Le casse
1. Diamond - Askashaya, Sibérie 2009...
Une BD de
Christophe Bec
et
Dylan Teague
chez Delcourt
(Conquistador)
- 2010
Bec, Christophe
(Scénario)
Teague, Dylan
(Dessin)
Araldi, Christophe
(Couleurs)
Basset, Xavier
(Couleurs)
01/2010 (20 janvier 2010) 62 pages 9782756014128 Grand format 101012
Sibérie, de nos jours. Dans cette région oubliée de la civilisation, deux hommes se font embaucher pour travailler dans une mine de diamants. Mais leur arrivée cache un plan audacieux. Envoyés en repérage, ils doivent préparer le braquage de l'extrême : celui d'un des convois de diamants qui, tous les deux mois et sous très haute protection, quittent cet enfer blanc et ses températures polaires.
Le casse est une honnête histoire bien mise en scène à la façon hollywoodienne mais qui ne laissera pas un souvenir impérissable. On ne bâtira pas une statue à la gloire immémoriale de Bec. J'ai bien suivi le début de ce récit qui se situe en Sibérie dans une région minière puis la fin m'a semblé tellement confuse. Que se passe-t-il réellement ?
J'ai bien supposé une ou deux situations probables mais le doute demeure encore. Je ne crois pas que cela soit le principe voulu par les auteurs. Cela m'a semblé tellement obscur. Finalement, cela gâche un peu le plaisir de cette lecture qui avait pourtant bien commencé car on arrive au constat : tout ça pour ça ! Ben oui !
Je termine la lecture de la série “le casse” par ce tome (car ils peuvent se lire dans le désordre, chaque histoire est unique ) et bien m’en a prit car c’est sur une note positive !
Bon scénario avec une fin toujours étonnante expédiée dans les dernière planches comme dans d’autres album de cette série de chez Delcourt
Bon début pour cette nouvelle série initiée par Chauvel par ce premier tome, signé Bec et Teague.
L'histoire se passe en Sibérie, deux complices vont faire une reconnaissance des lieux avant de faire le casse d'une cargaison de Diamond. Le scénario est bon, très bon même, la fin est originale sans aucun doute, mais j'aurais aimé une autre alternative :)
Les dessins de Teague y sont pour beaucoup dans la réussite de cet album donc je vous recommande la lecture
série à lire, avec à chaque tome un dessin de style différent, une histoire différente et des scénarios simples mais agréables à lire.
Sympa, mais je sais pas si ça sera suffisant pour me faire acheter les autres opus, en tout cas si ils sont dans le même veine. Pour en revenir à Diamond, rien à dire c'est super efficace et plutôt bien construit. Certaines pages sont graphiquement très réussis et retranscrivent bien l'idée qu'on peut se fait de la Sibérie. Reste un produit très calibré et assez impersonnel qui donne parfois le sentiment d'avoir été un peu expédié (quelques planches superflus non ?). Du côté des critiques, une fâcheuse tendance à mettre des plans nichons à toutes les pages, choses qui m'énerve au plus haut point et puis des couleurs parfois vraiment trop numérique à mon goût...
Tres bon début pour cette série, qui peut se lire dans le désordre puisque les histoires sont indépendantes les unes des autres.
Le sénario met un moment à débuter et se termine rapidement.
L'intrigue nous tient en halleine autour d'un convoi de diamants. Heureusement on peut se consoler à la fin avec une malette de beaux diamants !!
J'ai passé un bon moment, on entre dans la bd difficilement les deux premieres planches, explosition dans la mines de diamants et accidents avec l'ours polaire prennent bcp de place mais n'apporte pas grand chose et retarde l'entrée dans l'intringue principale.
La découverte du butin par l'équipe de voleurs se passe en une planche ou deux. elle a été un peu expédiée rapidement à mon gout c'est dommage. on aurait espéré plus de développement sur cette question. encore dommage.
C'est les deux fausses notes . voila pourquoi je mets 8/10.
Enfin le héro principal continu sont aventure à la fin de cet opus. Ce qui nous invite à le suivre, laissant entrevoir une suite ...
Un vol de diamant en pleine sibérie, un personnage avec un passé tourmenté, embauché pour réaliser un casse d'envergure. Le scénario de ce one-shot est trés bien ficelé, la fin originale et les dessins de trés bonne qualité. A ne pas manquer...
Les diamants de Sibérie font moins parler que ceux d'Afrique. Le climat, c'est certain, en est pour quelque chose (élément important de l'intrigue).
Ce premier opus est, pour moi, très bien fait. Il vaut le T3 "Soul Man", voire le dépasse. Bref ils sont très proches et le scenario de Bec m'a bien tenu jusqu'à la fin.
J'ai moins bien accroché au T4 "la grande escroquerie", mais peut-être dois-je le relire.
Quant au T3 " Le troisième jour" je l'ai apprécié également et m'a bien fait rire. Si si...
Cetains diront que c'est une opération commerciale d'avoir plusieurs auteurs dans la série, moi j'y vois une confrontation d'imaginaton.
Les casses de haut vol ne se trouvent pas par centaine, sauf dans la réalité de la BD.
Une série intéressante et indispensable.
Très beaux dessins, mais niveau histoire j'ai pas trop accroché, on passe d'un scène à une autre sans trop savoir pourquoi...comme qqn l'a dit dans un post, on ne cible pas assez les personnages...je vais essayer de lire le second quand il sortira pour voir, mais sinon j'abandonne.
Attiré par une belle couverture et un battage médiatique hors norme, je me suis fait avoir.
Si le dessin est bel et bien dans la ligne de certains comics (cela est flagrant sur les femmes dénudées qui ne manquent pas d'apparaitre), le scénario est tres décévant.
Les mines ressemblent à un entrepôt de supermarché, le conducteur du fenwick s'étant endormi laisse supposer une intrigue, de même que l'ours écrasé sur la route.
Une fois le livre achevé on se demande la raison d'être de ces premières blanches: nécessaires pour boucler le format imposé de 62 pages?
L'histoire d'amour est malheureusemnt classique, les flashbacks pauvres en explication, les femmes trop souvent nues et finalemnt une chute prévisible (sans rien dévoiler le détail de plusieurs vignettes le laisse supposer).
le crachat qui géle avant de tomber, alors que tous les marcheurs ne transpirent pas, a eu raison de ma patience.
Grosse déception.
J'ai bien aimé les dessins, l'atmosphère Sibérie est très réussie et les dessins collent bien avec cette ambiance "casse".
Le concept est très interessant, le scénario est bien ficellé mais quelques scènes m'ont paru un peu inutiles.
Une bonne BD qui en vaut le détour. A voir si les futurs tomes à paraître seront du même gabarit ou, je l'espére, au dessus...
7/10
A Askashaya, cité oubliée de Sibérie, la vodka fait autant de morts que la mine de diamants !
Avec Diamond, Christophe Bec signe (encore une fois) un scénario efficacement structuré mais qui aurait mérité quelques approfondissements notamment sur les personnages principaux.
Coté graphisme, la mise en couleurs contribue pleinement à l’ambiance délétère qui plane sur ce braquage et Dylan Teague, malgré quelques petites imperfections, sait exploiter le réalisme de son dessin.
Au final, un 1er opus efficace, calibré à l’extrême mais qui laisse un goût d’inachevé…
J'ai du mal avec ce genre de séries de one-shot, où les scénaristes et dessinateurs changent à chaque tome, mais je dois dire que le premier tome fut très attrayant que ce soit grâce à la couverture, belle et efficace ou grâce au nom de BEC.
Toutefois je trouve que ce tome n'est pas le meilleur qu'il ait fait, bien que encore une fois son scénario est trés élaboré et tiens le lecteur en haleine jusqu'à la dernière page.
Les dessins, quant à eux, sont très agréables et réalistes ce qui fait qu'on se laisserait bien emporter dans l'aventure LE CASSE, ne serait-ce que par curiosité.
Un premier tome très réussi, la faute à un scénario très bien travaillé par C Bec (vrai personnage ni blanc ni noir, suspens et rebondissement à souhaits) et à des dessins d'une grande pureté.
On s'y croierait.
A suivre avec beaucoup d'intérêt.
8/10.
Autant j'avais décroché rapidement de la série de one shots "Sept", autant la série "Le casse" brillamment entamée par "Diamond" me donne envie de poursuivre l'aventure. Le scénario de BEC est bien construit et illustré de façon efficace par les dessins de TEAGUE. On plonge immédiatement dans l'intrigue grâce à des planches au découpage efficaces et aux couleurs réussies. Il est évident que faire tenir un récit en 64 pages est un exercice difficile qui répond à des impératifs artistiques et économiques. Ici l'objectif artistique est atteint car si la réalisation reste classique, Diamond véritable miroir aux alouettes nous entraîne sur une fausse piste avec des vrais méchants des deux côtés de la barrière et ce pour le plus grand plaisir du lecteur !