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John s’est fait un solide ennemi en la personne d’un yakuza sans foi ni loi : Sato !
Ce dernier est monté en puissance en éliminant le chef de clan Sagawara et en faisant porter le chapeau à John. La fille du défunt déteste Sato (pas difficile) et souhaite son élimination. Elle requiert l’aide de son oncle, qui a aussi un œuf (de gros dinosaure) à peler avec l’aimable Sato, pour fournir à John l’artillerie nécessaire afin de dézinguer l’affreux. Petit problème, le tonton yakuza n’a pas de calibres en stock…
Critique :
Il faut attendre la huitième planche pour trouver un gars qui en aura besoin de six. Michel Koeniger nous avait habitués à davantage d’hémoglobine dès les premières pages. Je vous rassure, c’est normal ! On est dans la phase « diplomatie ». Les tractations se suivent dans les deux camps. Mais rassurez-vous, bande de vampires, vous l’aurez votre dose de globules rouges.
Cet album clôture la mini-série de façon très prévisible. Bon défoulement sans que les neurones n’aient à s’user à la tâche.
Un tome 3 dans la lignée des 2 autres, des gunfight digne de The Killer ( le chef d'oeuvre de John Woo ), un plan m'a egalement fait penser à pulp fiction. Un tome final qui priviligie l'action à la reflexion. Pas le temps de s'ennuyer.
Malheureusement, on a l'impression que la fin de la série a eté sacrifié..
Bref, c'est plutot mauvais, des fusillades sur les 3/4 de l'album, l'approche psychologique proche du néant...
On se croirait dans un mauvais film de stallone (pleonasme..), ou il y a des sequences de tir tout le temps...
Bref, c'est dommage, cela ternit toute la serie..
Seuls les 2 premiers albums sont a conserver
John s’est fait un solide ennemi en la personne d’un yakuza sans foi ni loi : Sato !
Ce dernier est monté en puissance en éliminant le chef de clan Sagawara et en faisant porter le chapeau à John. La fille du défunt déteste Sato (pas difficile) et souhaite son élimination. Elle requiert l’aide de son oncle, qui a aussi un œuf (de gros dinosaure) à peler avec l’aimable Sato, pour fournir à John l’artillerie nécessaire afin de dézinguer l’affreux. Petit problème, le tonton yakuza n’a pas de calibres en stock…
Critique :
Il faut attendre la huitième planche pour trouver un gars qui en aura besoin de six. Michel Koeniger nous avait habitués à davantage d’hémoglobine dès les premières pages. Je vous rassure, c’est normal ! On est dans la phase « diplomatie ». Les tractations se suivent dans les deux camps. Mais rassurez-vous, bande de vampires, vous l’aurez votre dose de globules rouges.
Cet album clôture la mini-série de façon très prévisible. Bon défoulement sans que les neurones n’aient à s’user à la tâche.
Un tome 3 dans la lignée des 2 autres, des gunfight digne de The Killer ( le chef d'oeuvre de John Woo ), un plan m'a egalement fait penser à pulp fiction. Un tome final qui priviligie l'action à la reflexion. Pas le temps de s'ennuyer.
Malheureusement, on a l'impression que la fin de la série a eté sacrifié..
Bref, c'est plutot mauvais, des fusillades sur les 3/4 de l'album, l'approche psychologique proche du néant...
On se croirait dans un mauvais film de stallone (pleonasme..), ou il y a des sequences de tir tout le temps...
Bref, c'est dommage, cela ternit toute la serie..
Seuls les 2 premiers albums sont a conserver