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Final d'une mini série dantesque! Et ce dernier épisode est certainement la plus importante raison pour lire tout e la saga!
Car celui-ci est d'une beauté graphique absolue. Brian Bolland nous démontre tout son savoir faire. Tout son génie du cadrage incisif, rythmé apparait dans chaque planche. Toute sa maitrise des corps et des émotions irradie chaque case. Bolland prend de la hauteur. Son trait est viscéral et précis. Il amène le ressenti profond dans les multiples sensations de la narration. Tous les corps sont magnifiés dans leurs laideurs ou leurs beautés. La chair est partout dans des décors magnifiques, des lignes d'horizons profonds.
Du côté de Barr, le final est absolument maitrisé. Certes l'apocalypse final n'est pas d'une limpidité scénaristique mais le côté ésotérique fonctionne à plein grâce au dessin de Bolland. Les émotions sont là, nombreuses. Et, les personnages sans âmes ont des finaux sans épaisseur mais ceux que nous avons suivi et ce sont écorchés l'âme, ont des conclusions de toute beauté. Jusqu'à une scène d'amour tendre lesbien qui devait être chose rare à l'époque.
Camelot 3000 est le préambule prémonitoire du comics pour adulte. Le temps de Moore, Miller, Millar viendront après. Et ils doivent beaucoup à ce genre de série qui préparait l'avenir de la BD étasunienne. Camelot 3000 est une référence outre atlantique contrairement à chez nous ou cette mini série est passée totalement inaperçu par feu les éditions AREDIT. D'ailleurs, dans cette revue, il y a aussi une publication de Warlord ( trop bien!). Mais ça c'est une autre histoire.
Final d'une mini série dantesque! Et ce dernier épisode est certainement la plus importante raison pour lire tout e la saga!
Car celui-ci est d'une beauté graphique absolue. Brian Bolland nous démontre tout son savoir faire. Tout son génie du cadrage incisif, rythmé apparait dans chaque planche. Toute sa maitrise des corps et des émotions irradie chaque case. Bolland prend de la hauteur. Son trait est viscéral et précis. Il amène le ressenti profond dans les multiples sensations de la narration. Tous les corps sont magnifiés dans leurs laideurs ou leurs beautés. La chair est partout dans des décors magnifiques, des lignes d'horizons profonds.
Du côté de Barr, le final est absolument maitrisé. Certes l'apocalypse final n'est pas d'une limpidité scénaristique mais le côté ésotérique fonctionne à plein grâce au dessin de Bolland. Les émotions sont là, nombreuses. Et, les personnages sans âmes ont des finaux sans épaisseur mais ceux que nous avons suivi et ce sont écorchés l'âme, ont des conclusions de toute beauté. Jusqu'à une scène d'amour tendre lesbien qui devait être chose rare à l'époque.
Camelot 3000 est le préambule prémonitoire du comics pour adulte. Le temps de Moore, Miller, Millar viendront après. Et ils doivent beaucoup à ce genre de série qui préparait l'avenir de la BD étasunienne. Camelot 3000 est une référence outre atlantique contrairement à chez nous ou cette mini série est passée totalement inaperçu par feu les éditions AREDIT. D'ailleurs, dans cette revue, il y a aussi une publication de Warlord ( trop bien!). Mais ça c'est une autre histoire.