Capricorne
17. Les Cavaliers
Une BD de Andreas chez Le Lombard (Troisième Vague) - 2013
10/2013 (25 octobre 2013) 46 pages 9782803632831 Format normal 198636
Parti pour un lieu mystérieux, Capricorne a du momentanément délaisser sa fonction de protecteur de New York et le nom qui s'y rattache. En effet, la Grosse Pomme est loin d'être hors de danger : non seulement elle ne s'est pas totalement remise de sa faille spatio-temporelle, mais d'anciens dangers ressurgissent, à commencer par les Cavaliers de l'Apocalypse qui seraient en route. Mythe ou réalité, c'est au nouveau Capricorne de le dire..
La lutte contre les forces du Mal continue. Tandis que CAPRICORNE est forcé de payer sa dette envers Dahmaloch, il se trouve temporairement un remplaçant et le charge pendant son absence, en compagnie d'Astor, de stopper les Cavaliers de l'Apocalypse, en route pour détruire New York. Pendant ce temps, Ash est elle en bien mauvaise posture, trahie par le Passager.
Un bon album qui entame la dernière ligne droite avant la conclusion de la série. Certains mystères sont résolus, mais évidemment pas tout ... et d'autres énigmes apparaissent, ce qui rend la lecture toujours autant addictive.
Côté dessin, si Andreas s'est un peu moins laché que dans certains albums précédents, il varie tout de même les plaisirs en proposant certaines planches originales comme une splendide double page (planches 20-21), des planches très minimalistes (pl. 26-27) ou bien évidemment cette fameuse page au découpage totalement indédit (pl. 18).
Un album au final très intéressant.
grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab grandiose comme d'hab
un 17éme albulm qui vient fermer quelques portes (une carte du destin va disparaitre) et amener des réponses à des questions que l'on se pose en relisant les épiosdes précédents. Mais d'autres portes se sont ouvertes, des personnages secondaires prennent de l'ampleur au détriment de CAP.
Scénario jubilatoire mais exigeant.
Coté dessin, peu d'innovations mais encore une page avec un découpage inédit: je ne comprends toujours pas comment Andréas peut continuer à inventer!
Un petit bémol pour les couleurs de l'album: trop sombres à mon gout, mais c'est suremt voulu.