
Mouais, l'idée partait d'une bonne attention, changer un peu la donne et donner un côté plus espionnage des années '70. Malheureusement, l'histoire n'est guère intéressante, c'est trop vite expédié, l'humour dont on a l'habitude de voir de notre cher et bon vieux Deadpool est inexistant et sans compter la piètre qualité de dessins (personnellement ça ne m'a pas plus du tout). Cependant, j'ai bien aimé la petite conclusion qui permet de comprendre que l'histoire n'était pas si fantaisiste que ça. Finalement, une oeuvre correcte, sans plus.