©Dupuis 2019 Colman, Stéphan/Maltaite
Parution le 05/04/2019. Vous pouvez commander l'album chez nos partenaires suivants :
Acheter sur Amazon
Acheter chez BDfugue
Acheter à la FNAC
Acheter sur Rakuten
Acheter sur Amazon
Acheter chez BDfugue
Acheter à la FNAC
Acheter sur Rakuten
Album créé dans la bedetheque le 01/03/2019 (Dernière modification le 28/08/2023 à 16:30) par xof 24
Choc (Maltaite/Colman)
3. Les fantômes de Knightgrave - Troisième et dernière partie
Une BD de Colman, Stéphan et Éric Maltaite chez Dupuis - 2019
04/2019 (05 avril 2019) 84 pages 9782800168067 Grand format 360819
L'itinéraire d'un enfant gâché : tel est le sous-titre que l'on pourrait trouver à ce triptyque
-
Tome 1 -
Tome 2 -
Tome 3 -
INT
Effectivement, la déception née d'un tome 2 qui était très confus n'a pas été rattrapée par ce tome 3.
C'est toujours aussi brouillon, un personnage (le duke) prend beaucoup trop de place alors qu'il n'apporte rien à l'histoire.
J'ai pourtant lu le tome 2 il y a 2 jours, mais je ne comprend rien à l'histoire.
Je suis aussi perplexe en lisant la dernière conversation, entre le policier et la vieille dame ; comment peut-elle affirmer que choc faisait parfois rêver, alors que c'est un être détestable ? Comment le policier peut-il le qualifier de "grand criminel" ?
C'est un peu du n'importe quoi, tout ça.
Grosse déception aussi devant le peu d'intérêt du scenariste pour Tif et Tondu, qui seront pourtant de vrais adversaires (et pas les policiers qui passent vraiment pour des branquignols).
Le lien avec "Tif et Tondu", et leur 1ère rencontre, du coup, tombe à plat.
Restent de beaux dessins, mais c'est vraiment insuffisant pour considérer ce tryptique comme réussi.
Dommage.
Je rejoins l'avis général: les deux premiers tomes étaient extra, celui-ci est moyen. La faute à un scénario confus qui, loin de tout éclairer, embrouille encore plus la compréhension de l'intrigue et fait que la lecture de cet opus est par moments irritante. Dommage, car le dessin reste très bon, bel hommage au style classique de l'âge d'or de la BD franco-belge, tout en y ajoutant une touche de modernité.
La série a commencée avec un premier album sensationnel, pour poursuivre sur un second un peu moins prenant mais tout de même très bon, pour finir malheureusement sur ce dernier opus plutôt décevant...
Comme l'a si bien dit Francois Nemov, on s'attend à voir tous les fils de l'intrigue se dénouer, mais c'est l'inverse qui se produit, tout stagne et fini même par s'emmêler. L'histoire, qui démarre d'ailleurs sur un postulat plus que déroutant, tourne d'avantage autour du personnage de William que de Choc. Cette histoire qui est testostéroné à base de jeux de mots, métaphores et autres figures de style, s'en retrouve très barbante et indigeste et du coup complètement à part de ce qui a été construit dans les 2 premiers tomes. D'ailleurs la conclusion est elle aussi déroutante, voire même complétement incompréhensible. On a finalement juste suivi son parcours de sa naissance à ses débuts en tant que Choc. Mais on ne sait toujours pas comment il a acquis sa puissance, comment il a monté sa fortune, comment il est devenu le génie du mal...
Seul point positif, le dessin et sa mise en couleur qui ne perdent pas en qualité et qui au contraire fourmillent beaucoup plus de détails.
Une vraie déception au final au vu du potentiel que cette série avait.
La déception est énorme au vu de la qualité des deux premiers albums. L'histoire est brouillonne et plusieurs éléments m'ont un peu cassé les pieds. Concernant le dessin, il n'y a rien à redire. Vraiment dommage...
C'est très mauvais. Je suis immensément déçu. Alors que le premier album était magistral et le deuxième presqu'aussi génial. Je m'attendais à voir tous les fils de l'intrigue se dénouer, s'ordonner et m'emmener vers la conclusion.
Mais non. Au contraire. Au fur et à mesure, ça se complique, ça s'embrouille, ça s'emmêle. Il faut sans cesse revenir en arrière pour essayer de comprendre et à partir de la moitié de ce troisième tome, ça ne suffit plus.
Manifestement, le dessinateur a le même sentiment que moi, à peu près au même moment. Il commence à bâcler son dessin comme s'il voulait en avoir fini le plus vite possible. Dessin très professionnel par ailleurs, sauf quand un personnage glabre acquiert "miraculeusement" une moustache...
A aucun moment je n'ai compris comment Choc devient "un génie du mal". D'ailleurs, après avoir lu l'album (de plus en plus vite, c'est vrai), j'ai même l'impression qu'il ne devient simplement pas méchant. Et je ne comprends pas non plus comment il acquiert toute sa puissance.
On dirait que le scénariste s'est tellement emmêlé les pinceaux dans son histoire, ses sous-histoires, ses flash-backs, flash-forwards et sa documentation qu'il en a oublié son sujet principal. N'est pas Yann Lepennetier qui veut.
Le fait que Spirou ne le prépublie pas aurait dû me mettre la puce à l'oreille. Quel gâchis !
A trop vouloir en faire dans la déconstruction narrative, ce troisième album finit par lasser. Et le constat est le même en ce qui concerne les métaphores, trop nombreuses pour être appréciées. Dommage.
Extrêmement décevant. le premier tome était une magnifique surprise, le deuxième sentait un peu la dilution pour surfer sur le succès du premier, le troisième est une daube sans nom. Scénario pitoyable et de grandes cases pour remplir le nombre de pages... Une arnaque et c'est bien dommage. Pourquoi faire trois tomes avec si peu? Si ce n'est pour faire marcher le tiroir caisse.
Je n'ai pas compris l’essence de cet album.
Moins emballé que les tomes précédents que j'avais trouvé admirable, même si je ne dénigre pas le travail des auteurs concernant ce dernier tome.
Choc n'était pas programmé pour devenir le maître du crime, mais les circonstances ont influer son destin.
Une série surfaite à mon sens. J’ai eu autant de mal à suivre le découpage que dans les tomes précédents. Et certains dialogues sont totalement abscons. Très déçu.
Une des toutes meilleures BD que j'ai lues.
Récit en trois tomes, qui se termine : Conforme à l'annoncé tacite, pas d'arnaque à la longueur : Rien à dire de ce côté-là. J'excuse sans problème tous ceux qui ont besoin de faire vivre leur série, cela reste un métier, mais ici, nous ne sommes pas dans ce cas-là...
Ce récit m'a fait rêver tout en me surprenant : Une des rares BD de cette profondeur, une jolie boîte contenant les choses de la vie, avec un dessin si classique et si conforme au modèle que l'on se fait de la BD de jeunesse : belle performance !
Un mode narratif composé de fondus enchaînés dévoilant de proche en proche tous les recoins d'une vie : jubilatoire !
Un vrai méchant, puissant et mystérieux, sans limite et intriguant, d'une intelligence machiavélique : indispensable à la grandeur d'une histoire !
Un scénario bien ficelé, distillé au travers de tirades percutantes : Le style CHOC, et le verbe d'un bon polar !
Un voyage au fil des pages de plus en plus captivant, au travers des personnages qui ont construit Monsieur Choc et des lieux qui l'ont vu passer : Une fuite en avant vers un plaisir sans cesse renouvelé !
J'ai ressenti sur la fin 2 ou trois pages semblant traduire la douleur d'en finir avec cet accouchement : Le mur des 30 km de ce marathon a été tout de même bien franchi, pour finir en déroulant avec la foulée propres aux meilleurs athlètes : Bravo les auteurs !
Merci pour le bon moment
Après la relecture des 2 premiers, j'ai pu dans la foulée découvrir ce troisième opus.
Et ce dernier tome est narrativement moins bon que le 2ème, qui lui même était moins bon que le premier (qui reste à mes yeux tout bonnement exceptionnel) : les transitions entre époques sont notamment bien moins travaillées, moins subtiles, plus brouillones. C'est simple, si le premier tome avait été du niveau du 2ème ou 3ème tome, je n'aurais simplement jamais acheté la série.
Je suis donc un peu déçu, même s'il faut reconnaître que c'est largement au dessus de la moyenne de ce qui se fait.
Tome 1 : 9/10
Tome 2 : 8/10 (voire 7/10)
Tome 3 : 7/10 (voire 6/10)
Cette série s'achève en apothéose. Bien que j'ai eu l'impression que malgré ses 80 pages, cet opus se lisait plus rapidement que les deux premiers volumes, nous avons là les réponses à toutes les questions que l'on se posait.
Le scénario relève d'un mécanisme d'horlogerie parfaitement huilée, jusqu'au final ou plutôt jusqu'au deux fins qui nous réservent de sacrés surprises.
Et que dire des magnifiques planches de Maltaite qui traduisent parfaitement la violence de la guerre mais aussi le destin tragique du petit Eden. Ce dernier épisode s'éloigne de son enfance pour se consacrer à la naissance de Monsieur Choc.
Très belle réussite en tout cas.