Le club des prédateurs
1. The Bogeyman
Une BD de Valérie Mangin et Steven Dupré chez Casterman - 2016
01/2016 (27 janvier 2016) 54 pages 9782203088092 Grand format 268792
Londres 1865. Tandis que dans leurs clubs les gentlemen font bonne chère, dans leurs usines les enfants des pauvres se tuent au travail. Tout autour, le brouillard dissimule mal les monstres et les criminels. Jack, un petit ramoneur insoumis, voudrait combattre tous ces prédateurs, et en particulier l'effrayant Bogeyman, le meurtrier de son père. Le hasard va le rapprocher d'une très jeune héritière, Liz, qui pourrait changer sa vie. Mais des rues mal famées jusqu'au Club le plus select, leur innocence va laisser place à la pure terreur.
J'ai rarement lu quelque chose d'aussi noir, d'aussi dérangeant... Mais c'est vraiment bon. Je le conseille mais à ne pas mettre entre toutes les mains!!!! C'est HARD!
Rien à dire sur le dessin, c'est très bon. L'univers est travaillé, l'intrigue... est prenante.
J'ai définitivement été conquis à la fin de ce premier volet. Je m'attendais à quelque chose d'un peu plus convenu. Les auteurs ont pris le risque de provoquer le lecteur, et c'est payant.
Une lecture intéressante. On se laisse surprendre par cette histoire qui prend un tournant assez surprenant. La lecture est agréable, le dessin est correct, mais pas exceptionnel. On ne ressent pas l'atmosphère particulière de Londres au 19ème siècle. Et peu d'émotion ressort des personnages que je trouve un peu insipides.
J'ai un avis plutôt mitigé aussi. Rien à redire sur le dessin et l'illustration des disparités sociales (bien qu'un brin caricaturales). Ce qui me gène un peu, c'est le dénouement glauque et choquant, voire limite. Bon, ça ne m'empêchera pas de lire la suite et fin au prochain épisode ! A ne pas laisser entre toutes les mains, quand même...
Assez partagé : la 1ère partie et la dichotomie riches-pauvres avec un dessin et une colo plutôt réussis font penser à une superbe bd. Mais la 2ème qui part vers un horrible où l'indicible se mêle au pathétique freine la lecture. D'un côté, envie de lire la fin de l'histoire et de l'autre crainte de vomir au regard des 3 dernières planches et de la dernière case...
Attiré par la couverture je l'ai feuilleté et convaincu par les dessins que j'entrevoyait je l'ai acheté. Je n'ai pas été déçu. La peinture de cette ère de transformations profondes de la société est d'un réalisme criant de vérité. Bien sur le scénario bascule dans l'horreur et j'attends avec impatience le tome 2 pour satisfaire ma curiosité face au dénouement
cet album acheté par hasard ne m'a pas déçu bien au contraire.
les dessins sont parfaits à mon goût tout comme les couleurs.
quand au scénario, il m'a tenu en haleine jusqu'à la fin ce qui n'est pas si fréquent.
j'attends la suite et fin avec impatience.