5. L'Amerzone | Albums et petits formats | Comme neuf | 20.00€ | |
5. L'Amerzone | Barry lyndon | Très bon état | 13.00€ | |
5. L'Amerzone | Johnic | Très bon état | 10.00€ | |
5. L'Amerzone | mtintin | Très bon état | 9.50€ | |
5. L'Amerzone | avantilamusica | Bon état | 9.00€ | |
5. L'Amerzone | boudiou | Comme neuf | 7.00€ | |
5b2005. L'Amerzone | xof 24 | Très bon état | 5.00€ | |
5c0206. L'Amerzone | mickey007 | Comme neuf | 9.00€ | |
5c0206. L'Amerzone | avantilamusica | Comme neuf | 8.00€ | |
5c0206. L'Amerzone | amandpaul2000 | Comme neuf | 6.00€ |
Info édition : N° 2271 en page 47.
Info édition : Pas de numéro au dos. Liste de 5 titres en 4e de couverture se terminant avec La Cadillac blanche mais l'Amerzone manquant.
Info édition : N° 31371. Paru en 1995 d'après le catalogue au 4e plat (9 titres). Dépôt légal septembre 1990. D. 1990/0053/111.
Info édition : Tome 5 de la série dans la collection "Ligne Rouge", paru en 2005 d'après le catalogue du 4e plat.
Info édition : Noté "Le meilleur de la BD" au 1er plat. N°5 sur le dos.
Sokal n'a pas son pareil pour dessiner toute la fange merdeuse que peut offrir l'humain. Son dessin est comme un malaise dans la lecture. Et cela un fait style incroyable, mieux encore une ambiance glauque. De plus, dans cet opus, il assume d'avantage encore la couleur délavé, le sombre coloré, le pigment gris et sombre. Et cela rajoute au climat malsain. Rien que pour ça, il faut lire.
Du côté scénario, il y a de l'excellent et du moins bon. Et, Hélas, le moins bon m'a fait sortir littéralement de la lecture.
D'abord l'excellent: Toute la description du bourbier dictatorial d'un régime d'Amérique du sud. Tous les poncifs y sont et multiplié par 10 pour que résonne le dégout. Ensuite les oiseaux blancs et leurs funestes destins, symboles du funeste destin de l'humain. Il y a aussi des monologues de Canardo aux petits oignons. Enfin, le twist final, les deux dernières planches, qui font froid dans le dos et qui vous ne font pas sortir indemne de la lecture.
Mais il y a aussi ce périple d'un futur président sur un volcan qui ne sert à rien au propos, qui meurt connement et dont la trame secondaire est pliée (clôturée) aussi vite qu'elle a apparut. Clara, la grue, apparait machiavélique avec un plan en béton (qui est quand même très en carton, en fait, le plan) et disparait aussi sec (Dès que Sokal n'a plus besoin d'elle pour constructuire l'évolution de sa narration en fait). Mais il y a aussi ce démontage de tente pour un montage de deltaplane providentiel qui est amené de manière, il est vrai, plutôt drôle pour faire passer la pilule du "what's euh fuck" .
Bref, pour moi, critique mitigée cochon d'inde.
Canardo tome 5, L'Amerzone. Encore un Canardo dans une atmosphère bien sombre. Cette histoire se déroule sous un régime dictatorial.
La conclusion de cet album est vraiment émouvante et triste en elle-même.
Un canardo de qualité, avec des dessins toujours d'une colorisation un peu passée, qui donne parfaitement vie à l'ambiance de cette histoire.
Après l'avoir lu pour la énième fois, je prends toujours autant de plaisir à le redécouvrir. Je pense que cet album est certainement le meilleur Canardo de toute la série, et de loin....
L'histoire tourne autour de ce grand-père bien décidé à partir en quête des oiseaux blancs légendaires d'Amerzone. Et Canardo, qui était venu récupérer le vieil homme pour le ramener à sa famille, se retrouve embarqué dans cette expédition, mais sans imaginer les imprévus rencontrés sur la route.
A lire absolument
Dans une amerzone soumise à un coup d'État, Canardo se retrouve malgré lui dans une quète d'un oiseau légendaire. Un canard et un chien déambulent dans la foret vierge pour notre plus grand plaisir. Sokal réussit parfaitement à décrire cette aventure dédramatisée par le flegme de son personnage principal dans un album qui constitue globalement une réussite