Carmen Mc Callum
4. Samuel Earp
Une BD de Fred Duval et Gess chez Delcourt (Neopolis) - 1999
06/1999 46 pages 2840552728 Grand format 15 à 20 euros 1711
Pour le compte de l'ONU, Carmen et Naoko participent à l'arrestation de Samuel Earp, un industriel recherché pour avoir provoqué un accident technologique dramatique au Nevada.
Quatrième tome de la saga Mc Callum. Carmen et Naoko sont chargés par l'ONU d'arrêter Samuel W. Earp. Un album rythmé avec de multiples rebondissements. Les dessins de Gess sont efficaces mais les couleurs sont un peu vives.
Nous retrouvons cotre chére Carmen qui cette fois n'est pas une mercenaire, mais s'est mise a aider l'ONU pour capturer Samuel Earp et réussir à le mettre en prison.
Encore un tome et un début de cycle qui s'annonce vraiment bien.
Ce quatrième opus commence tambour battant à la façon d'un film de James Bond. Le scénario est réussi et donne envie de lire la suite.
Les dessins semblent meilleurs que dans les tomes précédents à moins que je finisse par m'y habituer.
7/10.
Après une bonne séquence d'ouverture, la trame baisse un peu d'intensité. Mais assez intéressant pour vouloir en découvrir la suite.
Les trois premiers tomes de la série constituaient une histoire indépendante qui s’est donc achevée. Carmen McCallum reprend pourtant du service dans des conditions qui semblent au premier abord étrangement similaires. On quitte définitivement l’univers des Yakuzas pour rentrer dans celui des grandes entreprises et des conglomérats : un industriel pourri qui prend les Nations Unies en otage après son arrestation musclée par ladite Carmen accompagnée de Naoko, rencontrée dans les tomes précédents. L’histoire ne fait que débuter, donc on reste un peu sur sa faim, mais le charme opère à nouveau, renforcé par les dessins assez soignés et le découpage des planches toujours aussi judicieux pour les scènes d’action.