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La chatte est une super héroïne serbe dans un New York à la Marvel dans les années 80 et qui a des pouvoirs de chatte ( elle retombe sur ses pattes et possède des griffes).
Mais son souci premier reste ses costumes qui ont une propension terrible à s'arracher à tout va. Evidemment "la chatte" est un pastiche avec les codes (maitrisés) du comics américain. Ne nous y trompons pas, même s'il est sexué, l'album n'est pas pornographique (Il n'y a pas de sexes masculins ou féminins visibles et il n'y a pas de scène porno).
Ici Les femmes ( super vilaines ou super héroïnes) sont très exhibes à fond et les hommes ( sidekicks et super méchants) sont très très habillés. mais là encore ne nous y trompons pas. Ce sont les femmes qui ont (presque toutes) du caractère et de la personnalité. les hommes, eux, sont des brutes épaisses, des abrutis finis, des couillons absolues dans tous les clichés possibles du con de base.
Les dialogues sont tous idiots, alliant les blagues potaches, les parodies aux douzièmes degrés et le scénario n'a aucun intérêt. Et c'est en cela que c'est drôle de bêtise. C'est un pastiche. au scénario grossier mais aux dessins très fins à la Jim Lee.
Et la maitrise est incroyable, du combat, du cadrage et des perspectives ainsi que de les corps tout est méticuleux, vifs, en mouvement, propre et cela permet de profiter encore plus de ce pastiche pas finaud pour un sou. Il y a même du Will Eisner dans la présentation des épisodes avec le nom de l'auteur dans le décor et les titres qui racontent une histoire. mais la correspondance avec Eisner s'arrête là car si celui-ci était un vrai maitre de la finesse, Bane Kerac est un orfèvre de la lourdinguerie scénaristique. Et c'est ça que c'est bon.
Pour qui a fantasmé de voir les costumes de supers héroïnes, dessinés par le grand Jim Lee, se déchiraient aux endroits adéquats va adorer le non sens du bousin. Et qui veut voir des méchantes avec des seins comme des citrouilles ( littéralement), aussi. Ensuite tout est dans le pouet pouet ( avec parfois de vrais moments dramatiques bien foutus) et perso j'adore ce genre de bd pour préado qui se fend la poire sur un prout.
J'avais découvert La Chatte dans USA magasine, il y a fort longtemps. Et j'avais acheté l'album car oui j'adore cette chatte catin et chatoune au cœur d'artichaud, belle comme le jour dans des postures de combats superbes et coquines ( comme dans un comics des années 80 finalement mais avec le costume déchiré en plus). Et le chiffre "1" préconisait des suites et c'était que du bonheur. Hélas les éditions USA ont mis la clé sous la porte dans un claquement de doigt. Même l'album n'est plus réédité et même que d'occasion y a pas non plus.
Et je suis sur que vous allez être deux à lire la critique tant La Chatte est partie dans le monde de l'oublie. Ce qui veut dire que je dois être le seul en France à un être un fan absolu de La Chatte, super héroïne qui décidément devrait prendre des leçons de couture.
Attention plaisir coupable.
La chatte est une super héroïne serbe dans un New York à la Marvel dans les années 80 et qui a des pouvoirs de chatte ( elle retombe sur ses pattes et possède des griffes).
Mais son souci premier reste ses costumes qui ont une propension terrible à s'arracher à tout va. Evidemment "la chatte" est un pastiche avec les codes (maitrisés) du comics américain. Ne nous y trompons pas, même s'il est sexué, l'album n'est pas pornographique (Il n'y a pas de sexes masculins ou féminins visibles et il n'y a pas de scène porno).
Ici Les femmes ( super vilaines ou super héroïnes) sont très exhibes à fond et les hommes ( sidekicks et super méchants) sont très très habillés. mais là encore ne nous y trompons pas. Ce sont les femmes qui ont (presque toutes) du caractère et de la personnalité. les hommes, eux, sont des brutes épaisses, des abrutis finis, des couillons absolues dans tous les clichés possibles du con de base.
Les dialogues sont tous idiots, alliant les blagues potaches, les parodies aux douzièmes degrés et le scénario n'a aucun intérêt. Et c'est en cela que c'est drôle de bêtise. C'est un pastiche. au scénario grossier mais aux dessins très fins à la Jim Lee.
Et la maitrise est incroyable, du combat, du cadrage et des perspectives ainsi que de les corps tout est méticuleux, vifs, en mouvement, propre et cela permet de profiter encore plus de ce pastiche pas finaud pour un sou. Il y a même du Will Eisner dans la présentation des épisodes avec le nom de l'auteur dans le décor et les titres qui racontent une histoire. mais la correspondance avec Eisner s'arrête là car si celui-ci était un vrai maitre de la finesse, Bane Kerac est un orfèvre de la lourdinguerie scénaristique. Et c'est ça que c'est bon.
Pour qui a fantasmé de voir les costumes de supers héroïnes, dessinés par le grand Jim Lee, se déchiraient aux endroits adéquats va adorer le non sens du bousin. Et qui veut voir des méchantes avec des seins comme des citrouilles ( littéralement), aussi. Ensuite tout est dans le pouet pouet ( avec parfois de vrais moments dramatiques bien foutus) et perso j'adore ce genre de bd pour préado qui se fend la poire sur un prout.
J'avais découvert La Chatte dans USA magasine, il y a fort longtemps. Et j'avais acheté l'album car oui j'adore cette chatte catin et chatoune au cœur d'artichaud, belle comme le jour dans des postures de combats superbes et coquines ( comme dans un comics des années 80 finalement mais avec le costume déchiré en plus). Et le chiffre "1" préconisait des suites et c'était que du bonheur. Hélas les éditions USA ont mis la clé sous la porte dans un claquement de doigt. Même l'album n'est plus réédité et même que d'occasion y a pas non plus.
Et je suis sur que vous allez être deux à lire la critique tant La Chatte est partie dans le monde de l'oublie. Ce qui veut dire que je dois être le seul en France à un être un fan absolu de La Chatte, super héroïne qui décidément devrait prendre des leçons de couture.