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Le Roman Graphique Cinéma Zénith /1 (2016-éditions Rackham) de l’Auteur ( Scénario et Dessins) italien Andréa Bruno, né en 1972 et travaillant à Bologne, en noir et blanc et en grand format, est une expérience d’Arts Plastiques et de Narration (création d’un monde de marginaux).
Quelle est l’histoire ? Une jeune femme étrangère se rend dans une ville remplie de drogués qui font le spectacle en se jetant dans le vide, contrôlée par la Police et voulant voir le Cinéma Zénith qui était celui des riches. Mais, qui fut abandonné.
Ici, les habitants de cette ville s’appellent « les thébains » qui renvoient à la thébaine, utilisée pour créer des dérives d’opium.
Et l’un des personnages s’appelle « Octavius » comme le roi légendaire de Bretagne.
Scénaristiquement, le personnage de la jeune femme conclut le premier volet en « mettant de l’huile sur le feu » et annonce , comme Octavius, la révolte à venir.
Du point de vue du Dessin, Andréa Bruno se réclame des grands Maîtres de la BD italienne et argentine : Breccia, Munoz, Toppi et Pratt. Son style est personnel, loin du trait et développe la « tâche d’encre ».
A lire et relire absolument.
Le Roman Graphique Cinéma Zénith /1 (2016-éditions Rackham) de l’Auteur ( Scénario et Dessins) italien Andréa Bruno, né en 1972 et travaillant à Bologne, en noir et blanc et en grand format, est une expérience d’Arts Plastiques et de Narration (création d’un monde de marginaux).
Quelle est l’histoire ? Une jeune femme étrangère se rend dans une ville remplie de drogués qui font le spectacle en se jetant dans le vide, contrôlée par la Police et voulant voir le Cinéma Zénith qui était celui des riches. Mais, qui fut abandonné.
Ici, les habitants de cette ville s’appellent « les thébains » qui renvoient à la thébaine, utilisée pour créer des dérives d’opium.
Et l’un des personnages s’appelle « Octavius » comme le roi légendaire de Bretagne.
Scénaristiquement, le personnage de la jeune femme conclut le premier volet en « mettant de l’huile sur le feu » et annonce , comme Octavius, la révolte à venir.
Du point de vue du Dessin, Andréa Bruno se réclame des grands Maîtres de la BD italienne et argentine : Breccia, Munoz, Toppi et Pratt. Son style est personnel, loin du trait et développe la « tâche d’encre ».
A lire et relire absolument.