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Cette pochade satirique signée Pagnol est bien mise en lumière par cette version dessinée.
Cigalon, cuisinier émérite, n’éprouve pas le besoin de le démontrer et le simple fait de voir écrit « Restaurant » sur sa devanture le satisfait. Il chante ses recettes et fait servir par sa sœur uniquement des boissons.
Mais un jour Mme Toffi revient au village et fait savoir à Cigalon qu’elle va elle aussi ouvrir un restaurant. Mais elle, servira et restaurera vraiment ses clients. Cigalon en prend ombrage et va se décider à rendre actif le sien.
Cette BD pleine d’humour sent bon la Provence. On y retrouve un instituteur sous les traits de Topaze (clin d’œil du dessinateur de la BD éponyme) ainsi que les pieds nickelés dans une taverne mal fréquentée. C’est justement de l’un des clients de cet endroit malfamé que viendra le malheur de Cigalon pour offrir ensuite une jolie fin au lecteur.
Les personnages s’emballent et gesticulent avec leurs fortes personnalités mais j’ai pourtant trouvé le rythme de l’histoire saccadé. Cette fluidité absente m’empêche d’adhérer totalement. Il est vrai que l’histoire est sympathique et originale. Je comprends que l’accueil du public ait été désastreux lors de la sortie du film car en le comparant à la trilogie marseillaise nous avons l’impression d’avoir affaire à un sous-produit. J’ai aussi du mal à comprendre l’autosatisfaction de Marcel Pagnol pour cette histoire alors qu’il a fait tellement mieux.
Ce n’est pas un mauvais album ni une mauvaise histoire mais mon enthousiasme n’est pas débordant. Quant au dessin d'Éric Hübsch, il est toujours aussi bon et reste au niveau de celui de Topaze.
Cette pochade satirique signée Pagnol est bien mise en lumière par cette version dessinée.
Cigalon, cuisinier émérite, n’éprouve pas le besoin de le démontrer et le simple fait de voir écrit « Restaurant » sur sa devanture le satisfait. Il chante ses recettes et fait servir par sa sœur uniquement des boissons.
Mais un jour Mme Toffi revient au village et fait savoir à Cigalon qu’elle va elle aussi ouvrir un restaurant. Mais elle, servira et restaurera vraiment ses clients. Cigalon en prend ombrage et va se décider à rendre actif le sien.
Cette BD pleine d’humour sent bon la Provence. On y retrouve un instituteur sous les traits de Topaze (clin d’œil du dessinateur de la BD éponyme) ainsi que les pieds nickelés dans une taverne mal fréquentée. C’est justement de l’un des clients de cet endroit malfamé que viendra le malheur de Cigalon pour offrir ensuite une jolie fin au lecteur.
Les personnages s’emballent et gesticulent avec leurs fortes personnalités mais j’ai pourtant trouvé le rythme de l’histoire saccadé. Cette fluidité absente m’empêche d’adhérer totalement. Il est vrai que l’histoire est sympathique et originale. Je comprends que l’accueil du public ait été désastreux lors de la sortie du film car en le comparant à la trilogie marseillaise nous avons l’impression d’avoir affaire à un sous-produit. J’ai aussi du mal à comprendre l’autosatisfaction de Marcel Pagnol pour cette histoire alors qu’il a fait tellement mieux.
Ce n’est pas un mauvais album ni une mauvaise histoire mais mon enthousiasme n’est pas débordant. Quant au dessin d'Éric Hübsch, il est toujours aussi bon et reste au niveau de celui de Topaze.