Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
De tous les tomes de CORTO MALTESE lus jusque-là, j'ai trouvé qu'il est le plus faible. Je sens Hugo Pratt plus à l'aise, plus attiré peut-être, par l'Amérique du Sud. La première histoire, "Au Nom d'Allah le Miséricordieux" met mal à l'aise, renvoyant à de nos jours à des antagonismes religieux et civilisationnels délétères. Les décors sont moins travaillés que d'habitude, même si j'admets qu'il n'est jamais simple de représenter les contrées désertiques. La case 6 (page 25) est cependant très belle. "Le Coup de Grâce" est du même style. Peu de personnages auxquels on s'attache. Mais surtout, j'ai du mal à comprendre l'implication de Corto dans cette partie du monde, ses raisons d'être là. De belles cases, tout de même, en particulier la n°8 (page 53), sublime. Dommage que Hugo Pratt ne travaille pas mieux les cactus... "Et d'autres Roméos et d'autres Juliettes" est déjà meilleure. On retrouve des personnages davantage charismatiques, tel Shamaël (case 7 page 70) et le Ras Yaqob (case 1 page 84). L'élément magique, incarné par Shamaël et le songe de Corto, nous ramène aux meilleures heures de CORTO MALTESE. À noter l'anachronie de la case 5, page 72 : "Il me fait penser à une cabine téléphonique" ! Les Hommes-Léopards du Rufiji m'évoquent les aventures sud-américaines de Corto. C'est le cas avec la case 7 (page 92), très belle. Ces mêmes Hommes-Léopards me font bien évidemment penser à celui de "Tintin au Congo", par Hergé. Hugo Pratt a-t'il ainsi voulu "légitimer" le personnage de Hergé et ainsi dégonfler une éventuelle polémique raciale, peut-être déjà présente à l'époque de cet album? En tout cas ils sont ici des personnages mystérieux et envoutants...
De tous les tomes de CORTO MALTESE lus jusque-là, j'ai trouvé qu'il est le plus faible. Je sens Hugo Pratt plus à l'aise, plus attiré peut-être, par l'Amérique du Sud. La première histoire, "Au Nom d'Allah le Miséricordieux" met mal à l'aise, renvoyant à de nos jours à des antagonismes religieux et civilisationnels délétères. Les décors sont moins travaillés que d'habitude, même si j'admets qu'il n'est jamais simple de représenter les contrées désertiques. La case 6 (page 25) est cependant très belle. "Le Coup de Grâce" est du même style. Peu de personnages auxquels on s'attache. Mais surtout, j'ai du mal à comprendre l'implication de Corto dans cette partie du monde, ses raisons d'être là. De belles cases, tout de même, en particulier la n°8 (page 53), sublime. Dommage que Hugo Pratt ne travaille pas mieux les cactus... "Et d'autres Roméos et d'autres Juliettes" est déjà meilleure. On retrouve des personnages davantage charismatiques, tel Shamaël (case 7 page 70) et le Ras Yaqob (case 1 page 84). L'élément magique, incarné par Shamaël et le songe de Corto, nous ramène aux meilleures heures de CORTO MALTESE. À noter l'anachronie de la case 5, page 72 : "Il me fait penser à une cabine téléphonique" ! Les Hommes-Léopards du Rufiji m'évoquent les aventures sud-américaines de Corto. C'est le cas avec la case 7 (page 92), très belle. Ces mêmes Hommes-Léopards me font bien évidemment penser à celui de "Tintin au Congo", par Hergé. Hugo Pratt a-t'il ainsi voulu "légitimer" le personnage de Hergé et ainsi dégonfler une éventuelle polémique raciale, peut-être déjà présente à l'époque de cet album? En tout cas ils sont ici des personnages mystérieux et envoutants...