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Cette intégrale Casterman de 2011 regroupe les 2 tomes initialement parus de 2001 à 2003 chez Triskel – Soleil. Elle dévoile un thriller campagnard français des années 30 particulièrement intéressant d’autant que le genre aurait légèrement tendance à disparaître.
L’arrivée d’un nouveau curé fait l’évènement… Y compris pour le docteur Jarowski qui ne porte pourtant pas l’église dans son cœur. Leur rencontre va donner lieu à la résurgence de souvenirs enfouis, à la révélation de secrets tragiques laissant le lecteur haletant à la fin du tome 1.
Le tome 2 est moins tendu mais joue plus sur les psychologies des personnages… que faire d’un secret ? A fortiori reçu en confession ?
Le tout est une sacré réussite sublimée par les coups de pinceau de Christian De Metter qui donnent une épaisseur impressionnante aux personnages et à l’ambiance noire et lourde.
Une excellente première partie. Un second tome un peu en-dessous. Le thème: le secret de la confession. Un prêtre doit 'il trahir son serment si on lui fait la confession d'un crime ô dieux ? La réponse dans ce diptyque atypique.
Je ne suis pas un fan du dessin un peu flou mais on s'y habitue assez rapidement. Je dois dire également qu'on est très vite happé par un récit passionnant. Une qualité de dialogue exceptionnelle pour un combat entre le vieil homme de science froid et cynique et le jeune curé naïf et idéaliste.
Sur la forme maintenant, le second tome ne se présente pas du tout dans le même format que le premier. Or, je n'aime pas avoir des collections dépareillées. J'aime un semblant de cohérence. C'est peut-être trop demandé à l'éditeur. Pour autant, il ne faut pas que se focaliser sur la forme si le fond est bon. L'achat sera conseillé pour une future édition dont les formats seront semblables.
Bon album à l’ambiance lourde et ambiguë.
La tension qui règne entre le médecin blasé et le curé tiraillé entre le secret de la confession ou la dénonciation est des plus réussies. On se demande comment tout cela va finir.
Le dessin de De Metter colle bien à l’atmosphère particulière du récit et j’aime toujours autant les expressions (spécialement celles du curé lorsqu’il découvre les aveux du médecin) qu’il donne à ces visages où pas mal d’émotion s’en dégage.
L’intrigue reste toutefois assez convenue et la fin un peu vite expédiée à mon goût.
L’intrigue est un peu simpliste à mon goût, mais il s’agit néanmoins d’un polar plaisant qui arrive à accrocher notre attention. Certains passages mettant en scène les deux principaux personnages, font preuve d’une grande intensité.
la suite :
http://bdsulli.wordpress.com/2012/01/27/le-cure/
Cette intégrale Casterman de 2011 regroupe les 2 tomes initialement parus de 2001 à 2003 chez Triskel – Soleil. Elle dévoile un thriller campagnard français des années 30 particulièrement intéressant d’autant que le genre aurait légèrement tendance à disparaître.
L’arrivée d’un nouveau curé fait l’évènement… Y compris pour le docteur Jarowski qui ne porte pourtant pas l’église dans son cœur. Leur rencontre va donner lieu à la résurgence de souvenirs enfouis, à la révélation de secrets tragiques laissant le lecteur haletant à la fin du tome 1.
Le tome 2 est moins tendu mais joue plus sur les psychologies des personnages… que faire d’un secret ? A fortiori reçu en confession ?
Le tout est une sacré réussite sublimée par les coups de pinceau de Christian De Metter qui donnent une épaisseur impressionnante aux personnages et à l’ambiance noire et lourde.
Une excellente première partie. Un second tome un peu en-dessous. Le thème: le secret de la confession. Un prêtre doit 'il trahir son serment si on lui fait la confession d'un crime ô dieux ? La réponse dans ce diptyque atypique.
Je ne suis pas un fan du dessin un peu flou mais on s'y habitue assez rapidement. Je dois dire également qu'on est très vite happé par un récit passionnant. Une qualité de dialogue exceptionnelle pour un combat entre le vieil homme de science froid et cynique et le jeune curé naïf et idéaliste.
Sur la forme maintenant, le second tome ne se présente pas du tout dans le même format que le premier. Or, je n'aime pas avoir des collections dépareillées. J'aime un semblant de cohérence. C'est peut-être trop demandé à l'éditeur. Pour autant, il ne faut pas que se focaliser sur la forme si le fond est bon. L'achat sera conseillé pour une future édition dont les formats seront semblables.
Bon album à l’ambiance lourde et ambiguë.
La tension qui règne entre le médecin blasé et le curé tiraillé entre le secret de la confession ou la dénonciation est des plus réussies. On se demande comment tout cela va finir.
Le dessin de De Metter colle bien à l’atmosphère particulière du récit et j’aime toujours autant les expressions (spécialement celles du curé lorsqu’il découvre les aveux du médecin) qu’il donne à ces visages où pas mal d’émotion s’en dégage.
L’intrigue reste toutefois assez convenue et la fin un peu vite expédiée à mon goût.
L’intrigue est un peu simpliste à mon goût, mais il s’agit néanmoins d’un polar plaisant qui arrive à accrocher notre attention. Certains passages mettant en scène les deux principaux personnages, font preuve d’une grande intensité.
la suite :
http://bdsulli.wordpress.com/2012/01/27/le-cure/