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Après le volume 1 consacré à la vie de Mangaka d'Igort au Japon, le volume 2 consacré à un Japon plus traditionnel et contemplatif, sur les traces du poète Basho et avec le souvenir des derniers moments de Taniguchi Jiro, voici dans ce volume 3 le Japon des Assassins, des Monstres, et de la Cruauté sadique extrêmement esthétisée.
Voyage dans le Japon des Ukiyo-e versant sanglant.
Lecture parfois difficile, tant le portrait est sans concession, le plus "étrange" étant peut-être l'attitude d'Igort lui-même, qui se fait aussi japonais qu'un japonais pour montrer le même mélange d'empathie et de distanciation sur ce qui est le plus délicat et ce qui est le plus cruel ou violent.
Si on n'est pas prévenu, on peut éprouver un certain malaise. Il faut accepter de se mettre dans la peau de celui qui ne juge pas.
En ce sens, ce volume est peut-être le plus indispensable des trois (au moins à égalité avec le premier qui est une plongée dans le monde professionnel des mandakas et dans la société japonaise contemporaine), car il montre mieux que tout autre la complexité de la mentalité japonaise.
Après le volume 1 consacré à la vie de Mangaka d'Igort au Japon, le volume 2 consacré à un Japon plus traditionnel et contemplatif, sur les traces du poète Basho et avec le souvenir des derniers moments de Taniguchi Jiro, voici dans ce volume 3 le Japon des Assassins, des Monstres, et de la Cruauté sadique extrêmement esthétisée.
Voyage dans le Japon des Ukiyo-e versant sanglant.
Lecture parfois difficile, tant le portrait est sans concession, le plus "étrange" étant peut-être l'attitude d'Igort lui-même, qui se fait aussi japonais qu'un japonais pour montrer le même mélange d'empathie et de distanciation sur ce qui est le plus délicat et ce qui est le plus cruel ou violent.
Si on n'est pas prévenu, on peut éprouver un certain malaise. Il faut accepter de se mettre dans la peau de celui qui ne juge pas.
En ce sens, ce volume est peut-être le plus indispensable des trois (au moins à égalité avec le premier qui est une plongée dans le monde professionnel des mandakas et dans la société japonaise contemporaine), car il montre mieux que tout autre la complexité de la mentalité japonaise.
Sur le plan esthétiques c'est toujours somptueux.