6. La Cadillac blanche | Albums et petits formats | Comme neuf | 20.00€ | |
6. La Cadillac blanche | PHILGUZZ | Très bon état | 15.00€ | |
6. La Cadillac blanche | avantilamusica | Comme neuf | 15.00€ | |
6. La Cadillac blanche | mickey007 | Comme neuf | 12.00€ | |
6. La Cadillac blanche | lodeb | Comme neuf | 12.00€ | |
6. La Cadillac blanche | mtintin | Très bon état | 11.00€ | |
6. La Cadillac blanche | jpc1308 | Très bon état | 10.00€ | |
6. La Cadillac blanche | Johnic | Très bon état | 10.00€ | |
6. La Cadillac blanche | stan prozak | Très bon état | 9.00€ | |
6. La Cadillac blanche | tv69 | Comme neuf | 8.00€ | |
6. La Cadillac blanche | largowinch11 | Comme neuf | 8.00€ | |
6. La Cadillac blanche | MPLUS | Bon état | 7.80€ | |
6. La Cadillac blanche | jim mac clure | Bon état | 6.00€ | |
6a1992. La Cadillac blanche | vpourvendetta | Très bon état | 7.00€ | |
6a1992. La Cadillac blanche | kikofoxy | Très bon état | 6.00€ | |
6c2005. La Cadillac blanche | mickey007 | Comme neuf | 9.00€ |
Info édition : N° 3967 - Dos jaune sans numéro.
Info édition : Dernier titre l'île noyée (04/1992).
Info édition : N° 33183. Paru en 1995 d'après le catalogue au 4e plat (9 titres). Dépôt légal : janvier 1990. D. 1990/0053/5.
Info édition : Logo différent. N° sur le 4e plat : 36799. Vignettes des 12 albums déjà parus.
Info édition : N° sur le 4e plat : 44171. Tome 6 de la série dans la collection "Ligne Rouge", paru en 2005 d'après le catalogue du 4e plat.
Dernier tome des deux intégrales de la collection "haute densité".
Canardo, d'ordinaire si discret, joue ici un rôle central, à la manière d'un détective conventionnel.
Point positifs:
Le personnage du photographe est réussi.
Points négatif:
Le défilement, de tous les personnages rencontrés dans les albums précédents, semble hors propos et ressemble à du remplissage.
Les couleurs sombres font place à une luminosité inappropriée pour l'ambiance qui a fait le succès de cette série.
Canardo commence à s'essouffler, et cela va durer pendant beaucoup d'albums.
Cet album marque un tournant dans la série, et Dieu sait que ce virage fut mal négocié. Canardo, d'ordinaire si absent de ses aventures, presque spectateur, joue ici un rôle central, à la manière d'un détective tout ce qu'il y a de plus traditionnel. Le dessin évolue également, les couleurs sombres faisant place à une luminosité plus que déplacée.
Certains points restent somme toute positifs. Le personnage du photographe est par exemple très réussi. Mais d'autres gênent beaucoup plus, comme le fait de voir défiler un à un tous les personnages rencontrés par Canardo dans les albums précédents: totalement inutile.
Bref, Canardo commence à s'essoufler... et ce n'est qu'un début...