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« Captain america, l’hiver meurtrier » recycle encore une fois les bonnes vieilles recettes en redonnant vie à Crane rouge, Arnim Zola et en réutilisant les biens pratiques organisations criminelles, les fanatiques de l’Hydra ou les plus scientifiques de l’A.I.M.
On rajoute un pseudo homme d’affaires/de paille pour moderniser, modernise un peu Bucky en lui donnant un look plus rebelle et un bras robotique et l’affaire semble emballée par le roublard Ed Brubaker, qui comble du comble appel même en soutien les légendes british Spitfire et Union Jack avant d’aller titiller les éternels Envahisseurs.
Rien de bien nouveau au final dans la simple transposition contemporaine à des histoires datant des années 40 et à vrai dire ce n’est pas le style sombre, froid et déshumanisé d’Epting qui viendra enlever le gout du réchauffé à cette plate aventure…
A réserver aux éternels nostalgiques donc des vieilles histoires de super héros remises au gout du jour pour former des ersatz fadasses.
Mais on peut se demander aujourd'hui ou sont les Stan Lee, Jim Starlin et Chris Claremont des années 2000 ?
Plus d'informations sur ce lien :
https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/05/captain-america-lhiver-meurtrier-ed.html
Dans ce troisième Deluxe, on suit en parallèle les équipes Captain America & Sharon Carter, Crossbones & Sin et Aleksander Lukin / Crâne rouge. Et Bucky Barnes, alias le Soldat de l’hiver, n’est jamais bien loin (Captain America 2005, #15-24).
Dans la première intrigue, tout le monde se cherche jusqu’au rendez-vous londonien pour une bonne grosse bagarre finale. Bien que ce soit très plaisant à suivre, l’histoire n’avance que très peu. On perd un temps fou avec des superhéros de seconde zone (les anglais Union Jack et Spitfire ou le néonazi Master Man) et, même lorsque le méchant est défait, son plan se poursuit comme si de rien n’était...
Dans la seconde intrigue, il est question du Soldat de l’hiver et du S.H.I.E.L.D., de Fatalis et de l’Hydra mais on suit plus spécifiquement Sharon Carter, la nouvelle ex-copine de Captain America, dont la relation était jusqu’alors évoquée par petites touches. Le tout dans un contexte pré-Civil War.
Aux épisodes de la série régulière, s’ajoutent deux numéros spéciaux : une mission entre Captain America et Bucky où ce dernier rencontrera l’amour (Captain America: 65th Anniversary Special 2006, #1) et le premier Noël de Bucky depuis son retour dans le monde moderne (Winter Soldier: Winter Kills 2007 #1). Une manière de continuer à développer un personnage qui sera amené à jouer un grand rôle dans la série.
Côté dessin, Steve Epting est désormais assisté de Mike Perkins – dans des styles si proches qu’il est difficile de les distinguer – et ils sont tout bonnement géniaux.
« Captain america, l’hiver meurtrier » recycle encore une fois les bonnes vieilles recettes en redonnant vie à Crane rouge, Arnim Zola et en réutilisant les biens pratiques organisations criminelles, les fanatiques de l’Hydra ou les plus scientifiques de l’A.I.M.
On rajoute un pseudo homme d’affaires/de paille pour moderniser, modernise un peu Bucky en lui donnant un look plus rebelle et un bras robotique et l’affaire semble emballée par le roublard Ed Brubaker, qui comble du comble appel même en soutien les légendes british Spitfire et Union Jack avant d’aller titiller les éternels Envahisseurs.
Rien de bien nouveau au final dans la simple transposition contemporaine à des histoires datant des années 40 et à vrai dire ce n’est pas le style sombre, froid et déshumanisé d’Epting qui viendra enlever le gout du réchauffé à cette plate aventure…
A réserver aux éternels nostalgiques donc des vieilles histoires de super héros remises au gout du jour pour former des ersatz fadasses.
Mais on peut se demander aujourd'hui ou sont les Stan Lee, Jim Starlin et Chris Claremont des années 2000 ?
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https://lediscoursdharnois.blogspot.com/2024/05/captain-america-lhiver-meurtrier-ed.html
Dans ce troisième Deluxe, on suit en parallèle les équipes Captain America & Sharon Carter, Crossbones & Sin et Aleksander Lukin / Crâne rouge. Et Bucky Barnes, alias le Soldat de l’hiver, n’est jamais bien loin (Captain America 2005, #15-24).
Dans la première intrigue, tout le monde se cherche jusqu’au rendez-vous londonien pour une bonne grosse bagarre finale. Bien que ce soit très plaisant à suivre, l’histoire n’avance que très peu. On perd un temps fou avec des superhéros de seconde zone (les anglais Union Jack et Spitfire ou le néonazi Master Man) et, même lorsque le méchant est défait, son plan se poursuit comme si de rien n’était...
Dans la seconde intrigue, il est question du Soldat de l’hiver et du S.H.I.E.L.D., de Fatalis et de l’Hydra mais on suit plus spécifiquement Sharon Carter, la nouvelle ex-copine de Captain America, dont la relation était jusqu’alors évoquée par petites touches. Le tout dans un contexte pré-Civil War.
Aux épisodes de la série régulière, s’ajoutent deux numéros spéciaux : une mission entre Captain America et Bucky où ce dernier rencontrera l’amour (Captain America: 65th Anniversary Special 2006, #1) et le premier Noël de Bucky depuis son retour dans le monde moderne (Winter Soldier: Winter Kills 2007 #1). Une manière de continuer à développer un personnage qui sera amené à jouer un grand rôle dans la série.
Côté dessin, Steve Epting est désormais assisté de Mike Perkins – dans des styles si proches qu’il est difficile de les distinguer – et ils sont tout bonnement géniaux.