14. Équatoria | danibou | Comme neuf | 15.00€ | |
14. Équatoria | rastahobbit | Comme neuf | 13.00€ | |
14. Équatoria | mickey007 | Très bon état | 12.50€ | |
14. Équatoria | lodeb | Comme neuf | 12.00€ | |
14. Équatoria | PHILGUZZ | Comme neuf | 12.00€ | |
14. Équatoria | PHILGUZZ | Très bon état | 12.00€ | |
14. Équatoria | stan prozak | Très bon état | 9.00€ |
Info édition : Noté "N001" au 4e plat.
Ok les auteurs jouent sur notre corde sensible...
Ok ça sent le plagiat... mais en même temps, ils ont le droit...
Cependant, J'ai apprécié cet album : le périple dans la jungle, des femmes mystérieuses et envoûtantes, la rencontre d'un gentilhomme de fortune...
Ok je suis bon public, mais c'est Corto...
J'ai longuement hésité entre "1=sans intérêt" et "2=correct sans plus".
Tant scénaristiquement que graphiquement, c'est un album à oublier. Non, il n'est pas au plus près des canons prattiens (d'ailleurs qu'est-ce que ça veut dire ?), il est aux antipodes. Car il manque ce supplément d'âme qui aurait fait que les repreneurs en ne tentant pas de copier Pratt auraient su imprimer leur propre patte et donner une seconde jeunesse à un héros pourtant intemporel.
Désolé, mais c'est franchement loupé !
Dommage ! Le 1er de ces 2 auteurs laissait espérer mieux.
EQUATORIA raconte les aventures de CORTO MALTESE qui, en 1911, parcourt l'Afrique équatoriale à la recherche du "miroir du prêtre Jean", une pierre précieuse qui, selon la légende, serait dotée de pouvoirs magiques fabuleux. Sa route croisera notamment celles de nationalistes égyptiens, de contrebandiers, de trafiquants d'esclaves, de bataillons d'un régiment colonialiste britannique ou encore de femmes qui ne le laisseront pas indifférent ...
Une énigme de départ à résoudre, un mystérieux trésor à découvrir, des voyages, de l'exotisme, de l'aventure, un brin de magie, un soupçon de poésie, des personnages féminins d'envergure, un héros dont la répartie claque toujours autant ... tous les ingrédients d'un bon album de Corto sont présents pour faire de cet opus une vraie réussite. Et comme en plus les dessins en noir & blanc sont superbes et très fidèles au style de Pratt, on passe vraiment un très bon moment de lecture.
Une reprise que je trouve pour ma part très réussie.
M. Perroud pour la deuxième fois, "le maitre de Rimini", il n'y en aura jamais qu'un : Federico Fellini. Pratt est certes né par pur accident à Rimini, qu'il a quitté dès le lendemain pour ne plus y remettre les pieds.
Quant à Equatoria, encore une reprise sans âme, comme le volume précédent. Je n'en attendais rien et je suis servi.
Pré-publié cet été en épisodes dans le Figaro Magazine, ce nouvel album de Corto Maltese est un vrai plaisir.
Sous les plumes de Juan Diaz CANALES au scénario et Rubén PELLEREJO au dessin, comme pour l’album du retour en 2015, on retrouve notre héros plus jeune et plein de rêverie.
1911, à la recherche d’un trésor, une sorte de Graal peut-être, Corto comme à son habitude, va voyager de Venise jusqu’en Afrique équatoriale. Son chemin va croiser ceux de personnages de fiction ou réels, jeunes femmes aux motivations diverses, telle Ferida Schnitzer, ou d’hommes historiques, un certain W. Churchill ou Henri de Monfreid, au cœur d’un scénario déroutant. Déroutant, oui, mais n’était-ce pas ce qui faisait le charme de ceux écrits par Hugo Pratt, et là le talent des deux auteurs s’exprime comme auparavant celui du maître. Onirisme, doute, aventure, cynisme parfois, réalisme aussi, même si le caractère rêveur de Corto ne s’y prête guère, tout ce qui compose cet album se mêle en une histoire pleine de séduction, voire envoûtante…