1. Le quatrième passager | edualc | Comme neuf | 9.00€ | |
1. Le quatrième passager | largowinch11 | Très bon état | 8.00€ | |
1. Le quatrième passager | jim mac clure | Comme neuf | 5.00€ | |
1. Le quatrième passager | JEANLIN | Bon état | 3.00€ |
Info édition : Ex-libris offert en début d'album, avec la 1ère édition.
C'est le genre d'histoire que j'aime bien lire sur un mode purement urbain dans le genre chronique sociale. Trois jeunes colocataires doivent trouver un quatrième et pour le coup, je dois dire qu'ils ont tiré le gros lot ! On ne va pas s'ennuyer une seconde. Cela se lit assez agréablement. On se croirait dans l'auberge espagnole.
Je découvre pour ma part un Sylvain Runberg dans un genre auquel on ne l'attendait pas. C'était à ses débuts avant la fameuse série Orbital qui l'a fait connaître du grand public. Le talent explose avec des dialogues plutôt intéressants sur des thématiques très actuelles. Au final, c'est une trilogie fraîche et sympa.
Mais graphisme interessant.
Cela étant, il est vrai que l'histoire est quelconque. On est loin de l'ambiance de "l'auberge Espagnole". Je ne vois pas ce que les auteurs ont voulu nous faire sentir.
Il y a ça et là des petits bouts de vie pour lesquels il est possible de s'identifier, mais non, le coeur n'y est pas.
Pour la page 25, il est vrai que la chaine de distribution devrait être "charmée".
Cependant, et grâce à Dupuy-Berberian, ce type de BD reste prometteuse, mais cela demande encore des efforts pour que Christopher puisse se hisser à leur niveau. Etje crois qu'il en est capable.
Courage, car c'est tout de même pas évident de faire de la bande déssinée.
D'emblée, le marketting très agressif de la collection "Expresso" nous propose un ex-libris infectement commercial.
Passé les pages de garde, on se trouve immergé dans un album où le scénariste semble déployer toute sa maîtrise du poncif. Des personnages caricaturaux, une histoire très peu crédible.
Le dessinateur semble avoir bien compris l'étendue du désastre et ne s'est pas trop foulé sur le dessin (il est capable de bien mieux).
La référence lourdement appuyée à une grande chaîne de distribution page 25 est-elle là pour tenter de rehausser les ventes de ce livre?
En tout cas, à force de politiquement correct et de coolitude démago, on en vient rapidement à cette conclusion: Inutile de lire le tome suivant.
Une mention pour les couleurs: elles abiment les rétines!