Vous utilisez « Adblock » ou un autre logiciel qui bloque les zones publicitaires. Ces emplacements publicitaires sont une source de revenus indispensable à l'activité de notre site.
Depuis la création des site bdgest.com et bedetheque.com, nous nous sommes fait une règle de refuser tous les formats publicitaires dits "intrusifs". Notre conviction est qu'une publicité de qualité et bien intégrée dans le design du site sera beaucoup mieux perçue par nos visiteurs.
Pour continuer à apprécier notre contenu tout en gardant une bonne expérience de lecture, nous vous proposons soit :
de validez dans votre logiciel Adblock votre acceptation de la visibilité des publicités sur nos sites.
Depuis la barre des modules vous pouvez désactiver AdBlock pour les domaine "bdgest.com" et "bedetheque.com".
d'acquérir une licence BDGest.
En plus de vous permettre l'accès au logiciel BDGest\' Online pour gérer votre collection de bande dessinées, cette licence vous permet de naviguer sur le site sans aucune publicité.
Merci pour votre compréhension et soutien,
L'équipe BDGest
Les cookies sur Bedetheque.com :
Nous respectons votre vie privée, et n'utilisons que des cookies internes indispensables au fonctionnement du site.
En savoir plus Fermer
En tentant de récupérer le précieux grimoire de Venoncius dans le laboratoire Synthylab, Nivek pénètre, sans le savoir, à l’intérieur même du Q.G. de Sandor G. Weltman. Pris au piège, il est emprisonné, tabassé, électrocuté... Quelques heures plus tard, il rencontre son tortionnaire vêtu d’une étrange combinaison. Ce dernier lui soumet un impitoyable marché : la vie de Melinda contre celle de Debrah...
Très bon album, dans la même veine que ses prédécesseurs, l'histoire se densifie, se complexe un peu mais pas pour le lecteur. Beaucoup de rebondissements du côté de nos protagonistes, Nivek qui s'est retrouvé pris au piège par Reese, se retrouve en face SGW en personne et est confronté à un dilemne, qui aura de lourdes conséquences... L'album se termine avec une "surprise" que je pense, beaucoup de gens l'avaient deviné au préalable
Après les couvertures certes belles mais racolleuses des tomes 9 et 10 l'histoire se reconcentre sur ces êtres mystérieux.
Les dessins se sont enfin améliorés sans exceller ceux des premiers tomes (toujours du au changement de coloriste?).
Le scénario fait toute la différence avec enfin des révélations sur les Styges. Mais la personnalite de Weltman est un peu difficile à accepter.
En progrès toutefois.
7/10.
La couleur à encore changé, allez savoir pourquoi?
Meme si je trouve qu'elle est légérement mieux il ne faut pas abuser, 4 coloristes différents pour une seule séries c'est beaucoup.
Cette fois nous savons réellement qui est Sandor Weltman.
Avec sa structure feuilletonesque et ses personnages semblant tous droit sortis de "Alias", "le Chant des Stryges" est une série tout à fait de son époque, pour le meilleur (la fascination pour les manipulations génétiques) et pour le pire (une certaine banalisation de la violence derrière le dénuement des décors crépusculaires). Comme dans tout feuilleton qui se respecte, les rebondissements inutiles et les nouveaux mcguffins aussitôt oubliés se succèdent, ce qui peut séduire ou irriter, en fonction de l'humeur du jour : comme il est bien peu probable que l'on se souvienne de ce qui s'est passé dans les 10 tomes précédents, édités sur plus de 10 ans, on se laisse balader avec une certaine indolence entre vraies trahisons et fausses révélations. On sera moins bienveillant envers un graphisme qui tend à la simplification, mais pas dans le bon sens.
Le tome m'a decu. L'intrigue est en perte de vitesse, il ne s'y passe pas grand chose, bien que l'on puisse sentir que la trame pourrait bientot trouver un dénouement. Point de Stryges dans cet album qui tourne plus autour du mystérieux Sandor Weltman. C'est bien, mais je trouve que l'album manque de sel. J'espere que cette série, commencée sur les chapeaux de roue, ne commence pas à s'essoufler. Curieux de voir le tome 12.
Ou comment une série se XIIIsifie... Un bon départ et un declin de plus en plus prononcé. De la photocopie pour faire tourner les planches a billets. On tourne en rond avec une intrigue qui rebondis comme une balle que l'on a relachée, de moins en moins haut, de moins en moins fort et allant dans n'importe qu'elle direction. Quant au dessin, prendre quatre album différent dans la continuité de la série et comparer, cela parle de soi-même.
Avant d'aborder ce 11ème tome, on se dit qu'on va encore avoir du mal à s'y remettre sans relire tous les précédents, mais finalement on rerentre assez facilement dans l'histoire qui est bien fichue et dans l'ambiance bien rendu par les dessins.
Le chant des Stryges restent une série de référence de la science-fiction qui se laisse lire avec intérêt car entre les moments d'action, il y a des pauses philosophiques pas inintéressantes. Je reste client pour la suite.
Cet épisode marque une amélioration par rapport au tome précédent. L'intrigue prend une direction intéressante et nous donne l'impression d'approcher d'un vrai dénouement dramatique, Weltman pourrait il abandonner son immortalité pour l'amour ? Le seul reproche réside toujours dans les traits de visages parfois caricaturaux ou esquissés (exemples les dents toujours représentées par une ligne blanche). Bon il s'agit certainement d'un choix des auteurs alors.... J'attends la suite par curiosité !
J'ai relu les 10 autres avant et je n'ai pas noté de grosses différences avec les précédents. Bonne lecture, très agréable. Des personnages toujours charismatiques, une intrigue dense qui avance encore petit à petit. Les dialogues sint toujours un peu longuets et rébarbatifs mais bon, on commence à s'habituer. Les couleurs que je trouvais crillardes de prime abord s'avèrent finalement correctes. Le dessin est parfois très bon voir original mais peut être y a t il moins le soucis du détail par rapport aux premiers tomes. La dernière révélation est assez tonitruante mais ce n'est pas la 1ère fois que les auteurs nous font le coup. Bien souvent, ça retombe comme un souflet dans les 1ères pages du tome suivant donc wait and see.
Corbeyran aurait enfin écouté les avis des lecteurs et trouvé quelque chose pour relancer l'intrigue, même si elle traîne un peu en longueur. Attendons le n° 12 pour savoir si on ne vas pas encore faire des allers-retours avec le passé.
Très bon album, dans la même veine que ses prédécesseurs, l'histoire se densifie, se complexe un peu mais pas pour le lecteur. Beaucoup de rebondissements du côté de nos protagonistes, Nivek qui s'est retrouvé pris au piège par Reese, se retrouve en face SGW en personne et est confronté à un dilemne, qui aura de lourdes conséquences... L'album se termine avec une "surprise" que je pense, beaucoup de gens l'avaient deviné au préalable
Après les couvertures certes belles mais racolleuses des tomes 9 et 10 l'histoire se reconcentre sur ces êtres mystérieux.
Les dessins se sont enfin améliorés sans exceller ceux des premiers tomes (toujours du au changement de coloriste?).
Le scénario fait toute la différence avec enfin des révélations sur les Styges. Mais la personnalite de Weltman est un peu difficile à accepter.
En progrès toutefois.
7/10.
La couleur à encore changé, allez savoir pourquoi?
Meme si je trouve qu'elle est légérement mieux il ne faut pas abuser, 4 coloristes différents pour une seule séries c'est beaucoup.
Cette fois nous savons réellement qui est Sandor Weltman.
Très bon quand meme.
Avec sa structure feuilletonesque et ses personnages semblant tous droit sortis de "Alias", "le Chant des Stryges" est une série tout à fait de son époque, pour le meilleur (la fascination pour les manipulations génétiques) et pour le pire (une certaine banalisation de la violence derrière le dénuement des décors crépusculaires). Comme dans tout feuilleton qui se respecte, les rebondissements inutiles et les nouveaux mcguffins aussitôt oubliés se succèdent, ce qui peut séduire ou irriter, en fonction de l'humeur du jour : comme il est bien peu probable que l'on se souvienne de ce qui s'est passé dans les 10 tomes précédents, édités sur plus de 10 ans, on se laisse balader avec une certaine indolence entre vraies trahisons et fausses révélations. On sera moins bienveillant envers un graphisme qui tend à la simplification, mais pas dans le bon sens.
Le tome m'a decu. L'intrigue est en perte de vitesse, il ne s'y passe pas grand chose, bien que l'on puisse sentir que la trame pourrait bientot trouver un dénouement. Point de Stryges dans cet album qui tourne plus autour du mystérieux Sandor Weltman. C'est bien, mais je trouve que l'album manque de sel. J'espere que cette série, commencée sur les chapeaux de roue, ne commence pas à s'essoufler. Curieux de voir le tome 12.
Ou comment une série se XIIIsifie... Un bon départ et un declin de plus en plus prononcé. De la photocopie pour faire tourner les planches a billets. On tourne en rond avec une intrigue qui rebondis comme une balle que l'on a relachée, de moins en moins haut, de moins en moins fort et allant dans n'importe qu'elle direction. Quant au dessin, prendre quatre album différent dans la continuité de la série et comparer, cela parle de soi-même.
Avant d'aborder ce 11ème tome, on se dit qu'on va encore avoir du mal à s'y remettre sans relire tous les précédents, mais finalement on rerentre assez facilement dans l'histoire qui est bien fichue et dans l'ambiance bien rendu par les dessins.
Le chant des Stryges restent une série de référence de la science-fiction qui se laisse lire avec intérêt car entre les moments d'action, il y a des pauses philosophiques pas inintéressantes. Je reste client pour la suite.
Cet épisode marque une amélioration par rapport au tome précédent. L'intrigue prend une direction intéressante et nous donne l'impression d'approcher d'un vrai dénouement dramatique, Weltman pourrait il abandonner son immortalité pour l'amour ? Le seul reproche réside toujours dans les traits de visages parfois caricaturaux ou esquissés (exemples les dents toujours représentées par une ligne blanche). Bon il s'agit certainement d'un choix des auteurs alors.... J'attends la suite par curiosité !
J'ai relu les 10 autres avant et je n'ai pas noté de grosses différences avec les précédents. Bonne lecture, très agréable. Des personnages toujours charismatiques, une intrigue dense qui avance encore petit à petit. Les dialogues sint toujours un peu longuets et rébarbatifs mais bon, on commence à s'habituer. Les couleurs que je trouvais crillardes de prime abord s'avèrent finalement correctes. Le dessin est parfois très bon voir original mais peut être y a t il moins le soucis du détail par rapport aux premiers tomes. La dernière révélation est assez tonitruante mais ce n'est pas la 1ère fois que les auteurs nous font le coup. Bien souvent, ça retombe comme un souflet dans les 1ères pages du tome suivant donc wait and see.
Corbeyran aurait enfin écouté les avis des lecteurs et trouvé quelque chose pour relancer l'intrigue, même si elle traîne un peu en longueur. Attendons le n° 12 pour savoir si on ne vas pas encore faire des allers-retours avec le passé.