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Puisque les carnets ont débuté avec Joseph Constant, ce premier cycle se clôturera avec sa fin symbolique. Et cet opus est superbe, ou presque, en bien des points.
Marianne, la réincarnation de Djemila, arpentera les terres algériennes pour suivre les traces du peintre. Et la grand histoire se fond dans la petite, celle que construit Ferrandez au travers de sa fresque familiale avec Constantine, Dien Bien Phu, Orléansville dans un final qui annihile, dans les décombres, Joseph Constant.
Les décors sont superbes, la narration visuelle baigne de chaud et de soleil et les horizons sont magnifiques. Ferrandez nous offre de l'épique dans de l'intime.
De plus, il raconte toujours cette famille que nous suivons depuis le second tome. Les destins sont hélas tragiques mais là encore ils racontent tellement bien la famille et l'Algérie.
Et puis il y a le vrai destin de Joseph. Ce Roméo et Juliette qui finit bien et qui me rabiboche ( mon cœur a fait des tours lorsque j'ai appris la nouvelle!!!) avec la mort idiote de Djemila dans le premier tome. Certes, c'est un peu à l'eau de rose mais, moi, j'aime bien.
Mais il y a aussi quelques facilités scénaristiques: L'accident de voiture ( un peu curieux la raison alors que Marianne veut revoir son sauveur) , la mort en voyage du papa (qui facilite l'émancipation du personnage principal) alors qu'il était le personnage principal du tome précédent ( et ça fait toujours un peu mal la mort facile de celui qu'on a suivi tout le long, avant) , et le propriétaire terrien qui est vraiment un parangon du raciste bourgeois pieds noirs.
Mais malgré ces quelques désidératas, ce cycle se finit dans une poésie absolue, une virtuosité visuelle et en ravivant les émotions des épisodes précédents.
Une petite histoire dans une grande sur plus de 130 années merveilleusement orchestrée.
Jacques Ferrandez réussit à nouveau à nous faire ressentir cette Algérie coloniale, cette fois à la veille de la guerre d'indépendance. On suit avec beaucoup de plaisir le voyage qui nous fait découvrir Alger, la plaine de la Mitidja, Constantine ... Magnifique !
Puisque les carnets ont débuté avec Joseph Constant, ce premier cycle se clôturera avec sa fin symbolique. Et cet opus est superbe, ou presque, en bien des points.
Marianne, la réincarnation de Djemila, arpentera les terres algériennes pour suivre les traces du peintre. Et la grand histoire se fond dans la petite, celle que construit Ferrandez au travers de sa fresque familiale avec Constantine, Dien Bien Phu, Orléansville dans un final qui annihile, dans les décombres, Joseph Constant.
Les décors sont superbes, la narration visuelle baigne de chaud et de soleil et les horizons sont magnifiques. Ferrandez nous offre de l'épique dans de l'intime.
De plus, il raconte toujours cette famille que nous suivons depuis le second tome. Les destins sont hélas tragiques mais là encore ils racontent tellement bien la famille et l'Algérie.
Et puis il y a le vrai destin de Joseph. Ce Roméo et Juliette qui finit bien et qui me rabiboche ( mon cœur a fait des tours lorsque j'ai appris la nouvelle!!!) avec la mort idiote de Djemila dans le premier tome. Certes, c'est un peu à l'eau de rose mais, moi, j'aime bien.
Mais il y a aussi quelques facilités scénaristiques: L'accident de voiture ( un peu curieux la raison alors que Marianne veut revoir son sauveur) , la mort en voyage du papa (qui facilite l'émancipation du personnage principal) alors qu'il était le personnage principal du tome précédent ( et ça fait toujours un peu mal la mort facile de celui qu'on a suivi tout le long, avant) , et le propriétaire terrien qui est vraiment un parangon du raciste bourgeois pieds noirs.
Mais malgré ces quelques désidératas, ce cycle se finit dans une poésie absolue, une virtuosité visuelle et en ravivant les émotions des épisodes précédents.
Une petite histoire dans une grande sur plus de 130 années merveilleusement orchestrée.
Jacques Ferrandez réussit à nouveau à nous faire ressentir cette Algérie coloniale, cette fois à la veille de la guerre d'indépendance. On suit avec beaucoup de plaisir le voyage qui nous fait découvrir Alger, la plaine de la Mitidja, Constantine ... Magnifique !