Carmen Mc Callum
2. Mare Tranquillitatis
Une BD de Fred Duval et Gess chez Delcourt (Neopolis) - 1996
09/1996 46 pages 2840550997 Grand format 30 à 50 euros 916
Après avoir échappé aux Yakusa et à la police australienne, Carmen et ses "potes" se retrouvent sur la lune, où notre héroïne va retrouver un ami susceptible de les aider. Mais il y a un problème... C'est que la Lune est farcie de trafiquants de drogue à la solde notamment des Yakusa. Et comme si ça ne suffisait pas, les flics la ramènent aussi!!! Et là, en plus, Carmen se rend compte que ce n'est pas réellement Naoko qui est recherché par la Triade, mais un biodisk, permettant de réaliser la fusion esprit humain-machine... Aïe! Ca va faire mal...
La petite équipe faite de Carmen, Russel, Seaside et Sonoda, cherchent à la fois à échapper aux yakuzas et à la police tout en essayant de comprendre se qu'il se trouve dans un biodisk.
Pas de temps mort non plus quel régal.
Le scénario est un peu plus consistant que dans le tome 1 mais les dessins sont vraiment trop médiocres pour que cette BD soit une grande BD.
Et puis on semble parti pour une histoire à rallonge qui n'en finira pas.
On passe quand même un bon moment.
7/10.
Direction la lune, ou McCallum et ses comparses se sont refugiés pour échapper a la police et aux triades japonaises à leur trousse. Un peu moins bon que le premier tome, mais suffisament interessant pour sohaiter découvrir la suite.
Ca canarde sur la Lune.
Après avoir subtilisé par mégarde un support de données d’une grande valeur pour un yakuza, Carmen et ses sbires sont pris en chasse par toute la planète semblent-ils. Sorte de poursuite géante en orbite, ce deuxième tome est bien dans la lignée du premier, c’est-à-dire : action, action, et encore action. On prend plaisir à constater que si l’intrigue n’est toujours pas particulièrement novatrice, elle prend bien plus de profondeur que ce qui nous avait été montré dans le tome précédent. La série commence même à prendre des allures de James Bond avec son mafieux engagé dans un complot d’envergure mondiale, une héroïne de choc et de charme, et une décontraction constante des personnages qui n’aurait pas dépareillé dans les romans d’Ian Fleming. Certains personnages secondaires sont par contre moins réussis que les autres et on souhaite que plus d’attention soit portée au Yakuza, personnage le plus fascinant de la BD je trouve. Une série de bonne tenue, qui pourtant ne deviendra sans doute pas un classique, même si les auteurs savent mener leur barque.