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Hommage aux films de Jidai-kegi d'Akira Kurosawa et autres chambara de Kenji Misumi, cette œuvre en deux tomes indépendants est signée de la main d'auteurs italiens.
Tout les codes et archétypes inhérents au genre sont présents (le ronin, le jeune idéaliste, le groupe de brigands...) et le scénario aligne les poncifs tels des perles, jusqu'à ce final sanglant et violent, clin d'œil évident aux "Sept Samouraï" bien sûr.
Le dessin de Recchioni est bon et certaines cases ont été réalisées de telles sorte que l'on a l'impression de faire face à des estampes.
Dernier clin d'œil: le personnage d'Ichi est bien évidemment une référence à... Zatoïchi !
Une ode au courage, au don de soi et au sacrifice. J’ai vraiment adoré le premier épisode de cette BD.
Tetsuo doit partir à la poursuite de son maître samouraï Jubei Shimada qui a abandonné son poste. Celui-ci l’a pourtant fait pour une bonne cause mais devra faire face à son destin en se faisant Hara-Kiri pour donner du crédit à son élève qui dévoilera un complot.
Images fortes, quelques notes humoristiques apportées par Maître Ichi (une sorte de Yoda japonais) qui aidera Tetsuo et Jubei contre une armée de brigands qui terrorise la région du Daimyo (gouverneur de région) leur maître à tous.
Il semblerait que les auteurs se soient inspirés des films de Kurosawa pour nous offrir cette histoire. C’est une grande réussite et un vrai régal. Vous avez aimé Okko, Samurai ? Alors n’hésitez pas à lire Chanbara.
Hommage aux films de Jidai-kegi d'Akira Kurosawa et autres chambara de Kenji Misumi, cette œuvre en deux tomes indépendants est signée de la main d'auteurs italiens.
Tout les codes et archétypes inhérents au genre sont présents (le ronin, le jeune idéaliste, le groupe de brigands...) et le scénario aligne les poncifs tels des perles, jusqu'à ce final sanglant et violent, clin d'œil évident aux "Sept Samouraï" bien sûr.
Le dessin de Recchioni est bon et certaines cases ont été réalisées de telles sorte que l'on a l'impression de faire face à des estampes.
Dernier clin d'œil: le personnage d'Ichi est bien évidemment une référence à... Zatoïchi !
Un premier opus qui se laisse lire.
Une ode au courage, au don de soi et au sacrifice. J’ai vraiment adoré le premier épisode de cette BD.
Tetsuo doit partir à la poursuite de son maître samouraï Jubei Shimada qui a abandonné son poste. Celui-ci l’a pourtant fait pour une bonne cause mais devra faire face à son destin en se faisant Hara-Kiri pour donner du crédit à son élève qui dévoilera un complot.
Images fortes, quelques notes humoristiques apportées par Maître Ichi (une sorte de Yoda japonais) qui aidera Tetsuo et Jubei contre une armée de brigands qui terrorise la région du Daimyo (gouverneur de région) leur maître à tous.
Il semblerait que les auteurs se soient inspirés des films de Kurosawa pour nous offrir cette histoire. C’est une grande réussite et un vrai régal. Vous avez aimé Okko, Samurai ? Alors n’hésitez pas à lire Chanbara.