La couleur de l'air
Une BD de Bilal, Enki chez Casterman (Univers d'auteurs) - 2014
10/2014 (22 octobre 2014) 86 pages 9782203033092 Grand format 222815
Après Animal’z et Julia et Roem, voici enfin le troisième volet de la trilogie événément signée Enki Bilal. Dans un ciel sens dessus dessous ponctué d’immenses masses nuageuses aux allures menaçantes progresse le Zeppelin sinistré Garbage et son équipage incongru : un couple de passagers de hasard embarqués à Tanger, Anders Mikkeli et Esther Roblès, deux jumelles orphelines sujettes à de mystérieuses crises de citations littéraires, leur garde du corps et le cadavre démembré du pilote de l’appareil, suspendu à ce qui reste de sa nacelle détruite.... Lire la suite
Depuis la trilogie Nikopol, on a l'impression de relire un peu la même chose avec Bilal mais on espère toujours avoir la bonne surprise. Et ce n'est pas avec ce 3ème tome de sa série "Coup de sang" qu'elle pointe son nez.
Bilal dessine toujours les mêmes personnages, on arrive parfois à les confondre. Ces dessins sont identiques d'un album à l'autre, il ne suffit pas de donner une teinte particulière à chaque album (gris pour Animal'z, ocre pour Julia & Roem, bleu pour celui-ci) pour feindre de se renouveler.
Côté scénario, les bonnes idées se font assez rares et noyées au milieu de celles trop loufoques.
Le problème de Bilal est qu'il n'arrive jamais à faire de ces bonnes idées une histoire qui se tient.
Au final, si vous aviez des doutes sur cet auteur, c'est peut-être la série qui vous en fera définitivement raccrocher.
Depuis la trilogie Nikopol, on a l'impression de relire un peu la même chose avec Bilal mais on espère toujours avoir la bonne surprise. Et ce n'est pas avec ce 3ème tome de sa série "Coup de sang" qu'elle pointe son nez.
Bilal dessine toujours les mêmes personnages, on arrive parfois à les confondre. Ces dessins sont identiques d'un album à l'autre, il ne suffit pas de donner une teinte particulière à chaque album (gris pour Animal'z, ocre pour Julia & Roem, bleu pour celui-ci) pour feindre de se renouveler.
Côté scénario, les bonnes idées se font assez rares et noyées au milieu de celles trop loufoques.
Le problème de Bilal est qu'il n'arrive jamais à faire de ces bonnes idées une histoire qui se tient.
Au final, si vous aviez des doutes sur cet auteur, c'est peut-être la série qui vous en fera définitivement raccrocher.
Depuis la trilogie Nikopol, on a l'impression de relire un peu la même chose avec Bilal mais on espère toujours avoir la bonne surprise. Et ce n'est pas avec ce 3ème tome de sa série "Coup de sang" qu'elle pointe son nez.
Bilal dessine toujours les mêmes personnages, on arrive parfois à les confondre. Ces dessins sont identiques d'un album à l'autre, il ne suffit pas de donner une teinte particulière à chaque album (gris pour Animal'z, ocre pour Julia & Roem, bleu pour celui-ci) pour feindre de se renouveler.
Côté scénario, les bonnes idées se font assez rares et noyées au milieu de celles trop loufoques.
Le problème de Bilal est qu'il n'arrive jamais à faire de ces bonnes idées une histoire qui se tient.
Au final, si vous aviez des doutes sur cet auteur, c'est peut-être la série qui vous en fera définitivement raccrocher.
Une conclusion limpide pour une trilogie forte. Jamais Bilal n'avait été aussi simple et épuré, dans le fond comme dans la forme, depuis la trilogie Nikopol. Dessin bilalien, donc exceptionnel, et usage parfait de la couleur en fin d'album!
Bilal... Toujours le même phénomène. C'est magnifique, en tout cas subjuguant ou fascinant côté dessin. On aime ou on n'aime pas. On lit et puis on est perplexe. Ai-je bien tout compris? C'est superbe ou c'est très chiant? Alors on relit. On savoure. Et la réponse est là, oui, encore une fois c'est superbe !