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Info édition : N°37860.
Second cycle des carnets d'orient et Jacques Ferrandez s'attaque à du lourd, du très très lourd. Car, après 5 tomes ou l'auteur racontent une Algérie en de nombreuses de vies et cinq histoires, voici que l'auteur donne l'assaut à la guerre d'Algérie sur une grande fresque de 5 tomes à l'intérieur d'une grande fresque.
Comme toujours il tisse les liens, multiplie les magnifiques personnages , les fait s'entrechoquer les uns aux autres et bousculer surtout dans une grande histoire dont ils seront acteurs. Comme toujours le suspens monte crescendo, l'histoire détaille, précise et évolue dans une constante toujours plus violente. Comme toujours le maitre est un orfèvre dans la construction scénaristique. Le savoir faire est certes classique mais diablement efficace.
Car, même dans les dessins, le classique du gaufrier privilégie l'histoire pour rendre plus efficace cette tragédie humaine qui débute et qui sera irréversible. Et puis, dans ce classicisme solide, Ferrandez raconte aussi son Algérie avec des pastels et des ocres superbes en pleine et double page. Ce sont les seuls moments de respiration dans cette intrigue inquiétante et Ferrandez nous souffle du chaud, du désert, du superbe et du lyrique. Car Ferrandez est aussi un grand peintre.
Un début plein de promesse.
Du très bon Jacques Ferrandez ! On continue de suivre avec passion le destin de l'Algérie coloniale avec, dans cet album, les débuts de la guerre d'indépendance. Sans prendre partie, ni pour l'un ni pour l'autre, Jacques Ferrandez nous livre encore une magnifique fresque historique.