Conan le Cimmérien
11. Le Dieu dans le sarcophage
Une BD de
Headline, Doug
et
Emmanuel Civiello
chez Glénat
- 2020
Headline, Doug
(Scénario)
Civiello, Emmanuel
(Dessin)
Civiello, Emmanuel
(Couleurs)
Louinet, Patrice
(Autres)
Demaret, David
(Autres)
Howard, Robert E.
(Adapté de)
11/2020 (13 janvier 2021) 58 pages 9782344038574 Grand format 405169
Profitant d’une discrétion que seule la nuit permet d’offrir, Conan s’infiltre dans un somptueux palais pour y subtiliser une coupe représentant un rapide enrichissement. Aussi discret qu’un félin, il ne se fait repérer par le garde Arus que parce qu’il croit reconnaitre en lui un camarade malfaiteur. Sans le savoir, Conan vient de se présenter comme le coupable idéal pour le meurtre de Kallian Publico, le riche et détesté propriétaire du temple dans lequel il est venu voler... Dans Le Dieu dans le sarcophage, l’œuvre de Robert E. Howard rencontre... Lire la suite
C'est l'une des plus belle introduction de la série qui nous explique l'histoire d'un royaume à l'origine de la Stygie. C'est assez intéressant de voir comment les empires se forment et s'écroulent à travers l'histoire. Rien n'est immuable.
Par la suite, cela se transforme en un huit clos dans un magnifique palais où un meurtre a été commis. On se croirait presque dans un Agatha Christie mais version barbare. C'est au chef de la garde de résoudre ce mystère où il sera confronté à plusieurs théories.
Il y a un changement assez palpable dans la narration ce qui fait que cette nouvelle est totalement différente pour notre plus grand plaisir de découvrir toujours des versions qui créent la surprise.
La série est sans doute dans son ensemble comme la meilleure du moment. Ce n’était pas un pari gagné d'avance car l’hétérogénéité nuit souvent à la qualité d'une œuvre mais ce n'est pas le cas en l'espèce, bien au contraire !
Pour autant, j'ai trouvé la fin un peu confuse même si le dénouement était attendu car il y a bien un dieu dans le sarcophage.
Une enquête criminelle dans l'univers de Conan... Franchement çà manque de panache ! Très ennuyeux cet album...
Civiello, quant à lui, est désormais à ranger dans les illustrateurs pour enfants... On est bien loin de la Graine de Folie ou Korrigans.
Rien à redire sur l’histoire, le découpage est parfait. je suis un peu déçu par le coté graphique, trop brouillon, amha.
Les albums passent, les auteurs changent mais le plaisir restent le même.
Encore une excellente adaptation.
Le découpage de l'ouvrage entre les réflexions des différents protagonistes est très intéressant.