Carmen Mc Callum
5. Deus Ex Machina
Une BD de Fred Duval et Gess chez Delcourt (Neopolis) - 2000
10/2000 46 pages 2840553112 Grand format 15 à 20 euros 2061
Cette nouvelle aventure de Carmen Mac Callum se déroule à quelques miles de Las Vegas. Le marchand d'arme Samuel Earp après son arrestation a déclaré avoir positionné 4 nano drones dans le pays. L'ONU joue son ultime atout : l'entité informatique BUGG, qui semble être la seule capable de contrer le dispositif de Earp.... bonne chance Carmen.
D'un dessin global satisfaisant, c'est surtout le découpage de Carmen mc Callum qui est efficace et un bel exemple d'une œuvre dynamique, qui propose un vrai souffle dans le déroulé des séquences et des actions. Le dessin nous parle dans ce sens et sert complétement le dynamisme de la narration. En revanche, coté scénario, c'est un peu en dehors de mes préférences, la faute a un scénario trop politique sur fond de fin de l'humanité (une sauce qu'on connait malheureusement trop souvent). C'est un peu too much, comme les scènes d'actions ou ça tire à toute vitesse, je n'en suis pas friand. La recherche autour du monde futuriste des années 2050 est plaisant à lire. Carmen est toujours une femme aussi froide, mais on s'attache à son personnage parfois antipathique. Je crois bien que cette série n'est pas faite pour moi.
Cinquième tome des aventures de Carmen McCallum qui arbitre le duel entre le marchand d'arme Samuel Earp et l'ONU. Si les dessins sont de bonne facture, l'intrigue ne laisse pas un souvenir impérissable.
Suite et fin du second cycle.
Carmen et l'ONU aidé de Bugg, font tout pour éviter une catastrophe sur les habitants de Las Vegas.
Pour ma part j'ai bien apprécié ce cycle autant le précédent.
La suite de l'histoire est malheureusement plus décevante et il me semble que c'est une constante dans cette série.
Dommage tous les éléments étaient réunis pour une grande et belle série de SF.
Divertissant tout de même.
6/10
Conclusion de l'aventure avec ce riche industriel enlevé par McCallum. A nouveau, la résolution de la trame par l'intelligence artificielle ne m'a pas convaincu. Je reste sur ma faim. Carmen McCallum, après les deux premiers tomes prometteurs, a clairement baissé de niveau pour moi.
Faux pas.
Ce cinquième tome de la série Carmen Mc Callum s’avère être la conclusion d’une histoire débutée lors du tome précédent. L’ensemble de l’histoire se déroule au Nevada, où Carmen et l’ONU tentent de contrer le chantage de l’industriel Samuel Earp, arrêté par celle-ci. Il s’agit d’éviter la catastrophe qui menace de frapper les habitants du cru, et de démêler le jeu de pouvoir entre le gouvernement américain, l’Etat du Nevada et l’ONU. Le mélange habile d’intrigue fine et d’action explosive ne prend pas ici, et pour cause : l’action est erratique, discrète, mais n’est pas compensée par des rebondissements aux abonnés absents. Il y a un manque de clarté certain dans la manière de présenter les tenants du scénario, et le dénouement ne présent finalement aucune surprise. Espérons qu’il ne s’agisse que d’un faux pas, les standards de qualité de Fred Duval nous laissent espérer mieux de cette série qui avait commencé sous de bons auspices.