Civil War (Marvel Deluxe)
4. Journal de guerre
Une BD de
Paul Jenkins
et
Lee Weeks
chez Panini Comics
(Marvel Deluxe)
- 2012
Jenkins, Paul
(Scénario)
Bachs, Ramon
(Dessin)
Lieber, Steve
(Dessin)
Fernández, Leandro
(Dessin)
Weeks, Lee
(Dessin)
Brown, James
(Couleurs)
Brown, Dan
(Couleurs)
Martin, Laura
(Couleurs)
Molinar, Larry
(Couleurs)
Chung, June
(Couleurs)
Lucas, John
(Encrage)
Nelson
(Encrage)
Campanella, Robert
(Encrage)
Weeks, Lee
(Encrage)
Florea, Sandu
(Encrage)
Fernández, Leandro
(Encrage)
Lieber, Steve
(Encrage)
Pini, Gianluca
(Lettrage)
Manesse, Jérémy
(Traduction)
Tadil, Khaled
(Traduction)
10/2012 (31 octobre 2012) 328 pages 9782809426670 Format comics 175682
Cet album contient les épisodes suivants : Journal de Guerre : Embedded, Civil War: Front Line I à II (d'août 2006 à avril 2007) L'Accusé : The Accused, Civil War: Front Line 1 à 10 (d'août à décembre 2006) Le Programme : The Program, Civil War: Front Line 2 (août 2006) Cellule Dormante : Sleeper Cell, Civil War: Front Line 3 à 9 (de septembre à décembre 2006)
Un quatrième Deluxe qui continue la publication des à-côtés de Civil War. Des intrigues secondaires qui développent certains aspects de la mini-série principale jusqu’à en être parfois franchement accessoires, comme c’est le cas ici (Civil War: Front Line 2006, #1-11).
On commence avec une enquête de Ben Urich et d’une collègue également journaliste. Après quelques tâtonnements, un peu d’hostilité de la part du Daily Bugle et un brin d’action, arrive enfin le scoop "qui risque de bouleverser le pays comme jamais" (dixit Urich lui-même) : Iron Man aurait utilisé l’incident de Stamford pour se faire construire une prison... Donc le mec est un génie milliardaire mais il s’intéresse à l’immobilier pénitentiaire ? Ridicule. Fort heureusement nos deux valeureux journalistes ne publient pas leur enquête.
Vient ensuite une histoire autour du cas de Speedball, le surhumain membre des New Warriors et rescapé de l’incident de Stamford. Tout le monde l’accuse d’être responsable des 600 et quelques morts alors qu’il est juste coupable d’aimer la téléréalité... Et puis il faudrait dire au scénariste que de nos jours il existe d’autres formes de pénitence que la mortification.
Et on conclue avec l’accrochage entre les Atlantes et le Bouffon vert, une histoire secondaire de l’histoire secondaire précédente, sans intérêt.
Pour peu que l’on apprécie Ben Urich, la première partie de ce quatrième Deluxe vaut la peine d’être lue (bien qu’il y aurait eu mieux à faire avec le Daily Bugle, étant donné son lien avec Spider-Man, un personnage central à Civil War). Tout le reste est oubliable.
Encore un super tome. Je vais surtout m'attarder sur les 2 "grandes histoires" de ce tome. A savoir, les journalistes et leur découverte du complot, et la partie avec Speedball devenu Penance.
La première partie, beaucoup plus posée, nous permet de suivre deux journalistes qui enquêtent sur la loi du recensement. Bien évidemment, ils finissent par trouver un truc énorme sur Iron Man, les raisons de cette loi, ainsi que la manipulation de ce dernier contre tous. Partie étonnante, on ne sait pas trop quoi penser après coup sur Iron Man, mais il est clair, ce n'est pas plaisant qu'un gentil veuille sacrifier autant pour assouvir ses désirs.
Ensuite, la partie pour moi qui était la plus intéressante du tome, la partie où la loi vient tout juste de sortir, et où Speedball est pris comme bouc-émissaire et devient par la même occasion le super-héro le plus détesté des U.S.A. Un parcours de ce jeune des New Warriors vraiment pas facile avec une fin exceptionnelle. Il se repentit malgré que ça ne soit pas sa faute directement la mort de plus de 600 personnes à Stamford et décide de devenir une autre héro, un héro au nom de Penance. Cette partie m'a clairement donné envie de connaître un peu plus des aventures de Penance, et de suivre l'origine de cet héro était vraiment incroyable !