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Wismerhill est Baron de Moork et demeure le pion du grand méchant. Et pis c'est tout.
Froideval procrastine devant son scénario. Certes, les scénettes sont sympathiques. La rousse sexuellement atomique bouffe les âmes des gens. Wiss est un petit malin sans non plus révolutionné la "malinerie" des héros de BD. L'empereur est bien seul à la tête de l'empire. Et les héros morts reviennent à la vie, comme d'hab dans les chroniques. C'est donc sympa. C'est tout du déjà vu dans les tomes précédents de la série mais sympatoche.
Coté dessin, Ledroit laisse la main à Pontet…. qui fait du Ledroit. Tout est du Ledroit. Le lettrage, le cadrage, l'ancrage et la couleur. Et comme Pontet n'est pas Ledroit, on aurait préféré du Ledroit. C'est toujours pareil quand on reprend la suite d'une série avec une telle identité visuelle. Comment se réapproprier l'univers avec son empreinte artistique tout en essayant de conserver le confort de lecture de celles et ceux qui suivent la série? Pontet, par ce mimétisme, reprend les rennes comme un parfait petit élève. L'espoir est que, dans les prochains tomes, il pose ensuite sa pierre artistique à l'édifice. Car, il y a clairement du potentiel.
Car c'est Pontet qui sauve l'album. Non pas par le dessin, trop mimétique, mais par son cadrage vif, violent, acéré. Sans cela, la lecture sans enjeu ni surprise de l'histoire n'aurait été qu'une lecture entrecoupée de bâillements.
Un peu redondant comparer aux autres tomes de la série, mais interéssant. la
reprise par Pontet est une vrai réussite. Je trouve que ce tome avec le 4e est un
peu ennuyant (manque d'action), mais j'ai tout de même bien aimée le bout où
Wis conquit le fief d'Horker.
Wismerhill est Baron de Moork et demeure le pion du grand méchant. Et pis c'est tout.
Froideval procrastine devant son scénario. Certes, les scénettes sont sympathiques. La rousse sexuellement atomique bouffe les âmes des gens. Wiss est un petit malin sans non plus révolutionné la "malinerie" des héros de BD. L'empereur est bien seul à la tête de l'empire. Et les héros morts reviennent à la vie, comme d'hab dans les chroniques. C'est donc sympa. C'est tout du déjà vu dans les tomes précédents de la série mais sympatoche.
Coté dessin, Ledroit laisse la main à Pontet…. qui fait du Ledroit. Tout est du Ledroit. Le lettrage, le cadrage, l'ancrage et la couleur. Et comme Pontet n'est pas Ledroit, on aurait préféré du Ledroit. C'est toujours pareil quand on reprend la suite d'une série avec une telle identité visuelle. Comment se réapproprier l'univers avec son empreinte artistique tout en essayant de conserver le confort de lecture de celles et ceux qui suivent la série? Pontet, par ce mimétisme, reprend les rennes comme un parfait petit élève. L'espoir est que, dans les prochains tomes, il pose ensuite sa pierre artistique à l'édifice. Car, il y a clairement du potentiel.
Car c'est Pontet qui sauve l'album. Non pas par le dessin, trop mimétique, mais par son cadrage vif, violent, acéré. Sans cela, la lecture sans enjeu ni surprise de l'histoire n'aurait été qu'une lecture entrecoupée de bâillements.
Un peu redondant comparer aux autres tomes de la série, mais interéssant. la
reprise par Pontet est une vrai réussite. Je trouve que ce tome avec le 4e est un
peu ennuyant (manque d'action), mais j'ai tout de même bien aimée le bout où
Wis conquit le fief d'Horker.
La série est à lire, relire et rerelire.