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Le Choucas est engagé par un couple pour retrouver leur fils disparu depuis peu. Un petit détail, le garçon est d'origine malienne et une ambiance malsaine règne sur la ville car des "incidents" racistes se sont multipliés ces derniers temps. Fugue, kidnapping ou bavure ? Le Choucas, flanqué de Gabin le fidèle taximan, enquête et suivant une piste se retrouve au Mali ou les choses sont plus compliquées qu'elles ne paraissent.
J'ai été un peu déçu par cette histoire, qui sur un fond d'actualité très intéressant (racisme, rapport pays pauvre/pays riche), s'enlise un peu dans la latérite. Les divers éléments du récit se suivent d'une façon un peu forcée rendant la narration quelque peu chaotique. Les tenants et les aboutissants de l'intrigue à peine posé qu'on se retrouve en Afrique sans trop savoir comment, une poursuite mouvementée sur la piste arrive et la conclusion abrupte et fleur bleue clôt l'histoire. Le propos de Lax mériterait au moins deux volumes pour s'épanouir, ici il y a trop d'éléments, d'explications, pour permettre vraiment au récit la chance de se développer.
Graphiquement c'est très bon (comme d'habitude avec Lax), Lax a parfaitement su rendre la riche lumière africaine. La chaleur, la poussière et la transpiration des pistes assomment les hommes. Et pire que ça, avec la température la bière est tiède...
Après le Choucas en Amérique (tome 6) et Le Choucas au Tibet (tome précédent), ce Choucas au Congo me semble être celui de trop. Lax dans une interview récente (Bodoi 118) dit qu'il a l'impression d'avoir fait le tour du personnage, on ne peut que lui donner raison. De plus, déraciné de sa ville, le Choucas n'est vraiment pas à son aise. Alors plutôt qu'un Cigare des Pharaon, un Les gauloises du président serait plus de mise.
Comme Gabin, un des héros ancien champion d'Afrique de boxe, Lax tape fort où ça fait mal. A lire donc, absolument...
Anibara M. Lacroix.
Le Choucas est engagé par un couple pour retrouver leur fils disparu depuis peu. Un petit détail, le garçon est d'origine malienne et une ambiance malsaine règne sur la ville car des "incidents" racistes se sont multipliés ces derniers temps. Fugue, kidnapping ou bavure ? Le Choucas, flanqué de Gabin le fidèle taximan, enquête et suivant une piste se retrouve au Mali ou les choses sont plus compliquées qu'elles ne paraissent.
J'ai été un peu déçu par cette histoire, qui sur un fond d'actualité très intéressant (racisme, rapport pays pauvre/pays riche), s'enlise un peu dans la latérite. Les divers éléments du récit se suivent d'une façon un peu forcée rendant la narration quelque peu chaotique. Les tenants et les aboutissants de l'intrigue à peine posé qu'on se retrouve en Afrique sans trop savoir comment, une poursuite mouvementée sur la piste arrive et la conclusion abrupte et fleur bleue clôt l'histoire. Le propos de Lax mériterait au moins deux volumes pour s'épanouir, ici il y a trop d'éléments, d'explications, pour permettre vraiment au récit la chance de se développer.
Graphiquement c'est très bon (comme d'habitude avec Lax), Lax a parfaitement su rendre la riche lumière africaine. La chaleur, la poussière et la transpiration des pistes assomment les hommes. Et pire que ça, avec la température la bière est tiède...
Après le Choucas en Amérique (tome 6) et Le Choucas au Tibet (tome précédent), ce Choucas au Congo me semble être celui de trop. Lax dans une interview récente (Bodoi 118) dit qu'il a l'impression d'avoir fait le tour du personnage, on ne peut que lui donner raison. De plus, déraciné de sa ville, le Choucas n'est vraiment pas à son aise. Alors plutôt qu'un Cigare des Pharaon, un Les gauloises du président serait plus de mise.