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Les rois de l'évasion ne sont pas ce que l'on pourrait s'imaginer. Claus et Simon ne sont pas des captifs qui tentent de s'évader d'une quelconque prison. Il s'agit en fait de saltimbanques des jeux du cirque. L'évasion consiste à se sortir de chaînes dans un immense récipient rempli d'eau un peu comme ces tours de magie du siècle dernier. Il faut effectivement beaucoup d'adresse pour ne pas se noyer. S'évader ou mourir : il faut choisir !
J'ai aimé le décor futuriste de ce 22ème siècle avec ces jeux encore plus cruel que ceux de la Rome Antique. Cela rappelait par moment les décors du film Blade Runner. Un des personnages principaux a d'ailleurs une tête de lézard. On évolue dans un univers particulier. En effet, j'ai apprécié cette originalité qui donne une touche unique à l'ensemble.
Le dessin de l'auteur espagnol Arcas utilise une large palette de couleurs. Cela rend plutôt bien. Dans une composition loin d'être aussi épurée, chaque détail compte. On pourra ainsi voir qu'il y a de nombreux clins d'oeil ou références diverses (le bibendum de Michelin trônant sur un immeuble, la destination Gotham city sur le panneau d'affichage d'une gare etc...).
Pour autant, j'ai trouvé que la fin de ce récit était un peu trop expéditive. Je n'ai pas compris par exemple pourquoi la corporation tenait tant à faire perdre ses poulains contre la casta : l'organisation mafieuse adverse. On ne sera pas si Claus avait effectivement un fils qu'il a abandonné.
Bref, il y aura beaucoup de questions restées sans réponse. On a l'impression également que ce one shot devait être le début d'une série et que cela s'est arrêté brusquement. Oui, il y a comme un goût d'inachevé. Dommage car c'était intéressant.
Les rois de l'évasion ne sont pas ce que l'on pourrait s'imaginer. Claus et Simon ne sont pas des captifs qui tentent de s'évader d'une quelconque prison. Il s'agit en fait de saltimbanques des jeux du cirque. L'évasion consiste à se sortir de chaînes dans un immense récipient rempli d'eau un peu comme ces tours de magie du siècle dernier. Il faut effectivement beaucoup d'adresse pour ne pas se noyer. S'évader ou mourir : il faut choisir !
J'ai aimé le décor futuriste de ce 22ème siècle avec ces jeux encore plus cruel que ceux de la Rome Antique. Cela rappelait par moment les décors du film Blade Runner. Un des personnages principaux a d'ailleurs une tête de lézard. On évolue dans un univers particulier. En effet, j'ai apprécié cette originalité qui donne une touche unique à l'ensemble.
Le dessin de l'auteur espagnol Arcas utilise une large palette de couleurs. Cela rend plutôt bien. Dans une composition loin d'être aussi épurée, chaque détail compte. On pourra ainsi voir qu'il y a de nombreux clins d'oeil ou références diverses (le bibendum de Michelin trônant sur un immeuble, la destination Gotham city sur le panneau d'affichage d'une gare etc...).
Pour autant, j'ai trouvé que la fin de ce récit était un peu trop expéditive. Je n'ai pas compris par exemple pourquoi la corporation tenait tant à faire perdre ses poulains contre la casta : l'organisation mafieuse adverse. On ne sera pas si Claus avait effectivement un fils qu'il a abandonné.
Bref, il y aura beaucoup de questions restées sans réponse. On a l'impression également que ce one shot devait être le début d'une série et que cela s'est arrêté brusquement. Oui, il y a comme un goût d'inachevé. Dommage car c'était intéressant.
Graphisme splendide, histoire sympathique et amusante, trés bonne bd.