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Cet album est un chef-d'oeuvre pour toute personne sachant apprécier une
expérience graphique atypique! Celle qui nous est présentée ici est unique, un
véritable choc artistique. "Cauchemards" est une oeuvre hors du commun.
Il ne s'agit pas de dessin mais de peintures, d'aquarelles, mélangées à des
crayonnés, des traits brouillons, des coupures de journaux, des photos
retouchées et des gribouillis d'enfant. On peut à peine dire qu'il s'agisse d'une
BD tant les pages sont destructurées : cases tordues, trames changeant
d'épaisseur, traits imprécis, bordures de cases mal tracées, voir carrément et
assez souvent absence de cases. Le style ne cesse de changer, les couleurs
dépassent, s'étalent, des tâches apparaissent, on mélange aquarelle,
gribouillis, peinture et crayon. Et puis il y a ces mots, parsemés au fil des
pages dans les bordures, entre les cases, au milieu des dessins, des mots
écrits violament et mal-habilement, sans véritable cohérence, et faisant
presque l'effet d'images subliminales.
Bon j'arrête là, je viens tout juste de finir cet album donc je m'emporte un peu
mais bon, qu'est-ce que c'est beau cette BD. Au niveau du scenario aussi je
trouve ça très bon, c'est lentement amené, le récit est étalé, il y a des
passages vraiment saisissant, de l'effroi, de la tristesse, du drame.
Mais tout de même deux "hic" qui font que je ne met pas 10/10 (si ça se
trouve je regretterai même mon 9/10 d'ici demain) : premièrement les
révélations que fait Spider-man à la fin. Trop soudaines, amenées trop
brutalement (même si la toute fin, elle, est très réussit). Deuxièmement : les
pensées de Ben Urich (le personnage principal - eh oui, on voit très peu DD)
en voix-off qui souvent brisent un peu l'ambiance et même n'apportent pas
toujours grand chose au récit.
ATTENTION : cet album ne plaira sûrement pas aux amateurs de BD ou de
comics classiques, parce que là c'est vraiment expérimental. S'il n'y avait pas
les philactères je sais même pas si on pourrait dire que c'est de la BD. En tout
cas, moi je dis merci à Bendis et Mack pour ce livre.
Cet album est un chef-d'oeuvre pour toute personne sachant apprécier une
expérience graphique atypique! Celle qui nous est présentée ici est unique, un
véritable choc artistique. "Cauchemards" est une oeuvre hors du commun.
Il ne s'agit pas de dessin mais de peintures, d'aquarelles, mélangées à des
crayonnés, des traits brouillons, des coupures de journaux, des photos
retouchées et des gribouillis d'enfant. On peut à peine dire qu'il s'agisse d'une
BD tant les pages sont destructurées : cases tordues, trames changeant
d'épaisseur, traits imprécis, bordures de cases mal tracées, voir carrément et
assez souvent absence de cases. Le style ne cesse de changer, les couleurs
dépassent, s'étalent, des tâches apparaissent, on mélange aquarelle,
gribouillis, peinture et crayon. Et puis il y a ces mots, parsemés au fil des
pages dans les bordures, entre les cases, au milieu des dessins, des mots
écrits violament et mal-habilement, sans véritable cohérence, et faisant
presque l'effet d'images subliminales.
Bon j'arrête là, je viens tout juste de finir cet album donc je m'emporte un peu
mais bon, qu'est-ce que c'est beau cette BD. Au niveau du scenario aussi je
trouve ça très bon, c'est lentement amené, le récit est étalé, il y a des
passages vraiment saisissant, de l'effroi, de la tristesse, du drame.
Mais tout de même deux "hic" qui font que je ne met pas 10/10 (si ça se
trouve je regretterai même mon 9/10 d'ici demain) : premièrement les
révélations que fait Spider-man à la fin. Trop soudaines, amenées trop
brutalement (même si la toute fin, elle, est très réussit). Deuxièmement : les
pensées de Ben Urich (le personnage principal - eh oui, on voit très peu DD)
en voix-off qui souvent brisent un peu l'ambiance et même n'apportent pas
toujours grand chose au récit.
ATTENTION : cet album ne plaira sûrement pas aux amateurs de BD ou de
comics classiques, parce que là c'est vraiment expérimental. S'il n'y avait pas
les philactères je sais même pas si on pourrait dire que c'est de la BD. En tout
cas, moi je dis merci à Bendis et Mack pour ce livre.