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Enfin ! Mandryka - qui doit le Concombre au Copirit - l'appelait de ss voeux depuis des décennies, et ne l'aura donc jamais vu. Il faut dire que publier en album une série de quelques planches c'est risqué, et de fait c'est forcément vite lu. Il reste que les choix d'édition sont malins (à l'italienne, dans un beau format permettant de plonger dans les planches tout en lisant confortablement contrairement à des éditions patrimoniales impraticables), la préface est courte mais pose les enjeux, le fait d'avoir ajouter quelques reproductions de planches originales ajoute un contenu intéressant, sans en faire trop. On y trouve aussi une courte biblio et quelques dessins du Copirit dans d'autres contextes qui viennent nourrir l'ensemble patrimonial.
Le Copirit (dont l'orthographe change sans cesse) est une série de gags sur les chapeaux de roues, où l'on sent toute l'influence du strip américain et de Segar. On se rappelle que Forest était un bédéphile érudit, lecteur de Fiction (ou se créa le premier club de BD) et présent dès la création de Giff Wiff. Cela se ressent dans cette bande dessinée qui n'a pourtant rien de théorique, mais s'ancra dans un humour absurde clairement nourri des états-unis. Le Copirit sort ce qu'il veut de sa poche et martyrise un pauvre chasseur-cowboy, en simili western du désert, avant de se projeter dans une maison de banlieu en venant parasiter le family strip.
C'est agréable de lire le Copirit sur papier, dans une belle édition, on se laisse emporter, on sourit, on admire la vitalité graphique et on regrette que ce soit fini... tout en se rappelant que la quantité ne fait pas la qualité !
Info édition : Intégrale présentée par Dominique Radrizzani. Contient du matériel critique et la reproduction en fac-simile de trois planches en fin d'album.
Enfin ! Mandryka - qui doit le Concombre au Copirit - l'appelait de ss voeux depuis des décennies, et ne l'aura donc jamais vu. Il faut dire que publier en album une série de quelques planches c'est risqué, et de fait c'est forcément vite lu. Il reste que les choix d'édition sont malins (à l'italienne, dans un beau format permettant de plonger dans les planches tout en lisant confortablement contrairement à des éditions patrimoniales impraticables), la préface est courte mais pose les enjeux, le fait d'avoir ajouter quelques reproductions de planches originales ajoute un contenu intéressant, sans en faire trop. On y trouve aussi une courte biblio et quelques dessins du Copirit dans d'autres contextes qui viennent nourrir l'ensemble patrimonial.
Le Copirit (dont l'orthographe change sans cesse) est une série de gags sur les chapeaux de roues, où l'on sent toute l'influence du strip américain et de Segar. On se rappelle que Forest était un bédéphile érudit, lecteur de Fiction (ou se créa le premier club de BD) et présent dès la création de Giff Wiff. Cela se ressent dans cette bande dessinée qui n'a pourtant rien de théorique, mais s'ancra dans un humour absurde clairement nourri des états-unis. Le Copirit sort ce qu'il veut de sa poche et martyrise un pauvre chasseur-cowboy, en simili western du désert, avant de se projeter dans une maison de banlieu en venant parasiter le family strip.
C'est agréable de lire le Copirit sur papier, dans une belle édition, on se laisse emporter, on sourit, on admire la vitalité graphique et on regrette que ce soit fini... tout en se rappelant que la quantité ne fait pas la qualité !